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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Sous la plate-forme, Chatdore n'en revenait pas. Assez naïf, il avait cru à l'histoire de sauvetage du Pépère. De plus, il n'en revenait pas que ses deux coéquipiers de Sancoins soient des experts en terrorisme international.
Pêcheur et Coin-coin étaient quant à eux heureux d'avoir retrouvé leur copain. Ils étaient pressés de rentrer à Sancoins, car le général commençait à les agacer avec ses histoires de bouton rouge. Seul Lolo était resté avec eux et semblait heureux de raconter ses missions.
- Donc mon général, ce jour-là, j'ai sauvé toute la commune d'une explosion nucléaire.
- Ha, vous êtes un héros capitaine Lolo. Prenez en de la graine brigadier Tatoubu. Ce chat est un héros national et je vais demander à Donald Tromp de le décorer personnellement. Mais comment avez vous fait pour y arriver.
- Hé bien, voilà que je vous raconte l'histoire. J'étais parti donner des cours de piano à un chien de race beagle. Son maître s'était absenté et comme il n'avait pas confiance en moi, il avait mis des caméras. C'est alors que je m'attelle à lui dispenser des cours de solfège et ensuite des vocalises. Il avait une voix superbe. La séance avançait bien quand d'un seul coup, il me dit être gêné par un point rouge clignotant. C'est alors que j'ai été voir de près ce que c'était. Entre temps, j'étais sur une mission de trafic d'ogive nucléaire. Vous vous doutez bien que ce soit le maître à Pépère qui était dans le collimateur. Deux jours plus tôt sa soûlarde avait posé sur sa table une soit disante commande de vin irakien. Par curiosité, j'ai été jeté un œil et c'était écrit en Arabe. Lui arrive à ce moment et me demande ce que je fais là. Je lui réponds qu'étant donné que Pépère était en mission, j'étais préposé au harnais. Puis une fois, dehors, je l'ai entendu au téléphone parler d'avion et de vol pour l'Irak. C'est alors que je frappe et que je lui annonce que la soûlarde est passée et qu'elle a posé une commande de vin irakien. Il avait l'air gêné et me dit que ce sont des vignes nucléaires que Pépère à été planté là-bas. Je n'ai pas cru ses mensonges de la vérité fausse qui n'est pas vraie. Donc, pour revenir à mes cours de piano avec le beagle, je trouve la caméra et la pose sur le balcon à l'extérieur de la pièce. C'est alors que j'ai eu un trou sur le travail d'une phonème et que j'ai été sur Google et découvert qu'un avion avait été signalé dans la région comme ayant un vol inquiétant au-dessus de la commune. J'ai tout de suite pensé à l'irradié de la capsule. C'est alors que j'ai laissé le beagle pour aller sauver la commune. En fait, l'homme était ivre et risquait de faire tomber l'ogive. Je suis monté dans les airs avec l'hélicoptère à Pépère pour le surveiller et d'un seul coup, j'ai vu d'en haut le missile tomber dans le vide. J'ai alors mis le pilote automatique sur l'hélicoptère et j'ai sauté dans le vide. J'ai désamorcé l'engin avant qu'il ne touche le sol en volant en chute libre à côté. L'hélicoptère qui était arrivé en dessous en automatique à vu le missile passer devant lui. Moi, j'ai pu sauter dans l'hélicoptère et l'explosif à fini dans le champ à Cookie, qui pourrait vous confirmer mon histoire. J'ai ensuite posé l'hélicoptère et j'ai été finir de donner mes cours au beagle.
- Vous avez entendu, Tatoubu, ça, c'est un vrai héros. Pour vous mater de votre inexpérience, je vous rajoute cent ans de bouton rouge à perpétuité et vous aller répondre aux nombreuses femmes qui me courtisent sur Facebook puisque vous n'avez pas d'utilité en temps qu'agent de la force publique. Même François est plus fort que vous, on se demande ce que vous faites dans la gendarmerie mon pauvre.
Au fait, où sont passés les deux agents Coin-coin et Pêcheur ?
