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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Lolo était médusé, sa descente en harnais plus l'enlèvement de la siamoise à Fripouille, l'avais un peu perturbé.
- Toc toc toc, comment va-t-on la retrouver, toc toc toc.
- Fle fle fle, ma gendarme poète va la rechercher, fle fle fle, elle est route et arrive bientôt, fle fle fle.
- En tout cas moi, ça m'inquiète et quelle aventure avons nous encore vécue.
Le Pépère se mit en avant pour ne pas laisser la parole à Lolo concernant le sauvetage de la soucoupe.
- Ne t'inquiète pas, Lolo, je vais mener l'enquête et la sauver comme j'ai fait avec la soucoupe.
Hé bien, il était tant qu'elle rentre ma maîtresse. Je n'ai plus de ses infâmes croquettes remplies de cocaïne. Le soûlard les a toutes mangées et c'est tant mieux. Par contre, il a dévoré tout mon colis et je suis en attente de mes quatre beaux saucissons, voir même cinq si elle tient parole de son dernier SMS reçu. Même s'il était écrit d'une main alcoolisée, il était bien marqué cinq saucissons pour toi mon gros joufflu. D'ailleurs, je n'ai pas trop apprécié l'insulte du gros joufflu, mais bon que voulez-vous, elle devait être bien imbibé et ne s'est pas rendu compte qu'elle portait atteinte à mon prestige.
- C'est un joli coup de maître, tu n'as pas perdu la patte Pépère.
- Oui, tu as vu Un-œil comme Pépère nous a tiré de ce mauvais pas.
- Tu vois, Isidore, c'est le premier sauvetage de Pépère que je vois et, franchement, je suis épaté.
- Oui, Turbo, Chouânne nous l'avais dit que son Tigrou nous sauverait avec brio.
Mais dit moi, tu n'as pas trop peiné mon loulou ?
- Pas du tout, Liettuje, je vais vous expliquer comment j'ai fait.
Déjà, Lolo a été simplement génial en me retenant, même s'il n'a pas osé descendre au bout du harnais.
Lolo était étonné, car Pépère était déjà en train de transformer l'histoire.
- Oui, Pépère, j'ai fait au mieux que j'ai pu malgré que j'eusse un peu peur, mais pas plus que ça.
- Toc toc toc, c'était génial, mon bec n'a pas été en danger.
- Fle fle fle, et nous n'avons pas blessé de petites pattes, fle fle fle.
- Oui, donc, je disais, si on veut bien me laisser raconter mon héroïque sauvetage.
Je suis arrivé en volant et en étant à moitié sorti de la carlingue pour bien repérer la soucoupe. Je volais en pilotant d'une patte de l'extérieur et de l'autre, j'enfilais mon harnais en chantant, chat chat où t'es où as-tu mis ton chat chat, bref, les héros n'ont jamais peur.
Ensuite, je suis descendu au plus près des anneaux et j'ai sauté dans le vide.
Oui, je n'avais pas fini d'attacher mon harnais et je l'ai fait durant ma chute libre, pendant que pêcheur pilotait l'hélicoptère avec Coin-coin. Lolo, lui, tenait la corde pour me diriger et il a actionné le treuil à mon signal. Pour ne pas déséquilibrer la soucoupe, Pêcheur à remonter dans les airs à cause du déplacement d'air des pales de l'appareil. Une fois les quatre points attachés, Lolo a donc manœuvré le treuil pour mettre l'appareil parfaitement droit.
Une fois la soucoupe suspendue, je suis remonté à bout de pattes et c'est arrivé à la porte de l'appareil que je suis tombé dans le vide en glissant de mon harnais. Je suis retombé sur les branches et j'ai rebondi en l'air. Nullement désappointé, je me suis servi de ma queue comme une pale et j'ai utilisé le déplacement d'air de mon hélicoptère pour voler et j'ai ensuite atteint mon engin et repris les commandes. Ensuite, j'ai posé la soucoupe en douceur. Je me suis posé et Pêcheur, Lolo et Coin-coin sont descendus. Moi pour me calmer un peu, j'ai repris les airs une fois qu'ils aient eu détacher la soucoupe et j'ai été faire quelques loopings avant de laisser retomber l'hélicoptère dans le vide. Juste avant, j'ai sauté dans le vide et suis retombé dans mon engin pendant sa chute libre. Voilà, cette prouesse était dans le seul but de me détendre. D'ailleurs, je l'ai faite en chantant, chat chat où t'es, mais où as-tu mis ton chat chat.
