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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
À Nevers, le président, ne s'occupait absolument pas des récriminations du général Picolle qu'il prenait pour un fou.
C'est ainsi que le président se retrouva à côté du brigadier Dacia et le ministre derrière avec son nouvel ami Coco.
Le général se retrouva avec le pape et sœur Mathilde.
Il voulait à tout prix conduire la voiture et le pape ne l'entendait pas de la même oreille.
- Écouté si vous ne me laissez pas le volant, je mets le Vatican en prison et je condamne l'Italie à deux cent ans de chaise électrique et vous, je vous colle trente ans d'ogive nucléaire à perpétuité à raison de dix par jour et sans une goutte de vin. Alors maintenant obéissez et laissez le général suprême des armées mondiales conduire la voiture à Pépère. Je suis le seul ici à être digne de conduire cette voiture qui remonte dans le temps.
Chouânne, qui était à Sancoins pour préparer la scène, avait toujours un œil sur Nevers. Par télépathie, elle regardait ce qui s'y passait de temps en temps. Elle avait peur que le président se reprenne pour un champion de rallye avec la voiture de Pépère.
Elle se retrouva donc par la pensée en ces lieux à l'instant où le général Picolle démarra la voiture.
Elle se disait, qu'il avait besoin d'une petite leçon et fit en sorte que la soit disante voiture à remonter le temps se retrouva au jurassique dans une forêt peuplée de t-rexs et de vélociraptors.
- Je suis le seul ici à être digne de conduire cette voiture qui remonte dans le temps. Mais quel est ce monstre devant mon capot, je vais vous coller deux mille ans de bouton rouge et vous allez voir si je ne vais pas vous faire retirer votre déguisement de t-rex.
Dégagez la voie, terroriste, où c'est mille ans de chaise électrique à perpétuité, attention, Picolle est énervé et il ne faut pas le chercher trop longtemps.
Le général descendit de la voiture et se retrouva avec une meute derrière lui et se mit à courir.
- Maman moi peur, bouton rouge moi peur, chaise électrique moi peur, maman moi peur, Adélaïde moi peur.
Il courut dans tous les sens et battait des records de vitesse.
Dans la voiture, la sœur et le pape étaient terrorisés.
- Mais pourquoi tu l'as laissé monter au volant, espèce de vieux marin de mare au canard pour Disney Land du Vatican. Tu es vraiment grave.
Chante du NTM, vite allez chante avec ta voix de casserole, ils vont fuir en courant.
- Je ne t'ai rien demandé l'espèce de vielle limace de cave des hospices de Beaune, tu n'as qu'à sortir, tu es tellement effrayante qu'ils n'y reviendront pas.
C'est à ce moment-là que le général Picolle arrivait d'une grande boucle en courant vers la porte conducteur. Comme par miracle (grâce à la magie de Chouânne) il remonta dans la voiture coupa le contact et il était de nouveau à Nevers.
Le pape le regarda méchamment et lui dit d'une façon énervée, vous, mais alors, vous ne touchez plus jamais à rien.
Du coup la chatte robot qui volait dans les parages se retrouva prisonnière au jurassique et n'avait plus qu'à faire un bond temporel de quatorze milliards d'années-lumières pour revenir au big-bang et repartir ensuite trois cent soixante millions d'années plus loin pour revenir à notre époque. Du coup, nos amis étaient tranquille pour un petit moment.
Le général descendit de l'automobile tout penaud et monta derrière.
Le pape prit sa place avec sœur Mathilde à ses côtés.
Ils étaient déjà en train de trinquer bouteille en main.
- À la tienne Étienne à la tienne mon dieu, à la tienne vielle bique à la tienne vieux rhinocéros.
Chatdore était encore sous le coup de l'étonnement ainsi que Bibou et Sybage.
Aucun d'eux ne connaissait la voiture qui était entrée sur le terrain.
D'ailleurs, cet événement les avait tellement perturbés qu'ils étaient encore sous le coup de l'étonnement dans l'hélicoptère.
