Dans la voiture du poète le pape plutôt que de faire demi-tour comme lui avait dit le président regardait son ipomme x.
- Hé vieux bouc africain décoloré au pastis irlandais, que fais tu, nous avons un ministre à délivrer du commissariat et toi tu fais du snapchat pendant que cordon-bleu se ronge le sang.
- Oui, Monsieur le Pape repartons en arrière mettre nos gilets jaunes pour passer ce barrage.
Il lâcha d'un coup le volant et se mit à dire.
- C'est une honte, les hosties ont augmenté d'un centime. C'est avec la quête que nous les payons. Ce coup-ci l'église est en faillite. Je viens de voir ça sur monsieur Google.
- Hé bien sac à vin, tu n'auras qu'à moins boire de vin de messe et tout ira pour le mieux.
- Je ne t'ai rien demandé, vieille chevaleresse édentée des cheveux, j'ai un budget à tenir au Vatican.
- Ce n'est pas un drame, Monsieur le Pape, pouvons nous repartir dans l'autre sens s'il vous plaît ?
Le pape plutôt que d'écouter le président, continua sa lecture.
- Ah, je n'avais pas vu la parution jusqu'au bout. Maintenant nous pouvons facturer les messes, merci Dieu. Bon monsieur le président vous annoncerez à tous les invités du barbecue que la messe est à deux euros et que je ne rends pas la monnaie. Pour ne pas m'encombrer de pièce, demandez leur cinq euros en précisant bien que c'est deux euros et que je ne rends pas la monnaie, mais que les hosties sont à volontés, lol. Comme ça, ils ne seront pas volés.
Le président n'en revenait pas. Il était toujours en attente que le pape fasse demi-tour. Celui-ci, rangeant son téléphone, repartit dans l'autre sens.
Pépère décida enfin de partir vers Sancoins.
Lolo était assis à côté de lui Coin-coin et Pêcheur étaient juste derrière.
Il s'arrêta un instant pour voir si Chatdore surveillait bien le poète. Il vit qu'il était avec Bibou et ne s'inquiétait pas pour son coéquipier. Il repartit affronter le général Picolle qui était à l'entrée du terrain. Il savait que celui-ci allait lui casser les Nike et lui faire perdre du temps. Il avait peur d'arriver trop tard à la boucherie pour réserver une caissette de viande en tout genre.
Dès que le général le vit, il s'interposa au milieu de l'allée. Le brigadier quant à lui était assis, le long de la haie en prétendait avoir un coup de fatigue.
- Stop, vous avez devant vous le général des armées mondiales et malgré que l'on se connaisse, vous devez me montrer vos papiers. Coupez le contact et gardez votre ceinture de sécurité. Chatpermis, chatssurance et charte grise du véhicule.
- Donc, ce véhicule est à Pépère agent, d'accord, compagnie de chatssurance la chatmut d'accord, le contrôle technique est à jour, vous avez toujours vos douze points. Avez-vous consommé du Poulet ?
- Oui monsieur l'agent, un demi-poulet après calcul de la moyenne compensée. Je ne suis pas en surcharge, vous voyez. Mais vous me connaissez, est-ce que ce contrôle était vraiment nécessaire ?
- Oui, je suis fervent de l'ordre et j'ai une fois faisant, retirer le permis de conduire à ma propre mère qui avait oublié de mettre sa ceinture. Je l'ai condamné à trois mois de bouton rouge avec sursis et une mise à l'épreuve avec l'obligation de s'attacher même pour manger en faisait installer une ceinture sur toutes les chaises de sa maison. Ensuite, je l'ai espionné à l'aide de caméra pendant ces trois mois. Alors vous voyez, je suis extrêmement carré au niveau de la loi. Vous êtes en règle donc vous pouvez y aller et n'oubliez pas que la limitation dans un chemin de terre est de quinze kilomètres à l'heure.
Le Pépère sans même se soucier des recommandations du général partit comme un fou et fit gratter les pneus. Le brigadier qui était dans l'herbe se releva brusquement et le général le regardant lui dit, vous avez bronzez à travers une passoire où une écumoire, lol.
- Pourquoi, au rond de la bois, hic, vous ne l'allez pas endommagé, hic.
- Vous ne comprenez pas la plaisanterie, c'est à cause de vos taches de rousseur, ivrogne.
Pépère était déjà sur la route.
- Chat chat où t'es, mais où as-tu mis ton chat-chat, chat chat où t'es.