Mais je ne me trompe pas, ce sont eux que je vois là-bas sous la cabane. Oui, c'est confirmé et ils ont retrouvé Pépère. Tatoubu, vous êtes nul à ch, pardonnez moi l'expression. Si nous avions attendu après vous, il serait toujours kidnappé par les terroristes belges de la grotte à Bernadette Soubirous. Comptez sur moi pour faire un rapport complet à Donald sur vos agissements et que je demande votre destitution. Alors, attelez-vous à répondre à mes chéries pour l'instant, je statuerai sur votre cas plus tard, allons rejoindre nos deux héros.
Le Pépère était lui aussi pressé de retourner à Sancoins. Les promotions de la boucherie de Paris finissaient le soir. Il vit que le général regardait en sa direction, mais il était occupé à parler au brigadier donc, il avait le temps. Il se disait faisons comme si l'on ne le voyait pas.
- Nous devons retourner à Sancoins au plus vite, car le médicament que j'ai pris pour ma hanche ne me convient pas. Je dois retourner d'urgence à la pharmacie.
- Toc toc toc, celle qui est à côté de la boucherie toc toc toc.
- Fle fle fle, nous allons passer devant la gendarmerie, fle fle fle. Je vais aller faire un bisou bec, à ma gendarme poète, fle fle fle. Je suis content, fle fle fle. Mais le canal, mon copain, fle fle fle.
- Oui, mais si Pépère à mal à la hanche et qu'il est en danger, il n'a pas le choix, répondit Chatdore qui était inquiet pour son copain.
- Oui, je vais prévenir le général et nous partirons de suite. Ce médicament que j'ai pris tout à l'heure est contre-indiqué pour ma santé et mon intelligence.
- Toc toc toc, tu ne vas pas mourir, toc toc toc, je suis très inquiet.
- Fle fle fle, il faut prévenir ma gendarme poète, fle fle fle, qu'elle appel le chatmu, fle fle fle.
- Oui, mon copain, que se passe-t-il avec ce remède, explique nous. Et moi, qu'est-ce que je fais, je viens avec vous ?
- Non, Chatdore, tu vas rester ici et surveiller mon brontosaure sédentaire déménageur régulier en vinasse. Surtout fait attention à la soûlarde, si elle rentre, regarde bien qu'elle me ramène mon saucisson. Elle est en voiture avec son ami portugais. Leur auto est facilement repérable, c'est une Renault douze break, c'est une occasion qu'il lui a fait avoir en échange du cadeau de la bétonneuse qu'elle lui a offert. C'est la voiture de ses rêves et elle l'espérait depuis sa plus tendre jeunesse alors qu'elle roulait encore en motobécane cinquante et un en chantant, Isidore le citadin. Surtout, si elle te donne des croquettes fait attention, elles contiennent de la drogue. Si elle te donne de l'eau aussi, attention, ça peut être de la vodka. Elle va essayer de t'alcooliser pour que tu boives avec eux pour noyer Maurice le poisson dans un pot de chocolat pour manger mon saucisson sous ton nez. Si elle te dit, mon gentil minet tu as le poil jaune, attention aussi, cela veut dire le colza et le torturien à l'accent allemand de Sancoins. Normalement, elle doit arriver bientôt donc à méfiance mon copain. Oui, Josiane est restée seule à l'appartement et elle ne veut plus décoller du canapé et elle n'arrive plus à la joindre par téléphone. Donc, elle va sûrement rentrer rapidement de peur que la bête soit malade et ne puisse plus lui donner du vin en mangeant le raisin nucléaire. Moi, je vais aller à la pharmacie, car le médicament que l'on m'a donné contient de l'intelligence pour poil de chien. Cette molécule est contre-indiquée pour le morceau de titane que j'ai dans le cœur. Voilà les amis.
- Toc toc toc, nous partons quand, toc toc toc,
- Je reste ici mon copain ?
- Oui, reste sous la plate-forme pour surveiller le brontosaure mon copain. Je vais voir le général Picolle et nous parton.
- Fle fle fle, je vais voir ma gendarme poète, fle fle fle, je suis content.


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