- Whouaf, mais qui s'étaient ces individus ?
- Écoute Bibou, je n'en sais pas plus que toi.
- Pendant qu'elle faisait demi-tour, le poète est parti en courant derrière.
- Tu es sûr Sybage, il était là il y a dix secondes et le Pépère est juste en face.
- Oui Chatdore, j'en suis certaine.
- Whouaf, c'est bizarre, j'ai comme l'impression que le temps est mélangé.
- Moi aussi, Bibou, qu'est-ce qui se passe. Je crois connaître ces individus en plus.
- Moi, ils ne me disent rien Chatdore, chat chat chat. Je ne les ai jamais... Je ne les ai... Mais si à la télé, c'est l'équipe de foies jaunes qui ont été arrêtés à Sancoins.
- Whouaf tu es sûr, mais que font ils ici ?
- Oui, tu en es sûr Sybage ?
- Oui, Jean-Pierre Poivrot en a parlé dans le journal de désinformation sur la un.
Chacun resta en attente de la venue de Pépère.
Effectivement, Bibou ne s'était pas trompé. Le temps était en guenilles dans leurs mémoires, car la chatte Enarpilodienne avait essayé d'arrêter le temps pendant que cochon jaune faisait demi-tour. Elle avait eut un bug à cause de l'antenne réseau à proximité du village.
Le poète était en train de revenir quand Pépère le vit dans son rétroviseur.
Heureusement que sa voiture lui était invisible.
En passant le long de la clôture, le poète vit que Cookie était énervée et se demandait pourquoi.
Il partit vers son chalet et désirait boire un café. Tous ces événements lui avaient donné faim et il salivait à l'avance, sachant ce qu'il transportait sous le bras.
- Alerte, mon directeur du remplissage des bouteilles vides est de retour. C'est bizarre que pattes cassées ne m'a pas prévenu. Si ça se trouve, il est en train de dormir le salopard.
- Toc toc toc, qu'est-ce qu'il a sous le bras, toc toc toc.
- Fle fle fle, c'est le pain pour les petites pattes, fle fle fle.
- Oui, tu as vu Pépère, on aurait dit des madeleines au beurre.
- Lolo, je t'assure, tu as trop mangé et maintenant, tu as des hallucinations.
Le Pépère se dirigea avec sa petite auto vers l'hélicoptère avec Coin-coin et Pêcheur.
L'homme, lui, déverrouilla la porte de son chalet et partit directement à son bureau. Il sortit d'une boîte vingt délicieuses madeleines.
Coin-coin était sur le siège à côté de Pépère et Pêcheur regardait de l'autre côté, si bien qu'aucun des deux ne vit le poète arriver et entrer dans son chalet.
Le Pépère par contre, l'avait parfaitement vu et dans ses yeux défilaient les madeleines comme des Dollars dans les yeux d'un héros de dessins animés. Il avait parfaitement vu ce que son maître emmenait avec lui.
- Bon les amis, nous repartons vers le canal bientôt pour que je fasse ma procession et mes Nike sont toutes sales, je m'en vais les nettoyer, j'ai du cirage à côté de la cabane.
- Toc toc toc, elles n'ont jamais été propres, toc toc toc.
- Fle fle fle, il y a du monde dans l'hélicoptère.
- Oui, Pépère, regarde, Chatdore est dans l'appareil avec Bibou.
Il monta dans l'hélicoptère et Chatdore lui raconta tout ce qui s'était passé sur le terrain.
- Toc toc toc, les foies jaunes nous poursuivent, toc toc toc.
- Fle fle fle, je vais arracher la barbe à Merguez qui veut du mal à ma gendarme poète, fle fle fle.
- Oui, ce sont sûrement eux. Hé bien Chatdore, tu vas garder l'entrée du terrain et nous allons les chercher avant de repartir vers Sancoins.