- Fle fle fle, tu es ma gendarme poète, et quand je te vois, je fais fle fle.
- Toc toc toc, tu es mon toc et quand je te vois, je chante du Bibou, whouaf tu es mon whouaf et quand je te whouaf je fais whouaf whouaf.
- toc toc toc, fle fle fle, chat chat chat, il n'est pas bien ce général. Quinze à l'heure, il a bien regardé mes moustaches celui-là. Il a, à côté de lui un soûlard qui a vingt litres d'alcool par gramme de sang et il me frise la queue c'est un comble, quand je pense qu'il y en a une qui c'est fait prendre à cent vingt kilomètres à l'heure avec un engin de chantier. Et sous la direction du soûlard en question qui m'a fait trifouiller cette machine.
- Tu me fais rire mon copain, je me demande quelle histoire ça peut être encore.
- Toc toc toc, celle d'un tracteur de course, toc toc toc.
- Fle fle fle, où d'un distributeur de pain pour les petites pattes, fle fle fle.
- Hé bien pas du tout les amis et je vais vous expliquer l'affaire.
Un soir, la soûlarde passe par ici et rentre dans le gourbi. Moi j'étais devant et lisais un livre, des sourire et des chats. Mon Comanche, saoudien buveur de thé au Ricard était parti faire la cueillette des navets nucléaires dans l'enclos des sangliruniums. Elle rentre sans même faire attention à moi. Je me suis dit, c'est gentil, elle prend soin de mes yeux. En fait, elle était énervée et je l'ai compris quand elle a dit, mais où est-il encore mon soûlard. Il est arrivé à ce moment-là et me dit, Pépère, tu peux décharger les navets. Ce à quoi j'ai répondu, hé bien, tu ne manques pas d'audace, quand je pense que ce matin, j'ai fait cinquante kilomètres de harnais. Bon, je finis ma page et j'y vais, soûlard.
Je suis resté pour écouter le sujet de la contrariété. C'est alors qu'elle lui a dit avoir embouti un mur à la brigade et qu'on lui demande de réparer les dégâts. Il lui dit, je vais aller acheter du ciment et des parpaing et les fais livrer au commissariat. Elle lui dit ne pas avoir besoin de moi, car son ami portugais, c'est proposer de le faire. Elle rajoute, par contre, il n'a plus de camion actuellement alors comment va-t-on faire, dit-elle en désignant l'objet qui était devant le capharnaüm. Laisse faire qu'il lui dit, j'ai une idée, buvons plutôt l'apéritif avant de manger. Il a rajouté, tu n'as pas oublié le vin, non qu'elle lui a dit les bouteilles n'ont pas été cassées dans le choc, car elles étaient sur le siège arrière et je leur avais mis la ceinture. La soirée se passe et le lendemain, il s'en va commander son ciment et le sable avec les parpaings. Dans la matinée, un type ramène une voiture entièrement écrasée du derrière. L'avant était intact. En rentrant, il m'appelle et me dit, Pépère, tu vas m'aider, je veux voir si ce moteur marche toujours, met toi au volant, je branche la batterie sur la xm. Le moteur tournait comme une horloge malgré que la voiture était emboutie de l'arrière. Alors me dit-il, tu vas le démonter, récupérer le train roulant et le monter là-dessus en me désignant l'engin devant la cabane. Le soir s'était fini et il appelle la soûlarde, qui ne l'oublions pas arrive bientôt avec un saucisson pour moi, je l'aime, je l'aime, bref. Il lui fait voir l'engin et rajoute, Pépère à même installé un poste pour que tu aies la musique en roulant. Voilà comment elle est partit à Sancoins et s'est fait arrêter en excès de vitesse à cent vingt kilomètres à l'heure.
- Toc toc toc, c'est dur à comprendre, toc toc toc.
- Fle fle fle, elle emmenait du pain, fle fle fle.
- Oui Pépère, quel est donc ce drôle d'engin.
- Hé bien voilà, quelques semaines plus tôt son ami portugais avait emmener à mon soûlard sa jolie bétonneuse pour qu'il la répare, enfin que son chat la répare, bref. Donc il m'a fait monter un moteur et le train roulant de la voiture dessus pour qu'elle puisse l'emmener à Sancoins. Il m'avait même fait monté un autoradio à galène qui lit les disques de messes pour l'essayer avant. Voilà comment ma soûlarde, que j'aime, je précise, c'est fait arrêter en excès de vitesse en bétonneuse. Voilà les copains.
