Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Dans le champ le Pépère se trémoussait devant ses amis. Il était fier de ses histoire et sa chatmoureuse le regardant lui dit.
- Hé bien mon love chat, tu as dû drôlement chauffé car ton poil est encore bien roux sur le dos...
Sur Xyron, depuis le passage de Pépère et Lolo avec la fée Leïlanne les activités avaient reprises leur cours. Malgré tout le conseil supérieur de la planète s'était réuni et une note venait d'être envoyé à la fée Chouânne sur Mercure.
Depuis la visite de Pépère beaucoup de choses avait été faites pour réparer l'endroit qu'il avait pollué avec son caca. La zone avait été reboisée, mais l'odeur persistait toujours. Cela était dû à la nature du sol qui était constitué de sable prélevé sur Mars. Ce revêtement avait des propriétés insolites. En effet, l'enfouissement des déchets se fessant dans le sable il avait la capacité de faire disparaître toute trace de pollution résiduelle. Malheureusement, si les déchets restaient trop longtemps à sa surface le sable, se trouvait contaminé, par l'odeur. Le caca du Pépère avait été découvert tardivement dans la forêt où vivaient les gigonotus.
Ces animaux étaient une sorte de canard primitif, cousin éloigné de Coin-coin. Ils avaient la forme du canard avec de minuscules ailes couvertes d'un pelage et le reste du corps était couvert lui de poil. Ils avaient un long bec avec une langue gigantesque à l'intérieur et des dents dans l'estomac. Ils se nourrissaient des branche du Génarimus qui peuplait ce bois. Ces arbres étaient une sorte d'eucalyptus géant avec des aiguilles violettes fluorescentes.
Un matin, les habitants découvrirent que les gigonotus avaient un virus. Celui-ci fut analysé et on trouva qu'il venait de Mars. Le Pépère d'ailleurs avait été contaminé au contact des animaux malgré l'interdiction de Chouânne de pénétrer dans le bois. Cela lui provoquant des hallucinations passagères et de terribles coliques. Ce que ne savait pas Chouânne à l'époque où la chose fut découverte, c'est que ce virus était transmissible à l'homme.
C'est ainsi que sur terre, on se retrouva avec des milliers d'individus totalement abêtis qui erraient depuis des mois sans que personne ne sache pourquoi. Le Pépère en arrivant sur la commune avait fait caca au-dessus de la gendarmerie et le vent avait disséminé la maladie. En plus des coliques et des hallucinations, le virus provoquait chez l'homme une névrose pour le jaune et l'habitat en bois en milieu inadapté une copulation sauvage exagérée. De plus, un trouble du comportement et de la parole pouvait s'ajouter à cela sous la forme de l'oubli du langage jusqu'à ce que la personne ne soit plus capable que de répondre, ah où ah ouuuuu, on ne lâche rien. En fait, ces paroles étaient considérées comme le déni du virus, ah où ah ouuuuu, j'ai mal au ventre, je suis déjà vide, je ne lâche plus rien.
C'est sur la scène que Chouânne reçu le message de Mercure. Elle finissait d'installer le matériel de sonorisation avec Mike pour que Pépère puisse faire sa messe. Elle lut le rapport avec attention. Elle se souvenait qu'effectivement Leïlanne avait été contaminé par ce terrible virus quand elle était partie visiter l'intérieur de vénus et avait retrouvé son amie Liettuje. Elle se dit qu'elle devrait maintenant être plus attentive aux faits et gestes de Pépère. Devait elle en informer le président de la République, elle avait peur pour la sécurité de Pépère et ne préférait pas en parler pour le moment.
Elchatponne pendant ce temps gardait toujours la soucoupe de Chouânne au cas d'une nouvelle tentative de vol de l'objet.
Fripouille était réparti chez lui pour manger et ses maîtres trouvaient bizarre qu'il ne soit pas avec ses deux nouveaux compagnons. Le brave minet mangea et regardant les messages de sa chatmoureuse tomba sur une bande-annonce vidéo qui était signalée. Il pouffa de rire, chat chat chat et envoya un message à Pépère.
Pendant ce temps le long de la route dans un autre temps parallèle, le Président, Le brigadier Tatouvu le pape et Sœur Mathilde étaient toujours comme des statues à côté de la camionnette des gendarmes.