Bibou tu vas surveiller le fond du terrain avec Sybage, des fois qu'ils passent par les bois. Lolo arrête de faire des chats bisous à ta chatmoureuse, elle va en mission avec Bibou.
Il était content de lui, car il était arrivé à éloigné une partie de la bande.
Il avait dans la tête les madeleines et ne voulait pas en rester là sans y goûter avant de partir et il avait déjà un plan en tête.
- Bon, attendez-moi ici, je dois quand même nettoyer mes Nike.
- Toc toc toc, ce n'est pas bien grave, toc toc toc.
- Fle fle fle, si ça se trouve ma gendarme poète est en danger, fle fle fle.
- Oui, mais un chat de ma classe ne peut pas rester avec des Nike aussi sales.
J'ai du cirage là-bas sous le fauteuil qui est devant le gourbi de mon poêle à pétrole pour alambic Israëlienne.
Il descendit de l'hélicoptère et se dirigea vers la porte du chalet et colla son oreille contre le bois de la porte. Il crut s'évanouir, car il sentait l'odeur et écoutait le poète manger. Il sauta sur la chaise et regarda à travers la vitre. Le poète était au téléphone en même temps qu'il mangeait et buvait son café. Le Pépère se demandait comment faire diversion pour que la porte s'ouvre et qu'il puisse chiper deux ou trois madeleines.
- Tu es sûr que la jument était énervée à ce point-là ?
- Oui chérie, je te l'affirme. Je l'ai vu en allant chercher l'eau à la maison et... ho mince...
- C'est quoi ce bruit dans le téléphone qu'est-ce que tu fais ? Tu es où ? Tu manges où quoi ?
- À la cabane chérie, je viens de te le dire. Je fais du ménage en même temps. Non, je ne mange pas tout le temps quand même. Oui, j'avais oublié l'eau en fait voilà ce que je voulais dire. Ho, tu veux un coup de main toi dehors. Salopard, il est pendu devant la vitre et il urine.
- Qu'est-ce que c'est ?
- La grosse tête à Pépère, attend je pose le téléphone.
Le Pépère pour faire diversion s'était agrippé au-dessus de la vitre les pattes arrières dans le vite. Il tapait sur les vitres et urinait en même temps qu'il criait à l'intention du poète.
- Hé, boit sans soif céréalier semeur de bouteilles de cognac. Lâche moi ces madeleines et fait péter l'assiette dehors que je m'en occupe espèce d'ivrogne. Estime toi heureux, je fais pipi de l'intelligence et tu vas en avoir de la graine.
Il fut surpris par la porte qui s'ouvrit et se laissa tomber sur la chaise qui basculant dans le vide le fit rouler en bas de la plate-forme.
- Pépère, tu vas bien ? Pépère tu ne t'es pas fait de mal, Pépère viens, j'ai une madeleine pour toi.
Le Pépère était caché et attendait que le poète descende pour lui aller voler des madeleines en franchissant la porte restée entrouverte.
- Soûlard, tu vas bien ? Tu n'as pas trop picolé ? Viens, j'ai des belles bouteilles pour toi. Tant que tu l'as en ligne demande lui quand arrivent mes quatre beaux saucissons.
Le poète était descendu et le Pépère qui était sur le côté, grimpa sur la plate-forme et rentra dans la cabane sauta sur la chaise et mangea cinq madeleines en l'espace d'une minute pendant que son maître le cherchait à l'extérieur. C'est ainsi qu'il vit le Pépère passer en courant devant lui et disparaître. Il était monté dans l'hélicoptère et le poète s'exclama une fois de plus.
- Ça, alors, c'est inimaginable, il a disparu. C'est une hallucination, ce n'est pas possible.
En parlant, il était retourné vers son bureau et regardant l'assiette se dit tout haut.
- Il en reste cinq et je n'en ai mangé que dix sur vingt, c'est bizarre. Ça doit être la fatigue.
