Pendant que le président rentrait tranquillement avec le brigadier Tatouvu, la sœur dans l'autre voiture écoutait les délires du général picole.
Le pape conduisait tranquillement et d'un seul coup à un feu rouge la voiture cala.
- Hé bien, c'est complet, si tes chaussures sont aussi bourrées que toi, nous ne sommes pas près d'être rentrés.
- Écoutez, au nom de la loi des États-Unis et des armées internationales, je vous informe que la conduite sous l'emprise d'un état alcoolique est passible de la chaise électrique et d'un retrait de six points sur le permis du bouton rouge.
- Écoutez, vous, on ne vous demande pas combien de sucre, Donald Reagan met dans son café alors fermez là un instant d'accord.
Le pape n'arrivait pas à redémarrer la voiture et décida d'aller jeter un coup d'œil sur le moteur.
Il ouvrit le capot et se retrouva avec un espion derrière lui en la personne du général Picolle.
Le feu tricolore se mit aussi à délirer et le pape se demandait ce qui se passait.
En fait, le phénomène qu'avait amorcé la chatte robot Enarpilodienne avant d'aller délivrer les foies jaunes se poursuivait même en son absence.
Le pape vit d'un seul coup un boa sortir du moteur et il se trouva mal et tomba devant l'automobile. Le général qui n'avait pas vu ce qu'était en fait une hallucination partit en courant chercher la sœur.
Elle était dur son ipomme et avec le capot n'avait rien vu du tout.
- Vite ma sœur le bibendum fait une rupture de la semelle alcoolisée.
- Poussez-vous, tas de blaireaux, sœur Mathilde à son brevet de secouriste et elle va réanimer la baleine inanimée. J'ai déjà utilisé cet appareil pour réanimer une bouteille de vin rosée et c'est le même cépage visiblement.
La sœur sortit de son sac un défibrillateur.
Elle mit l'appareil au maximum de sa puissance et envoya une décharge sur le thorax du malheureux.
Pendant que la sœur opérait, la voiture partit toute seule en marche arrière jusqu'au feu précédent.
Elle s'apprêtait à faire un choc électrique sur le thorax du pape quand celui-ci ouvrit les yeux et se releva d'un bon. La sœur resta médusée et dans la panique n'eut pas le temps de réagir. Elle se colla chaque électrode sur les genoux accidentellement et se donna une bonne décharge électrique. Le général Picolle qui était collé à elle lui saisit le bras et reçu la décharge et tomba à côté de la sœur. Elle se releva aussi blanche que le général et s'assit aussitôt sur le bord du trottoir.
Le pape n'en revenait pas, où avait elle été chercher cet appareil. Le général commença à remuer et à son tour et se releva.
Le général quant à lui était furax et il regarda méchamment la sœur en lui disant ceci.
- Sœur Mathilde, qu'est-ce que vous faite avec cet appareil dans votre sac et où l'avez, vous trouvez ? Vous vous rendez compte de l'état de mes cheveux. Vous avez failli m'électrocuter espèce d'infirmière d'occasion au rayon, je n'ai pas de diplôme, mais je vais te soigner. Je pourrais vous condamner à deux cents ans de bouton rouge si je le voulais.
- Oui, qu'est-ce que tu trafiques avec cet engin dans ton sac, vieille chamelle irlandaise imbibée de pastis arménien jusqu'aux doigts de pieds.
- Écoute moi espèce de vieux sagouin florentin élevé au champagne mexicain, cet appareil est le cadeau farfelu du père Dominique qui pensait que c'était une batterie de secours pour appareil mobile. Ce n'est pas tout ça, mais maintenant, il faut trouver à boire et récupérer la voiture qui a reculé toute seule.