Les occupants de la soucoupe étaient sidérés de la prouesse de Pépère. Coin-coin, Pêcheur et Lolo n'oserent ne dire que ce ne s'était pas trop passé de la sorte.

Les occupants de la soucoupe étaient déjà en train de réparer le moteur défectueux. Pendant ce temps, Pépère remonta dans son hélicoptère pour continuer ses recherches.
- Toc toc toc, tu as du sang, sur ta cuisse toc toc.
- Fle fle fle, oui Pépère, tu t'es blessé, fle fle fle.
- Oui, Pépère, tu devrais peut-être t'arrêter.
En fait de blessure, c'était simplement du ketchup. Avant de repartir, il avait proposé à Liettuje de contrôler les équipements de bords. En regardant les instruments, il avait trouvé de la viandes séchée dans un petit espace réservé à la nourriture et ne s'était pas privé sur le ketchup qu'il avait trouvé avec. Il s'en était fait tombé sur la cuisse.
- Ne t'inquiète pas Lolo, je suis hyper résistant et on verra ça plus tard, j'ai connu bien pire.
- Oui, lors des attentats du onze septembre, chat chat chat.
- Oui, toc toc toc, ta blessure à la hanche toc toc toc.
- Fle fle fle, ma gendarme poète, elle soigne les petites pattes, fle fle fle.
Pas dû tout, mes amis laissez moi vous l'expliquer.
C'était plutôt le onze degré de chez la villageoise ce jour-là. Voilà l'histoire, qu'il m'est arrivé à cause de mes deux brontosaures de la bouteille estampillée vinasse. C'était en été et je revenais d'une mission éprouvante dans le désert. J'avais combattu des éléphants aux ailes métalliques, un jour, je vous raconterai cette mission très périlleuse. Il faut savoir que chez mon alcoolique transalpin skieur sur neige fondue, je dors souvent sur le noyer où je grimpe grâce à la souplesse de mon corps très svelte et mes superbes Nike immaculées. Donc, je dormais dans l'arbre d'un sommeil bien mérité. Mes deux moutons transgéniques à six pattes, avaient décidé de jouer aux fléchettes. Il accroche la cible sur l'arbre en général. Celle-ci représente un bouchon de vin et celui qui met la flèche au centre gagne la partie et l'autre lui doit une bouteille de vinasse. Elle venait déjà de gagner dix bouteilles et mon tricératops tricéphale était agacé. Il tire violemment et c'est dans ma cuisse qu'a finie la fléchette. De suite, il me ramène à la cabane. Il me dit qu'est que tu as mon gentil minet, ho non, un trou dans la cuisse. Il s'en va prendre une tenaille et retire la pointe. Tu vois ce n'était rien qu'il me dit. Ce a quoi, j'ai répondu, hé soûlard, j'ai perdu un litre d'intelligence. Donc voyant l'hémorragie, il décide de m'emmener chez l'allemand. Elle a eu une crise d'angoisse et comme, elle fait en pareil cas, elle faisait la puce sauteuse. Arrivée dans la voiture, elle n'arrêtait pas de sauter en se tapant le crâne à chaque fois dans le toit de la voiture. Lui de peur qu'elle ne se blesse et malgré mon état gravissime m'a fait faire un trou dans le toit de la voiture. Ensuite, il est parti, messe à fond en zigzagant jusqu'à Sancoins. J'ai eu la peur de ma vie. Arrivé là-bas, il me laisse chez le, soit disant soigneur. Il me dit mon gentil minet, nous allons faire des courses. Ce à quoi j'ai répondu, des courses, bien sûr soûlard, tu vas acheter les dix bouteilles de vinasse que tu dois et après vous allez à l'auberge des moines, je te connais poivrot. Je suis donc resté avec mon tortionnaire qui a fait des expériences sur moi en essayant différents produits sur la douleur. Le bougre m'a ensuite enfermé dans une cage et m'a observé pendant une heure en buvant du cognac. Ils sont revenus et m'ont récupéré. Épuisé, de douleur et de stress, je me suis endormi dans la voiture. Voilà les amis après, je ne sais plus, j'ai dormi deux jours d'affiler.
- Hé bien mon copain, quelle histoire.
- Toc toc toc, c'est impressionnant, tu as dû avoir beaucoup plus mal, toc toc toc.
- Fle fle fle, ma gendarme poète elle donne son sang au petites pattes, fle fle fle.

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#2
Lolo était médusé, sa descente en harnais plus l'enlèvement de la siamoise à Fripouille, l'avais un peu perturbé.