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Cortisone

Maître Poète
#2
À Nevers, le président, ne s'occupait absolument pas des récriminations du général Picolle qu'il prenait pour un fou.
C'est ainsi que le président se retrouva à côté du brigadier Dacia et le ministre derrière avec son nouvel ami Coco.
Le général se retrouva avec le pape et sœur Mathilde.
Il voulait à tout prix conduire la voiture et le pape ne l'entendait pas de la même oreille.
- Écouté si vous ne me laissez pas le volant, je mets le Vatican en prison et je condamne l'Italie à deux cent ans de chaise électrique et vous, je vous colle trente ans d'ogive nucléaire à perpétuité à raison de dix par jour et sans une goutte de vin. Alors maintenant obéissez et laissez le général suprême des armées mondiales conduire la voiture à Pépère. Je suis le seul ici à être digne de conduire cette voiture qui remonte dans le temps.
Chouânne, qui était à Sancoins pour préparer la scène, avait toujours un œil sur Nevers. Par télépathie, elle regardait ce qui s'y passait de temps en temps. Elle avait peur que le président se reprenne pour un champion de rallye avec la voiture de Pépère.
Elle se retrouva donc par la pensée en ces lieux à l'instant où le général Picolle démarra la voiture.
Elle se disait, qu'il avait besoin d'une petite leçon et fit en sorte que la soit disante voiture à remonter le temps se retrouva au jurassique dans une forêt peuplée de t-rexs et de vélociraptors.
- Je suis le seul ici à être digne de conduire cette voiture qui remonte dans le temps. Mais quel est ce monstre devant mon capot, je vais vous coller deux mille ans de bouton rouge et vous allez voir si je ne vais pas vous faire retirer votre déguisement de t-rex.
Dégagez la voie, terroriste, où c'est mille ans de chaise électrique à perpétuité, attention, Picolle est énervé et il ne faut pas le chercher trop longtemps.
Le général descendit de la voiture et se retrouva avec une meute derrière lui et se mit à courir.
- Maman moi peur, bouton rouge moi peur, chaise électrique moi peur, maman moi peur, Adélaïde moi peur.
Il courut dans tous les sens et battait des records de vitesse.
Dans la voiture, la sœur et le pape étaient terrorisés.
- Mais pourquoi tu l'as laissé monter au volant, espèce de vieux marin de mare au canard pour Disney Land du Vatican. Tu es vraiment grave.
Chante du NTM, vite allez chante avec ta voix de casserole, ils vont fuir en courant.
- Je ne t'ai rien demandé l'espèce de vielle limace de cave des hospices de Beaune, tu n'as qu'à sortir, tu es tellement effrayante qu'ils n'y reviendront pas.
C'est à ce moment-là que le général Picolle arrivait d'une grande boucle en courant vers la porte conducteur. Comme par miracle (grâce à la magie de Chouânne) il remonta dans la voiture coupa le contact et il était de nouveau à Nevers.
Le pape le regarda méchamment et lui dit d'une façon énervée, vous, mais alors, vous ne touchez plus jamais à rien.
Du coup la chatte robot qui volait dans les parages se retrouva prisonnière au jurassique et n'avait plus qu'à faire un bond temporel de quatorze milliards d'années-lumières pour revenir au big-bang et repartir ensuite trois cent soixante millions d'années plus loin pour revenir à notre époque. Du coup, nos amis étaient tranquille pour un petit moment.
Le général descendit de l'automobile tout penaud et monta derrière.
Le pape prit sa place avec sœur Mathilde à ses côtés.
Ils étaient déjà en train de trinquer bouteille en main.
- À la tienne Étienne à la tienne mon dieu, à la tienne vielle bique à la tienne vieux rhinocéros.
Chatdore était encore sous le coup de l'étonnement ainsi que Bibou et Sybage.
Aucun d'eux ne connaissait la voiture qui était entrée sur le terrain.
D'ailleurs, cet événement les avait tellement perturbés qu'ils étaient encore sous le coup de l'étonnement dans l'hélicoptère.