Ainos partir du terrain en observant les Américains. Elle se demandait où était passé ce sacré Pépère. Grâce à son intelligence artificielle, elle était arrivée à se connecter à Internet en passant par l'antenne du poète. Elle avait glané des milliers d'informations sur Pépère et elle le trouvait simplement génial. Elle avait visité plusieurs blogs et le Pépère avait une côte terrible auprès des minettes, mais quand il parlait de ses amours, c'était pour parler de côte de porc ou de cuisses de poulet. Elle avait remarqué qu'il avait quand même un joli petit ventre bien rebondi. Elle était contente, car son chatmoureux n'avait pas d'autres histoires avec Blanchette la coquette et Divine la rouquine.
Le pauvre Bibou était toujours au fond du terrain avec Sybage et Chadore à l'entrée du terrain.
Les Américains étaient occupés à remonter leurs tentes et cela soulageait Cookie qui n'était pas embêter pendant ce temps-là.
Le poète était reparti dans sa cabane pour écrire.
Pendant que le Pépère prospectait le Pauvre Isidore essayait de le contacter sans aucun succès.
Chatdore qui en avait marre d'attendre à l'entrée du terrain partit , Sybage et Bibou.
- Whouaf, mais que viens-tu faire ici ?
- Oui Chadore, tu ne restes pas à ton poste d'observation.
- Hé bien non-car, j'en ai marre de recevoir les ondes de l'antenne du brontosaure mal formé de l'oreille du pied-droit.
- Whouaf, elle sert à quoi cette antenne ?
- Oui, le sais-tu Chatdore ?
- Oui, c'est une antenne pour capter les ondes de la chenille d'aubépine.
- Ha bon, whouaf quel en est l'intérêt ?
- Oui pourquoi faire, c'est incompréhensible ton histoire.
- Je vais vous l'expliquer et vous aller tout comprendre. Déjà, il vous faut savoir que l'homme de Néanderthal en plus de chasser le mammouth, avait un péché mignon. La chenille d'aubépine à la mayonnaise de Dijon. Ils la chassaient en la recherchant au hasard de balade en forêt. Malheureusement bien souvent il leur fallait des jour entier pour n'en avoir qu'à peine un bol.
C'est lors d'une mission que j'ai faite à la place de Pépère que je l'ai appris.
J'avais été envoyé là-bas par l'Arabie Saoudite pour savoir où était le gros d'un troupeau de mammouth pour ramener à un émir des caca séchés que son enfant utilisait comme pâte à modeler. Arrivé là-bas, je retrouve un homme qui m'avait été présenté par Pépère en photo. Il m'invite donc dans sa grotte et pendant que sont épouse allumait de feux avec des cailloux, il m'explique cette gourmandise et la difficulté de capture. J'ai donc ramené l'information à Pépère qui a inventé cette antenne pour détecter les ondes des chenilles d'aubépine.
- Whouaf, mais nous ne sommes plus à la préhistoire.
- Oui, Chatdore, c'est un peu n'importe quoi ton histoire.
- Pas du tout, l'estomac sur patte qui habite en dessous ramasse ces chenilles pour les manger comme des frites, voilà les amis.
Le Pépère s'était remis de son malaise dû au fait qu'il avait trop mangé. Il continuait sa prospection, mais devait l'abandonner pour le moment, car il avait ses amis à sauver quelques centaines de mètres plus loin.
- Écoutez les amis, laissons ces recherches pour le moment. Je vois qu'Isidore à essayer de me contacter, nous devons aller redresser la soucoupe pour qu'ils puissent se poser, réparer et repartir vers Sancoins.
- Toc toc toc, comment allons nous faire, toc toc toc.
- Fle fle fle, nous allons attacher la soucoupe à l'hélicoptère pour la redresser, fle fle fle. Pépère en a parlé tout à l'heure, fle fle fle.
- Et qui va descendre après la corde ?
- Tu le sais bien Lolo, le spécialiste du harnais, qui veux tu que ça soit d'autre.
- Toc toc toc, Pépère est un héros, toc toc toc.
- Fle fle fle, la vraie héros c'est ma gendarme poète qui donne du pain aux petites pattes, fle fle fle.