À Nevers, Christophe Castaner était toujours en train d'essayer de passer les barrages des foies jaunes et des écologistes. C'est dans une épaisse fumée de pneu et de lacrymogène qu'il se résolut à sortir de sa voiture pour aller manger. L'homme n'en pouvait plus et n'avait plus que cette idée en tête. Discrètement, il arriva à passer à travers les belligérants et finit par se retrouver de l'autre côté du pont de Loire. Il avait l'impression d'avoir traversé une zone occupée pour atteindre une zone libre. Il rentra dans un bar et commanda un casse-croûte pour rester discret.
Le salesman le regardait avec insistance et finit par lui adresser la parole.
- C'est bizarre, vous ressemblez à Castaner, on ne lâche rien.
- Déjà, Christophe, bon passons, vous ressemblez bien à un lapin avec votre bec-de-lièvre, je ne vous demande pas si vous êtes de la famille à Chantal Goya. Donnez-moi plutôt un café.
- Hé bien, si on ne peut plus parler avec les client ! On ne lâche rien !
- Écoutez monsieur, vous êtes là pour servir, pas pour épancher la bile de votre foie. Que faites vous comme métier ?
- Ah où ah ouuuuu ! Je suis serveur, ah où ah ouuuuu. On ne lâche rien
Dans le champ en face de Cookie, le poète arrivait vers sa cabane et trouva François.
La dispute, enfin plutôt l'échange verbal était houleux.
De l'autre côté du champ vers la cabane à Cookie, Chatdore s'agita et dit tout haut.
- Hé Pépère regarde en face qu'est-ce qui se passe ?
- Toc toc toc, ces hommes se disputent, toc toc toc, c'est inquiétant, toc toc toc.
- Fle fle fle, c'est drôlement animé, fle fle fle.
- Ne t'inquiète pas ma chatmoureuse, Lolo est là, il ne t'arrivera rien, je suis l'un des agents secrets le plus fort au monde.
- Hé bien, je vais vous le dire moi ce qui se passe. Mes deux alcooliques se disputent pour le précieux liquide qui était dans les bouteilles de limonade. Ce n'est pas un homme, je te rassure Pêcheur, c'est la soûlarde qui est déguisée pour son infiltration à Marseille dans le milieu du Pastis. Les bouteilles que tu as vu vides, Lolo, hé bien ne cherche pas elle les a bues. Tu te souviens, il y a deux jours son camion était là. Il n'y est plus, donc elle a fait le tour des cabanes de rond-point avec sa copine Josiane. Je vois le collier de la vache qui pend devant le gourbi.
- Mais où est elle ? Mon méga love Pépère le héros.
- Hé bien, je vais te le dire, dans le lit du soûlard arménien teneur de records de lever de coude. Je l'ai vu tout à l'heure. Je devinais une forme sous les draps et vu dépassé deux cornes. Elle la gave de raisin nucléaire pour qu'elle fasse du vin et la bête four être ivre à force ne cherche pas. Donc, elle a fait le tour des ronds-points et a dû se préparer dix bouteilles d'eau de vodka. Attendez, écoutez ça, j'ai un message de Fripouille.
Hé bien, ce n'est pas mon allumette pour cheminée de chais qui est en fasse. C'est sûrement un gendarme et collègue à elle qui est déguisé pour la planque de Marseille. Elle doit l'engueuler, car il n'a pas ramené de villageoise et Josiane n'a pas encore de vin à traire. Donc figurez-vous que mon soûlard est belle et bien un curé. Je vous cite l'article, mon soûlard, le poète berrichon à donc fait une messe ivre mort avec des foies jaunes. Il est en garde à vue pour un taux d'alcool de dix grammes de sang pour vingt litres d'alcool. Voilà pourquoi les deux en fasse se sont déguisé, c'est pour aller le récupérer sans être reconnus et se taper la honte.



Screenshot_20190604_180536.jpg Screenshot_20190604_180333.jpg Screenshot_20190604_180316.jpg IMG_20190531_094205.jpg
 

Cortisone

Maître Poète
#2
Dans le champ le Pépère se trémoussait devant ses amis. Il était fier de ses histoire et sa chatmoureuse le regardant lui dit.