- Toc toc toc, comment va-t-on la retrouver, toc toc toc.
- Fle fle fle, ma gendarme poète va la rechercher, fle fle fle, elle est route et arrive bientôt, fle fle fle.
- En tout cas moi, ça m'inquiète et quelle aventure avons nous encore vécue.
Le Pépère se mit en avant pour ne pas laisser la parole à Lolo concernant le sauvetage de la soucoupe.
- Ne t'inquiète pas, Lolo, je vais mener l'enquête et la sauver comme j'ai fait avec la soucoupe.
Hé bien, il était tant qu'elle rentre ma maîtresse. Je n'ai plus de ses infâmes croquettes remplies de cocaïne. Le soûlard les a toutes mangées et c'est tant mieux. Par contre, il a dévoré tout mon colis et je suis en attente de mes quatre beaux saucissons, voir même cinq si elle tient parole de son dernier SMS reçu. Même s'il était écrit d'une main alcoolisée, il était bien marqué cinq saucissons pour toi mon gros joufflu. D'ailleurs, je n'ai pas trop apprécié l'insulte du gros joufflu, mais bon que voulez-vous, elle devait être bien imbibé et ne s'est pas rendu compte qu'elle portait atteinte à mon prestige.
- C'est un joli coup de maître, tu n'as pas perdu la patte Pépère.
- Oui, tu as vu Un-œil comme Pépère nous a tiré de ce mauvais pas.
- Tu vois, Isidore, c'est le premier sauvetage de Pépère que je vois et, franchement, je suis épaté.
- Oui, Turbo, Chouânne nous l'avais dit que son Tigrou nous sauverait avec brio.
Mais dit moi, tu n'as pas trop peiné mon loulou ?
- Pas du tout, Liettuje, je vais vous expliquer comment j'ai fait.
Déjà, Lolo a été simplement génial en me retenant, même s'il n'a pas osé descendre au bout du harnais.
Lolo était étonné, car Pépère était déjà en train de transformer l'histoire.
- Oui, Pépère, j'ai fait au mieux que j'ai pu malgré que j'eusse un peu peur, mais pas plus que ça.
- Toc toc toc, c'était génial, mon bec n'a pas été en danger.
- Fle fle fle, et nous n'avons pas blessé de petites pattes, fle fle fle.
- Oui, donc, je disais, si on veut bien me laisser raconter mon héroïque sauvetage.
Je suis arrivé en volant et en étant à moitié sorti de la carlingue pour bien repérer la soucoupe. Je volais en pilotant d'une patte de l'extérieur et de l'autre, j'enfilais mon harnais en chantant, chat chat où t'es où as-tu mis ton chat chat, bref, les héros n'ont jamais peur.
Ensuite, je suis descendu au plus près des anneaux et j'ai sauté dans le vide.
Oui, je n'avais pas fini d'attacher mon harnais et je l'ai fait durant ma chute libre, pendant que pêcheur pilotait l'hélicoptère avec Coin-coin. Lolo, lui, tenait la corde pour me diriger et il a actionné le treuil à mon signal. Pour ne pas déséquilibrer la soucoupe, Pêcheur à remonter dans les airs à cause du déplacement d'air des pales de l'appareil. Une fois les quatre points attachés, Lolo a donc manœuvré le treuil pour mettre l'appareil parfaitement droit.
Une fois la soucoupe suspendue, je suis remonté à bout de pattes et c'est arrivé à la porte de l'appareil que je suis tombé dans le vide en glissant de mon harnais. Je suis retombé sur les branches et j'ai rebondi en l'air. Nullement désappointé, je me suis servi de ma queue comme une pale et j'ai utilisé le déplacement d'air de mon hélicoptère pour voler et j'ai ensuite atteint mon engin et repris les commandes. Ensuite, j'ai posé la soucoupe en douceur. Je me suis posé et Pêcheur, Lolo et Coin-coin sont descendus. Moi pour me calmer un peu, j'ai repris les airs une fois qu'ils aient eu détacher la soucoupe et j'ai été faire quelques loopings avant de laisser retomber l'hélicoptère dans le vide. Juste avant, j'ai sauté dans le vide et suis retombé dans mon engin pendant sa chute libre. Voilà, cette prouesse était dans le seul but de me détendre. D'ailleurs, je l'ai faite en chantant, chat chat où t'es, mais où as-tu mis ton chat chat.
