Pêcheur regardant le Pépère qui allait partir vers le champ lui dit.
-Toc toc toc, ce poisson est succulent, toc toc toc, j'en mangerai bien encore, toc toc toc, les minettes ont le temps, toc toc toc.
- Fle fle fle, oui s'il te plaît Pépère, fle fle fle, encore des poissons.
Lolo salivait déjà à l'idée que Pépère ait l'idée de sortir un nouveau poulet des caisses isothermes.
Le Pépère hésitait, car il ne restait que onze poulets, mais il devait le sauvetage de sa voiture à Pêcheur et Coin-coin. Il était heureux de l'idée lui aussi de manger à nouveau du poulet, mais se résolu à n'en sortir qu'un. Il offrit plein de poissons avec sa magie aux autres animaux. Il ouvrit la caisse et sortit un poulet qui semblait plus gros et fit apparaître une balance.
- Tiens, Lolo monte là-dessus que je te pèse.
Lolo monta dessus et le Pépère nota le poids. Puis, il fit apparaître un tableau et regarda Lolo.
- Pour te prouver que je ne triche pas nous allons calculer ensemble la moyenne compensée. Donc, je note mon poids.
Le Pépère monta à son tour sur la balance et reparti au tableau, craie en patte et il se fit apparaître une paire de lunettes sur le bout du nez.
- Donc tu pèses trois kilos deux cents grammes. Retenons que tes os n'ont pas besoin d'intelligent donc tu fais en moyenne réelle, trois kilos. Notons que tu as le poil court et que tu n'as pas fait la mue, tu as donc sept cent grammes de poil qui ne sont pas à nourrir. Tu pèses en moyenne compensée en tenant compte de ton quotient intellectuel qui est de soixante, un poids de deux kilos trois cents sans intelligence supplémentaire à alimenter ce qui fait deux kilos à fournir en énergie.
Donc moi, je Pèse sept kilos neuf cent grammes. J'ai un kilo d'os à alimenter en intelligence. Je fais donc un poids réelle de huit kilos neuf cent grammes. Là-dessus, je rajoute, trois kilos de poils à nourrir étant donné que le mien est intelligent et que je n'ai pas fait la mue comme nous autres encore. Donc nous retenons onze kilos neuf cent auxquels j'ajoute cent grammes de griffe à nourrir ce qui fait douze kilos. J'ai un quotient intellectuel de trois cent quatre-vingt-dix en considérant que, mon ventre, mes joues et mes oreilles sont une réserve d'intelligence. Tu rajoutes trois kilos et nous sommes à quinze kilos. Donc, en poids compensé, nous obtenons une fraction de 15/2. Note bien dans ta tête mon loulou. Je pèse le poulet et j'ai deux kilos de viandes à distribuer pour un total de dix-sept kilos pour deux personnes. Donc deux kilos divisé par dix-sept font un ration de onze centième par personne donc deux cent vingt grammes pour toi, et comme je suis généreux, je ne décompte pas les os qui pour toi, contrairement à moi ne te fournissent pas d'intelligence, donc, deux grammes de poulet et un kilos huit pour moi.
Il prit le poulet détacha le croupion et la moitié d'une aile et les donna à Lolo. Celui-ci le regardant lui dit ;
- Ça ne fait pas lourd !
- Oui mon copain, c'est la moyenne compensée. J'ai calculé devant toi, tu as vu, je n'ai pas triché. Tiens, je suis bon prince, je t'offre les abats qui sont restés à l'intérieur. Alors révérence à ton bienfaiteur.
- Toc toc toc, nous, on est aussi fort et on mange pareil, toc toc toc.
Fle fle fle, ce poisson est succulent, fle fle fle. Tu n'as pas trop mangé Lolo, fle fle fle.
Bon, maintenant allons voir ce que font nos chatmoureuses avec mon coéquipier de choc Chatdore.
Pépère parti devant et fit signe aux autres de se taire. Il partit vers la cabane du poète pour aller voir ce qu'il s'y passait. Une fois monté sur la chaise, il vit derrière la vitre la tête de François qu'il avait pris pour sa maîtresse et qu'il dévisageait.
- Hé, bien, qu'est-ce que tu fais là espèce de cheval mal brossé. Tu as beau te déguiser en chat, je sais que tu es un cheval agent du FBI et tu regardes ce que fait François. Tu peux toujours essayer d'ouvrir la porte, je l'ai coincé avec le balai. Je sais bien que c'était toi dans le bois. C'est Adélaïde qui me l'a dit tout à l'heure. J'espère que tu ne lui as pas fait de mal au moins. Réponds-moi, je suis François celui chez qui tu as posé des micros dans sa télévision et volé son briquet Johnny.
Le Pépère le regardait avec étonnement et lui répondit.