- Tu es vraiment fort Pépère.
- Oui, je suis fort, car je vais t'apprendre et t'initier au harnais, chat chat chat.
Oui c'est la meilleure, tu as raison, Coin-coin et elle prépare un joli colis de saucissons pour son love roudoudou pour s'excuser de mes brûlures de la rétine.
Pêcheur et Coin-coin s'imaginant Lolo pendu au harnais attachant la soucoupe se mirent à rire.
- Fle fle fle fle, toc toc toc toc, c'est très drôle.
- Hé pourquoi ça serait moi ? Je n'ai pas peur, mais quand même.
- Lolo excuse moi, c'est moi le héros, le seul et unique avec ses belles Nike cirées chaque heure, alors c'est moi qui pilote l'hélicoptère et je suis le seul à savoir le faire donc c'est toi qui vas le faire.
- Allô ici Isidore, je vois l'appareil nous sommes en dessous de vous. Allô ici Isidore, nous sommes tous attachés, tu peux y aller, Pépère.
- Toc toc toc, c'est vraiment génial, toc toc toc.
- Fle fle fle, quand je vais raconter ça à ma gentille gendarme poète, fle fle fle.
- Allez, Lolo, go, go, go, Sybage sera fier de toi. N'ai pas peur, moi, je l'ai fait des milliers de fois.
Lolo descendit affublé du harnais et réussit à attacher les cordes aux anneaux de la soucoupe qui étaient prévus pour ça.
- Allô ici Pépère agent, la soucoupe est attachée. Allô ici Pépère super héros, nous vous tirons, êtes vous prêts.
- Allô ici Isidore, je te reçois cinq sur cinq, c'est bon.
En l'espace de quelques minutes, la soucoupe descendit et les occupant en descendirent.
Le Pépère posa l'hélicoptère en face et partit rejoindre Isidore qui était à côté de la fée Liettuje suivie de Un-œil et Turbo.
C'est alors que Pépère reçu un message de Fripouille.
Sa chatmoureuse avait été kidnappée.
Le pape conduisait tranquillement et d'un seul coup à un feu rouge la voiture cala.
- Hé bien, c'est complet, si tes chaussures sont aussi bourrées que toi, nous ne sommes pas près d'être rentrés.
- Écoutez, au nom de la loi des États-Unis et des armées internationales, je vous informe que la conduite sous l'emprise d'un état alcoolique est passible de la chaise électrique et d'un retrait de six points sur le permis du bouton rouge.
- Écoutez, vous, on ne vous demande pas combien de sucre, Donald Reagan met dans son café alors fermez là un instant d'accord.
Le pape n'arrivait pas à redémarrer la voiture et décida d'aller jeter un coup d'œil sur le moteur.
Il ouvrit le capot et se retrouva avec un espion derrière lui en la personne du général Picolle.
Le feu tricolore se mit aussi à délirer et le pape se demandait ce qui se passait.
En fait, le phénomène qu'avait amorcé la chatte robot Enarpilodienne avant d'aller délivrer les foies jaunes se poursuivait même en son absence.
Le pape vit d'un seul coup un boa sortir du moteur et il se trouva mal et tomba devant l'automobile. Le général qui n'avait pas vu ce qu'était en fait une hallucination partit en courant chercher la sœur.
Elle était dur son ipomme et avec le capot n'avait rien vu du tout.
- Vite ma sœur le bibendum fait une rupture de la semelle alcoolisée.
- Poussez-vous, tas de blaireaux, sœur Mathilde à son brevet de secouriste et elle va réanimer la baleine inanimée. J'ai déjà utilisé cet appareil pour réanimer une bouteille de vin rosée et c'est le même cépage visiblement.
La sœur sortit de son sac un défibrillateur.
Elle mit l'appareil au maximum de sa puissance et envoya une décharge sur le thorax du malheureux.
Pendant que la sœur opérait, la voiture partit toute seule en marche arrière jusqu'au feu précédent.