- Whouaf, mais qui s'étaient ces individus ?
- Écoute Bibou, je n'en sais pas plus que toi.
- Pendant qu'elle faisait demi-tour, le poète est parti en courant derrière.
- Tu es sûr Sybage, il était là il y a dix secondes et le Pépère est juste en face.
- Oui Chatdore, j'en suis certaine.
- Whouaf, c'est bizarre, j'ai comme l'impression que le temps est mélangé.
- Moi aussi, Bibou, qu'est-ce qui se passe. Je crois connaître ces individus en plus.
- Moi, ils ne me disent rien Chatdore, chat chat chat. Je ne les ai jamais... Je ne les ai... Mais si à la télé, c'est l'équipe de foies jaunes qui ont été arrêtés à Sancoins.
- Whouaf tu es sûr, mais que font ils ici ?
- Oui, tu en es sûr Sybage ?
- Oui, Jean-Pierre Poivrot en a parlé dans le journal de désinformation sur la un.
Chacun resta en attente de la venue de Pépère.
Effectivement, Bibou ne s'était pas trompé. Le temps était en guenilles dans leurs mémoires, car la chatte Enarpilodienne avait essayé d'arrêter le temps pendant que cochon jaune faisait demi-tour. Elle avait eut un bug à cause de l'antenne réseau à proximité du village.
Le poète était en train de revenir quand Pépère le vit dans son rétroviseur.
Heureusement que sa voiture lui était invisible.
En passant le long de la clôture, le poète vit que Cookie était énervée et se demandait pourquoi.
Il partit vers son chalet et désirait boire un café. Tous ces événements lui avaient donné faim et il salivait à l'avance, sachant ce qu'il transportait sous le bras.
- Alerte, mon directeur du remplissage des bouteilles vides est de retour. C'est bizarre que pattes cassées ne m'a pas prévenu. Si ça se trouve, il est en train de dormir le salopard.
- Toc toc toc, qu'est-ce qu'il a sous le bras, toc toc toc.
- Fle fle fle, c'est le pain pour les petites pattes, fle fle fle.
- Oui, tu as vu Pépère, on aurait dit des madeleines au beurre.
- Lolo, je t'assure, tu as trop mangé et maintenant, tu as des hallucinations.
Le Pépère se dirigea avec sa petite auto vers l'hélicoptère avec Coin-coin et Pêcheur.
L'homme, lui, déverrouilla la porte de son chalet et partit directement à son bureau. Il sortit d'une boîte vingt délicieuses madeleines.
Coin-coin était sur le siège à côté de Pépère et Pêcheur regardait de l'autre côté, si bien qu'aucun des deux ne vit le poète arriver et entrer dans son chalet.
Le Pépère par contre, l'avait parfaitement vu et dans ses yeux défilaient les madeleines comme des Dollars dans les yeux d'un héros de dessins animés. Il avait parfaitement vu ce que son maître emmenait avec lui.
- Bon les amis, nous repartons vers le canal bientôt pour que je fasse ma procession et mes Nike sont toutes sales, je m'en vais les nettoyer, j'ai du cirage à côté de la cabane.
- Toc toc toc, elles n'ont jamais été propres, toc toc toc.
- Fle fle fle, il y a du monde dans l'hélicoptère.
- Oui, Pépère, regarde, Chatdore est dans l'appareil avec Bibou.
Il monta dans l'hélicoptère et Chatdore lui raconta tout ce qui s'était passé sur le terrain.
- Toc toc toc, les foies jaunes nous poursuivent, toc toc toc.
- Fle fle fle, je vais arracher la barbe à Merguez qui veut du mal à ma gendarme poète, fle fle fle.
- Oui, ce sont sûrement eux. Hé bien Chatdore, tu vas garder l'entrée du terrain et nous allons les chercher avant de repartir vers Sancoins.