- Hé bien mon love chat, tu as dû drôlement chauffé car ton poil est encore bien roux sur le dos...
Sur Xyron, depuis le passage de Pépère et Lolo avec la fée Leïlanne les activités avaient reprises leur cours. Malgré tout le conseil supérieur de la planète s'était réuni et une note venait d'être envoyé à la fée Chouânne sur Mercure.
Depuis la visite de Pépère beaucoup de choses avait été faites pour réparer l'endroit qu'il avait pollué avec son caca. La zone avait été reboisée, mais l'odeur persistait toujours. Cela était dû à la nature du sol qui était constitué de sable prélevé sur Mars. Ce revêtement avait des propriétés insolites. En effet, l'enfouissement des déchets se fessant dans le sable il avait la capacité de faire disparaître toute trace de pollution résiduelle. Malheureusement, si les déchets restaient trop longtemps à sa surface le sable, se trouvait contaminé, par l'odeur. Le caca du Pépère avait été découvert tardivement dans la forêt où vivaient les gigonotus.
Ces animaux étaient une sorte de canard primitif, cousin éloigné de Coin-coin. Ils avaient la forme du canard avec de minuscules ailes couvertes d'un pelage et le reste du corps était couvert lui de poil. Ils avaient un long bec avec une langue gigantesque à l'intérieur et des dents dans l'estomac. Ils se nourrissaient des branche du Génarimus qui peuplait ce bois. Ces arbres étaient une sorte d'eucalyptus géant avec des aiguilles violettes fluorescentes.
Un matin, les habitants découvrirent que les gigonotus avaient un virus. Celui-ci fut analysé et on trouva qu'il venait de Mars. Le Pépère d'ailleurs avait été contaminé au contact des animaux malgré l'interdiction de Chouânne de pénétrer dans le bois. Cela lui provoquant des hallucinations passagères et de terribles coliques. Ce que ne savait pas Chouânne à l'époque où la chose fut découverte, c'est que ce virus était transmissible à l'homme.
C'est ainsi que sur terre, on se retrouva avec des milliers d'individus totalement abêtis qui erraient depuis des mois sans que personne ne sache pourquoi. Le Pépère en arrivant sur la commune avait fait caca au-dessus de la gendarmerie et le vent avait disséminé la maladie. En plus des coliques et des hallucinations, le virus provoquait chez l'homme une névrose pour le jaune et l'habitat en bois en milieu inadapté une copulation sauvage exagérée. De plus, un trouble du comportement et de la parole pouvait s'ajouter à cela sous la forme de l'oubli du langage jusqu'à ce que la personne ne soit plus capable que de répondre, ah où ah ouuuuu, on ne lâche rien. En fait, ces paroles étaient considérées comme le déni du virus, ah où ah ouuuuu, j'ai mal au ventre, je suis déjà vide, je ne lâche plus rien.
C'est sur la scène que Chouânne reçu le message de Mercure. Elle finissait d'installer le matériel de sonorisation avec Mike pour que Pépère puisse faire sa messe. Elle lut le rapport avec attention. Elle se souvenait qu'effectivement Leïlanne avait été contaminé par ce terrible virus quand elle était partie visiter l'intérieur de vénus et avait retrouvé son amie Liettuje. Elle se dit qu'elle devrait maintenant être plus attentive aux faits et gestes de Pépère. Devait elle en informer le président de la République, elle avait peur pour la sécurité de Pépère et ne préférait pas en parler pour le moment.
Elchatponne pendant ce temps gardait toujours la soucoupe de Chouânne au cas d'une nouvelle tentative de vol de l'objet.
Fripouille était réparti chez lui pour manger et ses maîtres trouvaient bizarre qu'il ne soit pas avec ses deux nouveaux compagnons. Le brave minet mangea et regardant les messages de sa chatmoureuse tomba sur une bande-annonce vidéo qui était signalée. Il pouffa de rire, chat chat chat et envoya un message à Pépère.
Pendant ce temps le long de la route dans un autre temps parallèle, le Président, Le brigadier Tatouvu le pape et Sœur Mathilde étaient toujours comme des statues à côté de la camionnette des gendarmes.