- Hé bien, soûlarde, tu n'en as pas marre de picoler et de manger mes croquettes. Tu ferais mieux d'ouvrir la porte et faire péter le bocal de cassoulet qui est sur l'étagère derrière toi et la succulente saucisse qui est pendue au mur de ton capharnaüm. Bon, je te laisse à ta soûlographie et je continue ma vie. Moi au moins, je sauve des gens alors continue de manger mes croquettes ça sera ça de moins à manger pour moi égoïste.
Le Pépère répartit vers ses amis et se dirigea vers Lolo et lui fit signe d'avancer.
- Toc toc toc, qu'est-ce que ça bricole là-dedans toc toc toc.
- Fle fle fle, qui est l'homme derrière le carreau, c'est ton maître fle fle fle.
Le Pépère les regardant répondit cash.
- C'est la soûlarde qui est déguisée en homme. Elle me disait qu'elle allait infiltrer un groupe de terroristes qui posent des bombes à caca devant les commissariats. C'est grâce aux renseignements précieux de Turbo qu'elle est arrivée à les localiser.
- Toc toc toc, le déguisement est parfait, toc toc toc.
- Fle fle fle, ma gendarme poète, c'est la meilleure fle fle fle.
Le groupe arriva devant, Chatdore, Ainos, Sybage et Lucie.
- Mon chatmoureux, vient me faire un bisou chat, tu as emmené Lolo, c'est génial, je t'aime mon Pépère.
- Chalut mon Lolo chatmour embrasse moi mon love chat.
Tout le monde était heureux et s'embrassait devant les autres heureux de partager ce bonheur.
Chatdore, regardant Pépère, lui demanda ;
- Qui est l'homme qui est entré dans la cabane du soûlard tout à l'heure mon copain ?
- Écoute, c'est la soûlarde qui s'est déguisé en homme pour une infiltration à Marseille dans le milieu du caca terrorisme. Elle est en train de vider des fut de pastis pour s'entraîner.
- Ha oui et elle mange, la boue elle baisse ?
- Oui mon copain, tu, c'est que c'est une invention du soûlard pour me faire avaler treize brouettes de cailloux ?
- Ha, bon, comment, c'est arrivé ?
- Toc toc toc, qu'est-ce que c'est que ça toc toc toc.
- Fle fle fle, sur le bord de ma mare il y a de la boue fle fle fle.
- Hé bien je vais vous l'expliquer les copains.
Voilà quand je suis arrivé, le stylo plume en cristal de bouchon de cognac, était en train de se demander comment faire disparaître deux cent kilos de déchets radioactifs sur son terrain. C'est alors qu'il m'a fait creuser un trou sur le côté de la cabane en plein cagnard. J'ai d'ailleurs eut peur, et même penser que ma dernière heure avait sonné. En effet, il se mit à installer une sorte de gibet au-dessus de l'endroit où, je creusais sans une goutte d'eau à boire. En fait, c'était pour mettre un palan dessous pour lever les saloperies chimiques pour les déposer dans le trou. Une fois fini, il m'a fait trier les cailloux avec un tamis pour diminuer la masse de terre. Ensuite, j'ai jeté la terre sur les saloperies. Malgré tout, ils restaient des kilos de terres à faire disparaître. C'est alors que Marc Givré a eu une idée. Il m'a fait construire un four et fait casser du bois et réunir tous les déchets de légumes nucléaires qu'ils utilisent quotidiennement. Puis, je l'ai laissé avec la soûlarde qui est arrivée. De loin, en revenant, je l'ai écouté de loin lui dire, c'est gagné la boue elle baisse, voilà les copains.
- Toc toc toc, mais je ne comprends pas la fin, toc toc toc.
- Fle fle fle, c'est compliqué de te suivre, fle fle fle.
- Hé bien, voilà, il avait l'idée de me faire manger les cailloux pour qu'ils disparaissent. La terre était mélangée à de la vinasse et ils faisaient cuire les cailloux dans la terre vinassée et rajoutaient ensuite les déchets de légumes nucléaires. En cuisant le niveau de boue baissait et il remettait de la terre. Il n'arrêtait pas de dire, yes, la boue elle baisse. Du coup, il en a fait une spécialité qui est très célèbre à Marseille la boue elle baisse.
Voilà les copains.
-Toc toc toc, ce poisson est succulent, toc toc toc, j'en mangerai bien encore, toc toc toc, les minettes ont le temps, toc toc toc.
- Fle fle fle, oui s'il te plaît Pépère, fle fle fle, encore des poissons.
Lolo salivait déjà à l'idée que Pépère ait l'idée de sortir un nouveau poulet des caisses isothermes.
Le Pépère hésitait, car il ne restait que onze poulets, mais il devait le sauvetage de sa voiture à Pêcheur et Coin-coin. Il était heureux de l'idée lui aussi de manger à nouveau du poulet, mais se résolu à n'en sortir qu'un. Il offrit plein de poissons avec sa magie aux autres animaux. Il ouvrit la caisse et sortit un poulet qui semblait plus gros et fit apparaître une balance.