Elle s'apprêtait à faire un choc électrique sur le thorax du pape quand celui-ci ouvrit les yeux et se releva d'un bon. La sœur resta médusée et dans la panique n'eut pas le temps de réagir. Elle se colla chaque électrode sur les genoux accidentellement et se donna une bonne décharge électrique. Le général Picolle qui était collé à elle lui saisit le bras et reçu la décharge et tomba à côté de la sœur. Elle se releva aussi blanche que le général et s'assit aussitôt sur le bord du trottoir.
Le pape n'en revenait pas, où avait elle été chercher cet appareil. Le général commença à remuer et à son tour et se releva.
Le général quant à lui était furax et il regarda méchamment la sœur en lui disant ceci.
- Sœur Mathilde, qu'est-ce que vous faite avec cet appareil dans votre sac et où l'avez, vous trouvez ? Vous vous rendez compte de l'état de mes cheveux. Vous avez failli m'électrocuter espèce d'infirmière d'occasion au rayon, je n'ai pas de diplôme, mais je vais te soigner. Je pourrais vous condamner à deux cents ans de bouton rouge si je le voulais.
- Oui, qu'est-ce que tu trafiques avec cet engin dans ton sac, vieille chamelle irlandaise imbibée de pastis arménien jusqu'aux doigts de pieds.
- Écoute moi espèce de vieux sagouin florentin élevé au champagne mexicain, cet appareil est le cadeau farfelu du père Dominique qui pensait que c'était une batterie de secours pour appareil mobile. Ce n'est pas tout ça, mais maintenant, il faut trouver à boire et récupérer la voiture qui a reculé toute seule.
Ainos partir du terrain en observant les Américains. Elle se demandait où était passé ce sacré Pépère. Grâce à son intelligence artificielle, elle était arrivée à se connecter à Internet en passant par l'antenne du poète. Elle avait glané des milliers d'informations sur Pépère et elle le trouvait simplement génial. Elle avait visité plusieurs blogs et le Pépère avait une côte terrible auprès des minettes, mais quand il parlait de ses amours, c'était pour parler de côte de porc ou de cuisses de poulet. Elle avait remarqué qu'il avait quand même un joli petit ventre bien rebondi. Elle était contente, car son chatmoureux n'avait pas d'autres histoires avec Blanchette la coquette et Divine la rouquine.
Le pauvre Bibou était toujours au fond du terrain avec Sybage et Chadore à l'entrée du terrain.
Les Américains étaient occupés à remonter leurs tentes et cela soulageait Cookie qui n'était pas embêter pendant ce temps-là.
Le poète était reparti dans sa cabane pour écrire.
Pendant que le Pépère prospectait le Pauvre Isidore essayait de le contacter sans aucun succès.
Chatdore qui en avait marre d'attendre à l'entrée du terrain partit , Sybage et Bibou.
- Whouaf, mais que viens-tu faire ici ?
- Oui Chadore, tu ne restes pas à ton poste d'observation.
- Hé bien non-car, j'en ai marre de recevoir les ondes de l'antenne du brontosaure mal formé de l'oreille du pied-droit.
- Whouaf, elle sert à quoi cette antenne ?
- Oui, le sais-tu Chatdore ?
- Oui, c'est une antenne pour capter les ondes de la chenille d'aubépine.
- Ha bon, whouaf quel en est l'intérêt ?
- Oui pourquoi faire, c'est incompréhensible ton histoire.
- Je vais vous l'expliquer et vous aller tout comprendre. Déjà, il vous faut savoir que l'homme de Néanderthal en plus de chasser le mammouth, avait un péché mignon. La chenille d'aubépine à la mayonnaise de Dijon. Ils la chassaient en la recherchant au hasard de balade en forêt. Malheureusement bien souvent il leur fallait des jour entier pour n'en avoir qu'à peine un bol.
C'est lors d'une mission que j'ai faite à la place de Pépère que je l'ai appris.