Les occupants de la soucoupe étaient sidérés de la prouesse de Pépère. Coin-coin, Pêcheur et Lolo n'oserent ne dire que ce ne s'était pas trop passé de la sorte.

Les occupants de la soucoupe étaient déjà en train de réparer le moteur défectueux. Pendant ce temps, Pépère remonta dans son hélicoptère pour continuer ses recherches.
- Toc toc toc, tu as du sang, sur ta cuisse toc toc.
- Fle fle fle, oui Pépère, tu t'es blessé, fle fle fle.
- Oui, Pépère, tu devrais peut-être t'arrêter.
En fait de blessure, c'était simplement du ketchup. Avant de repartir, il avait proposé à Liettuje de contrôler les équipements de bords. En regardant les instruments, il avait trouvé de la viandes séchée dans un petit espace réservé à la nourriture et ne s'était pas privé sur le ketchup qu'il avait trouvé avec. Il s'en était fait tombé sur la cuisse.
- Ne t'inquiète pas Lolo, je suis hyper résistant et on verra ça plus tard, j'ai connu bien pire.
- Oui, lors des attentats du onze septembre, chat chat chat.
- Oui, toc toc toc, ta blessure à la hanche toc toc toc.
- Fle fle fle, ma gendarme poète, elle soigne les petites pattes, fle fle fle.
Pas dû tout, mes amis laissez moi vous l'expliquer.
C'était plutôt le onze degré de chez la villageoise ce jour-là. Voilà l'histoire, qu'il m'est arrivé à cause de mes deux brontosaures de la bouteille estampillée vinasse. C'était en été et je revenais d'une mission éprouvante dans le désert. J'avais combattu des éléphants aux ailes métalliques, un jour, je vous raconterai cette mission très périlleuse. Il faut savoir que chez mon alcoolique transalpin skieur sur neige fondue, je dors souvent sur le noyer où je grimpe grâce à la souplesse de mon corps très svelte et mes superbes Nike immaculées. Donc, je dormais dans l'arbre d'un sommeil bien mérité. Mes deux moutons transgéniques à six pattes, avaient décidé de jouer aux fléchettes. Il accroche la cible sur l'arbre en général. Celle-ci représente un bouchon de vin et celui qui met la flèche au centre gagne la partie et l'autre lui doit une bouteille de vinasse. Elle venait déjà de gagner dix bouteilles et mon tricératops tricéphale était agacé. Il tire violemment et c'est dans ma cuisse qu'a finie la fléchette. De suite, il me ramène à la cabane. Il me dit qu'est que tu as mon gentil minet, ho non, un trou dans la cuisse. Il s'en va prendre une tenaille et retire la pointe. Tu vois ce n'était rien qu'il me dit. Ce a quoi, j'ai répondu, hé soûlard, j'ai perdu un litre d'intelligence. Donc voyant l'hémorragie, il décide de m'emmener chez l'allemand. Elle a eu une crise d'angoisse et comme, elle fait en pareil cas, elle faisait la puce sauteuse. Arrivée dans la voiture, elle n'arrêtait pas de sauter en se tapant le crâne à chaque fois dans le toit de la voiture. Lui de peur qu'elle ne se blesse et malgré mon état gravissime m'a fait faire un trou dans le toit de la voiture. Ensuite, il est parti, messe à fond en zigzagant jusqu'à Sancoins. J'ai eu la peur de ma vie. Arrivé là-bas, il me laisse chez le, soit disant soigneur. Il me dit mon gentil minet, nous allons faire des courses. Ce à quoi j'ai répondu, des courses, bien sûr soûlard, tu vas acheter les dix bouteilles de vinasse que tu dois et après vous allez à l'auberge des moines, je te connais poivrot. Je suis donc resté avec mon tortionnaire qui a fait des expériences sur moi en essayant différents produits sur la douleur. Le bougre m'a ensuite enfermé dans une cage et m'a observé pendant une heure en buvant du cognac. Ils sont revenus et m'ont récupéré. Épuisé, de douleur et de stress, je me suis endormi dans la voiture. Voilà les amis après, je ne sais plus, j'ai dormi deux jours d'affiler.
- Hé bien mon copain, quelle histoire.
- Toc toc toc, c'est impressionnant, tu as dû avoir beaucoup plus mal, toc toc toc.
- Fle fle fle, ma gendarme poète elle donne son sang au petites pattes, fle fle fle.

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Toute une épopée l'histoire de la soucoupe.
J'ai adoré ma lecture.
Et que nous réserve demain ?
Amicalement
Gaby