Bibou tu vas surveiller le fond du terrain avec Sybage, des fois qu'ils passent par les bois. Lolo arrête de faire des chats bisous à ta chatmoureuse, elle va en mission avec Bibou.
Il était content de lui, car il était arrivé à éloigné une partie de la bande.
Il avait dans la tête les madeleines et ne voulait pas en rester là sans y goûter avant de partir et il avait déjà un plan en tête.
- Bon, attendez-moi ici, je dois quand même nettoyer mes Nike.
- Toc toc toc, ce n'est pas bien grave, toc toc toc.
- Fle fle fle, si ça se trouve ma gendarme poète est en danger, fle fle fle.
- Oui, mais un chat de ma classe ne peut pas rester avec des Nike aussi sales.
J'ai du cirage là-bas sous le fauteuil qui est devant le gourbi de mon poêle à pétrole pour alambic Israëlienne.
Il descendit de l'hélicoptère et se dirigea vers la porte du chalet et colla son oreille contre le bois de la porte. Il crut s'évanouir, car il sentait l'odeur et écoutait le poète manger. Il sauta sur la chaise et regarda à travers la vitre. Le poète était au téléphone en même temps qu'il mangeait et buvait son café. Le Pépère se demandait comment faire diversion pour que la porte s'ouvre et qu'il puisse chiper deux ou trois madeleines.
- Tu es sûr que la jument était énervée à ce point-là ?
- Oui chérie, je te l'affirme. Je l'ai vu en allant chercher l'eau à la maison et... ho mince...
- C'est quoi ce bruit dans le téléphone qu'est-ce que tu fais ? Tu es où ? Tu manges où quoi ?
- À la cabane chérie, je viens de te le dire. Je fais du ménage en même temps. Non, je ne mange pas tout le temps quand même. Oui, j'avais oublié l'eau en fait voilà ce que je voulais dire. Ho, tu veux un coup de main toi dehors. Salopard, il est pendu devant la vitre et il urine.
- Qu'est-ce que c'est ?
- La grosse tête à Pépère, attend je pose le téléphone.
Le Pépère pour faire diversion s'était agrippé au-dessus de la vitre les pattes arrières dans le vite. Il tapait sur les vitres et urinait en même temps qu'il criait à l'intention du poète.
- Hé, boit sans soif céréalier semeur de bouteilles de cognac. Lâche moi ces madeleines et fait péter l'assiette dehors que je m'en occupe espèce d'ivrogne. Estime toi heureux, je fais pipi de l'intelligence et tu vas en avoir de la graine.
Il fut surpris par la porte qui s'ouvrit et se laissa tomber sur la chaise qui basculant dans le vide le fit rouler en bas de la plate-forme.
- Pépère, tu vas bien ? Pépère tu ne t'es pas fait de mal, Pépère viens, j'ai une madeleine pour toi.
Le Pépère était caché et attendait que le poète descende pour lui aller voler des madeleines en franchissant la porte restée entrouverte.
- Soûlard, tu vas bien ? Tu n'as pas trop picolé ? Viens, j'ai des belles bouteilles pour toi. Tant que tu l'as en ligne demande lui quand arrivent mes quatre beaux saucissons.
Le poète était descendu et le Pépère qui était sur le côté, grimpa sur la plate-forme et rentra dans la cabane sauta sur la chaise et mangea cinq madeleines en l'espace d'une minute pendant que son maître le cherchait à l'extérieur. C'est ainsi qu'il vit le Pépère passer en courant devant lui et disparaître. Il était monté dans l'hélicoptère et le poète s'exclama une fois de plus.
- Ça, alors, c'est inimaginable, il a disparu. C'est une hallucination, ce n'est pas possible.
En parlant, il était retourné vers son bureau et regardant l'assiette se dit tout haut.
- Il en reste cinq et je n'en ai mangé que dix sur vingt, c'est bizarre. Ça doit être la fatigue.
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Que d'histoires pour quelques madeleines.
Et demain ce sera quoi hi hi
Amicalement
Gaby