À Nevers, Christophe Castaner était toujours en train d'essayer de passer les barrages des foies jaunes et des écologistes. C'est dans une épaisse fumée de pneu et de lacrymogène qu'il se résolut à sortir de sa voiture pour aller manger. L'homme n'en pouvait plus et n'avait plus que cette idée en tête. Discrètement, il arriva à passer à travers les belligérants et finit par se retrouver de l'autre côté du pont de Loire. Il avait l'impression d'avoir traversé une zone occupée pour atteindre une zone libre. Il rentra dans un bar et commanda un casse-croûte pour rester discret.
Le salesman le regardait avec insistance et finit par lui adresser la parole.
- C'est bizarre, vous ressemblez à Castaner, on ne lâche rien.
- Déjà, Christophe, bon passons, vous ressemblez bien à un lapin avec votre bec-de-lièvre, je ne vous demande pas si vous êtes de la famille à Chantal Goya. Donnez-moi plutôt un café.
- Hé bien, si on ne peut plus parler avec les client ! On ne lâche rien !
- Écoutez monsieur, vous êtes là pour servir, pas pour épancher la bile de votre foie. Que faites vous comme métier ?
- Ah où ah ouuuuu ! Je suis serveur, ah où ah ouuuuu. On ne lâche rien
Dans le champ en face de Cookie, le poète arrivait vers sa cabane et trouva François.
La dispute, enfin plutôt l'échange verbal était houleux.
De l'autre côté du champ vers la cabane à Cookie, Chatdore s'agita et dit tout haut.
- Hé Pépère regarde en face qu'est-ce qui se passe ?
- Toc toc toc, ces hommes se disputent, toc toc toc, c'est inquiétant, toc toc toc.
- Fle fle fle, c'est drôlement animé, fle fle fle.
- Ne t'inquiète pas ma chatmoureuse, Lolo est là, il ne t'arrivera rien, je suis l'un des agents secrets le plus fort au monde.
- Hé bien, je vais vous le dire moi ce qui se passe. Mes deux alcooliques se disputent pour le précieux liquide qui était dans les bouteilles de limonade. Ce n'est pas un homme, je te rassure Pêcheur, c'est la soûlarde qui est déguisée pour son infiltration à Marseille dans le milieu du Pastis. Les bouteilles que tu as vu vides, Lolo, hé bien ne cherche pas elle les a bues. Tu te souviens, il y a deux jours son camion était là. Il n'y est plus, donc elle a fait le tour des cabanes de rond-point avec sa copine Josiane. Je vois le collier de la vache qui pend devant le gourbi.
- Mais où est elle ? Mon méga love Pépère le héros.
- Hé bien, je vais te le dire, dans le lit du soûlard arménien teneur de records de lever de coude. Je l'ai vu tout à l'heure. Je devinais une forme sous les draps et vu dépassé deux cornes. Elle la gave de raisin nucléaire pour qu'elle fasse du vin et la bête four être ivre à force ne cherche pas. Donc, elle a fait le tour des ronds-points et a dû se préparer dix bouteilles d'eau de vodka. Attendez, écoutez ça, j'ai un message de Fripouille.
Hé bien, ce n'est pas mon allumette pour cheminée de chais qui est en fasse. C'est sûrement un gendarme et collègue à elle qui est déguisé pour la planque de Marseille. Elle doit l'engueuler, car il n'a pas ramené de villageoise et Josiane n'a pas encore de vin à traire. Donc figurez-vous que mon soûlard est belle et bien un curé. Je vous cite l'article, mon soûlard, le poète berrichon à donc fait une messe ivre mort avec des foies jaunes. Il est en garde à vue pour un taux d'alcool de dix grammes de sang pour vingt litres d'alcool. Voilà pourquoi les deux en fasse se sont déguisé, c'est pour aller le récupérer sans être reconnus et se taper la honte.



Afficher la pièce jointe 23398 Afficher la pièce jointe 23399 Afficher la pièce jointe 23400 Afficher la pièce jointe 23401
......... Et toujours pas d'eau dans le canal. J'attends avec impatience de savoir comment elle va revenir.
Amicalement et à demain
Daniel
Gaby