- Hé vieux bouc africain décoloré au pastis irlandais, que fais tu, nous avons un ministre à délivrer du commissariat et toi tu fais du snapchat pendant que cordon-bleu se ronge le sang.
- Oui, Monsieur le Pape repartons en arrière mettre nos gilets jaunes pour passer ce barrage.
Il lâcha d'un coup le volant et se mit à dire.
- C'est une honte, les hosties ont augmenté d'un centime. C'est avec la quête que nous les payons. Ce coup-ci l'église est en faillite. Je viens de voir ça sur monsieur Google.
- Hé bien sac à vin, tu n'auras qu'à moins boire de vin de messe et tout ira pour le mieux.
- Je ne t'ai rien demandé, vieille chevaleresse édentée des cheveux, j'ai un budget à tenir au Vatican.
- Ce n'est pas un drame, Monsieur le Pape, pouvons nous repartir dans l'autre sens s'il vous plaît ?
Le pape plutôt que d'écouter le président, continua sa lecture.
- Ah, je n'avais pas vu la parution jusqu'au bout. Maintenant nous pouvons facturer les messes, merci Dieu. Bon monsieur le président vous annoncerez à tous les invités du barbecue que la messe est à deux euros et que je ne rends pas la monnaie. Pour ne pas m'encombrer de pièce, demandez leur cinq euros en précisant bien que c'est deux euros et que je ne rends pas la monnaie, mais que les hosties sont à volontés, lol. Comme ça, ils ne seront pas volés.
Le président n'en revenait pas. Il était toujours en attente que le pape fasse demi-tour. Celui-ci, rangeant son téléphone, repartit dans l'autre sens.
Pépère décida enfin de partir vers Sancoins.
Lolo était assis à côté de lui Coin-coin et Pêcheur étaient juste derrière.
Il s'arrêta un instant pour voir si Chatdore surveillait bien le poète. Il vit qu'il était avec Bibou et ne s'inquiétait pas pour son coéquipier. Il repartit affronter le général Picolle qui était à l'entrée du terrain. Il savait que celui-ci allait lui casser les Nike et lui faire perdre du temps. Il avait peur d'arriver trop tard à la boucherie pour réserver une caissette de viande en tout genre.
Dès que le général le vit, il s'interposa au milieu de l'allée. Le brigadier quant à lui était assis, le long de la haie en prétendait avoir un coup de fatigue.
- Stop, vous avez devant vous le général des armées mondiales et malgré que l'on se connaisse, vous devez me montrer vos papiers. Coupez le contact et gardez votre ceinture de sécurité. Chatpermis, chatssurance et charte grise du véhicule.
- Donc, ce véhicule est à Pépère agent, d'accord, compagnie de chatssurance la chatmut d'accord, le contrôle technique est à jour, vous avez toujours vos douze points. Avez-vous consommé du Poulet ?
- Oui monsieur l'agent, un demi-poulet après calcul de la moyenne compensée. Je ne suis pas en surcharge, vous voyez. Mais vous me connaissez, est-ce que ce contrôle était vraiment nécessaire ?
- Oui, je suis fervent de l'ordre et j'ai une fois faisant, retirer le permis de conduire à ma propre mère qui avait oublié de mettre sa ceinture. Je l'ai condamné à trois mois de bouton rouge avec sursis et une mise à l'épreuve avec l'obligation de s'attacher même pour manger en faisait installer une ceinture sur toutes les chaises de sa maison. Ensuite, je l'ai espionné à l'aide de caméra pendant ces trois mois. Alors vous voyez, je suis extrêmement carré au niveau de la loi. Vous êtes en règle donc vous pouvez y aller et n'oubliez pas que la limitation dans un chemin de terre est de quinze kilomètres à l'heure.
Le Pépère sans même se soucier des recommandations du général partit comme un fou et fit gratter les pneus. Le brigadier qui était dans l'herbe se releva brusquement et le général le regardant lui dit, vous avez bronzez à travers une passoire où une écumoire, lol.
- Pourquoi, au rond de la bois, hic, vous ne l'allez pas endommagé, hic.
- Vous ne comprenez pas la plaisanterie, c'est à cause de vos taches de rousseur, ivrogne.
Pépère était déjà sur la route.
- Chat chat où t'es, mais où as-tu mis ton chat-chat, chat chat où t'es.