J'avais été envoyé là-bas par l'Arabie Saoudite pour savoir où était le gros d'un troupeau de mammouth pour ramener à un émir des caca séchés que son enfant utilisait comme pâte à modeler. Arrivé là-bas, je retrouve un homme qui m'avait été présenté par Pépère en photo. Il m'invite donc dans sa grotte et pendant que sont épouse allumait de feux avec des cailloux, il m'explique cette gourmandise et la difficulté de capture. J'ai donc ramené l'information à Pépère qui a inventé cette antenne pour détecter les ondes des chenilles d'aubépine.
- Whouaf, mais nous ne sommes plus à la préhistoire.
- Oui, Chatdore, c'est un peu n'importe quoi ton histoire.
- Pas du tout, l'estomac sur patte qui habite en dessous ramasse ces chenilles pour les manger comme des frites, voilà les amis.
Le Pépère s'était remis de son malaise dû au fait qu'il avait trop mangé. Il continuait sa prospection, mais devait l'abandonner pour le moment, car il avait ses amis à sauver quelques centaines de mètres plus loin.
- Écoutez les amis, laissons ces recherches pour le moment. Je vois qu'Isidore à essayer de me contacter, nous devons aller redresser la soucoupe pour qu'ils puissent se poser, réparer et repartir vers Sancoins.
- Toc toc toc, comment allons nous faire, toc toc toc.
- Fle fle fle, nous allons attacher la soucoupe à l'hélicoptère pour la redresser, fle fle fle. Pépère en a parlé tout à l'heure, fle fle fle.
- Et qui va descendre après la corde ?
- Tu le sais bien Lolo, le spécialiste du harnais, qui veux tu que ça soit d'autre.
- Toc toc toc, Pépère est un héros, toc toc toc.
- Fle fle fle, la vraie héros c'est ma gendarme poète qui donne du pain aux petites pattes, fle fle fle.
- Tu es vraiment fort Pépère.
- Oui, je suis fort, car je vais t'apprendre et t'initier au harnais, chat chat chat.
Oui c'est la meilleure, tu as raison, Coin-coin et elle prépare un joli colis de saucissons pour son love roudoudou pour s'excuser de mes brûlures de la rétine.
Pêcheur et Coin-coin s'imaginant Lolo pendu au harnais attachant la soucoupe se mirent à rire.
- Fle fle fle fle, toc toc toc toc, c'est très drôle.
- Hé pourquoi ça serait moi ? Je n'ai pas peur, mais quand même.
- Lolo excuse moi, c'est moi le héros, le seul et unique avec ses belles Nike cirées chaque heure, alors c'est moi qui pilote l'hélicoptère et je suis le seul à savoir le faire donc c'est toi qui vas le faire.
- Allô ici Isidore, je vois l'appareil nous sommes en dessous de vous. Allô ici Isidore, nous sommes tous attachés, tu peux y aller, Pépère.
- Toc toc toc, c'est vraiment génial, toc toc toc.
- Fle fle fle, quand je vais raconter ça à ma gentille gendarme poète, fle fle fle.
- Allez, Lolo, go, go, go, Sybage sera fier de toi. N'ai pas peur, moi, je l'ai fait des milliers de fois.
Lolo descendit affublé du harnais et réussit à attacher les cordes aux anneaux de la soucoupe qui étaient prévus pour ça.
- Allô ici Pépère agent, la soucoupe est attachée. Allô ici Pépère super héros, nous vous tirons, êtes vous prêts.
- Allô ici Isidore, je te reçois cinq sur cinq, c'est bon.
En l'espace de quelques minutes, la soucoupe descendit et les occupant en descendirent.
Le Pépère posa l'hélicoptère en face et partit rejoindre Isidore qui était à côté de la fée Liettuje suivie de Un-œil et Turbo.
C'est alors que Pépère reçu un message de Fripouille.
Sa chatmoureuse avait été kidnappée.