- Fle fle fle, tu es ma gendarme poète, et quand je te vois, je fais fle fle.
- Toc toc toc, tu es mon toc et quand je te vois, je chante du Bibou, whouaf tu es mon whouaf et quand je te whouaf je fais whouaf whouaf.
- toc toc toc, fle fle fle, chat chat chat, il n'est pas bien ce général. Quinze à l'heure, il a bien regardé mes moustaches celui-là. Il a, à côté de lui un soûlard qui a vingt litres d'alcool par gramme de sang et il me frise la queue c'est un comble, quand je pense qu'il y en a une qui c'est fait prendre à cent vingt kilomètres à l'heure avec un engin de chantier. Et sous la direction du soûlard en question qui m'a fait trifouiller cette machine.
- Tu me fais rire mon copain, je me demande quelle histoire ça peut être encore.
- Toc toc toc, celle d'un tracteur de course, toc toc toc.
- Fle fle fle, où d'un distributeur de pain pour les petites pattes, fle fle fle.
- Hé bien pas du tout les amis et je vais vous expliquer l'affaire.
Un soir, la soûlarde passe par ici et rentre dans le gourbi. Moi j'étais devant et lisais un livre, des sourire et des chats. Mon Comanche, saoudien buveur de thé au Ricard était parti faire la cueillette des navets nucléaires dans l'enclos des sangliruniums. Elle rentre sans même faire attention à moi. Je me suis dit, c'est gentil, elle prend soin de mes yeux. En fait, elle était énervée et je l'ai compris quand elle a dit, mais où est-il encore mon soûlard. Il est arrivé à ce moment-là et me dit, Pépère, tu peux décharger les navets. Ce à quoi j'ai répondu, hé bien, tu ne manques pas d'audace, quand je pense que ce matin, j'ai fait cinquante kilomètres de harnais. Bon, je finis ma page et j'y vais, soûlard.
Je suis resté pour écouter le sujet de la contrariété. C'est alors qu'elle lui a dit avoir embouti un mur à la brigade et qu'on lui demande de réparer les dégâts. Il lui dit, je vais aller acheter du ciment et des parpaing et les fais livrer au commissariat. Elle lui dit ne pas avoir besoin de moi, car son ami portugais, c'est proposer de le faire. Elle rajoute, par contre, il n'a plus de camion actuellement alors comment va-t-on faire, dit-elle en désignant l'objet qui était devant le capharnaüm. Laisse faire qu'il lui dit, j'ai une idée, buvons plutôt l'apéritif avant de manger. Il a rajouté, tu n'as pas oublié le vin, non qu'elle lui a dit les bouteilles n'ont pas été cassées dans le choc, car elles étaient sur le siège arrière et je leur avais mis la ceinture. La soirée se passe et le lendemain, il s'en va commander son ciment et le sable avec les parpaings. Dans la matinée, un type ramène une voiture entièrement écrasée du derrière. L'avant était intact. En rentrant, il m'appelle et me dit, Pépère, tu vas m'aider, je veux voir si ce moteur marche toujours, met toi au volant, je branche la batterie sur la xm. Le moteur tournait comme une horloge malgré que la voiture était emboutie de l'arrière. Alors me dit-il, tu vas le démonter, récupérer le train roulant et le monter là-dessus en me désignant l'engin devant la cabane. Le soir s'était fini et il appelle la soûlarde, qui ne l'oublions pas arrive bientôt avec un saucisson pour moi, je l'aime, je l'aime, bref. Il lui fait voir l'engin et rajoute, Pépère à même installé un poste pour que tu aies la musique en roulant. Voilà comment elle est partit à Sancoins et s'est fait arrêter en excès de vitesse à cent vingt kilomètres à l'heure.
- Toc toc toc, c'est dur à comprendre, toc toc toc.
- Fle fle fle, elle emmenait du pain, fle fle fle.
- Oui Pépère, quel est donc ce drôle d'engin.
- Hé bien voilà, quelques semaines plus tôt son ami portugais avait emmener à mon soûlard sa jolie bétonneuse pour qu'il la répare, enfin que son chat la répare, bref. Donc il m'a fait monter un moteur et le train roulant de la voiture dessus pour qu'elle puisse l'emmener à Sancoins. Il m'avait même fait monté un autoradio à galène qui lit les disques de messes pour l'essayer avant. Voilà comment ma soûlarde, que j'aime, je précise, c'est fait arrêter en excès de vitesse en bétonneuse. Voilà les copains.