- Tiens, Lolo monte là-dessus que je te pèse.
Lolo monta dessus et le Pépère nota le poids. Puis, il fit apparaître un tableau et regarda Lolo.
- Pour te prouver que je ne triche pas nous allons calculer ensemble la moyenne compensée. Donc, je note mon poids.
Le Pépère monta à son tour sur la balance et reparti au tableau, craie en patte et il se fit apparaître une paire de lunettes sur le bout du nez.
- Donc tu pèses trois kilos deux cents grammes. Retenons que tes os n'ont pas besoin d'intelligent donc tu fais en moyenne réelle, trois kilos. Notons que tu as le poil court et que tu n'as pas fait la mue, tu as donc sept cent grammes de poil qui ne sont pas à nourrir. Tu pèses en moyenne compensée en tenant compte de ton quotient intellectuel qui est de soixante, un poids de deux kilos trois cents sans intelligence supplémentaire à alimenter ce qui fait deux kilos à fournir en énergie.
Donc moi, je Pèse sept kilos neuf cent grammes. J'ai un kilo d'os à alimenter en intelligence. Je fais donc un poids réelle de huit kilos neuf cent grammes. Là-dessus, je rajoute, trois kilos de poils à nourrir étant donné que le mien est intelligent et que je n'ai pas fait la mue comme nous autres encore. Donc nous retenons onze kilos neuf cent auxquels j'ajoute cent grammes de griffe à nourrir ce qui fait douze kilos. J'ai un quotient intellectuel de trois cent quatre-vingt-dix en considérant que, mon ventre, mes joues et mes oreilles sont une réserve d'intelligence. Tu rajoutes trois kilos et nous sommes à quinze kilos. Donc, en poids compensé, nous obtenons une fraction de 15/2. Note bien dans ta tête mon loulou. Je pèse le poulet et j'ai deux kilos de viandes à distribuer pour un total de dix-sept kilos pour deux personnes. Donc deux kilos divisé par dix-sept font un ration de onze centième par personne donc deux cent vingt grammes pour toi, et comme je suis généreux, je ne décompte pas les os qui pour toi, contrairement à moi ne te fournissent pas d'intelligence, donc, deux grammes de poulet et un kilos huit pour moi.
Il prit le poulet détacha le croupion et la moitié d'une aile et les donna à Lolo. Celui-ci le regardant lui dit ;
- Ça ne fait pas lourd !
- Oui mon copain, c'est la moyenne compensée. J'ai calculé devant toi, tu as vu, je n'ai pas triché. Tiens, je suis bon prince, je t'offre les abats qui sont restés à l'intérieur. Alors révérence à ton bienfaiteur.
- Toc toc toc, nous, on est aussi fort et on mange pareil, toc toc toc.
Fle fle fle, ce poisson est succulent, fle fle fle. Tu n'as pas trop mangé Lolo, fle fle fle.
Bon, maintenant allons voir ce que font nos chatmoureuses avec mon coéquipier de choc Chatdore.
Pépère parti devant et fit signe aux autres de se taire. Il partit vers la cabane du poète pour aller voir ce qu'il s'y passait. Une fois monté sur la chaise, il vit derrière la vitre la tête de François qu'il avait pris pour sa maîtresse et qu'il dévisageait.
- Hé, bien, qu'est-ce que tu fais là espèce de cheval mal brossé. Tu as beau te déguiser en chat, je sais que tu es un cheval agent du FBI et tu regardes ce que fait François. Tu peux toujours essayer d'ouvrir la porte, je l'ai coincé avec le balai. Je sais bien que c'était toi dans le bois. C'est Adélaïde qui me l'a dit tout à l'heure. J'espère que tu ne lui as pas fait de mal au moins. Réponds-moi, je suis François celui chez qui tu as posé des micros dans sa télévision et volé son briquet Johnny.
Le Pépère le regardait avec étonnement et lui répondit.
- Hé bien, soûlarde, tu n'en as pas marre de picoler et de manger mes croquettes. Tu ferais mieux d'ouvrir la porte et faire péter le bocal de cassoulet qui est sur l'étagère derrière toi et la succulente saucisse qui est pendue au mur de ton capharnaüm. Bon, je te laisse à ta soûlographie et je continue ma vie. Moi au moins, je sauve des gens alors continue de manger mes croquettes ça sera ça de moins à manger pour moi égoïste.
Le Pépère répartit vers ses amis et se dirigea vers Lolo et lui fit signe d'avancer.
- Toc toc toc, qu'est-ce que ça bricole là-dedans toc toc toc.
- Fle fle fle, qui est l'homme derrière le carreau, c'est ton maître fle fle fle.
Le Pépère les regardant répondit cash.
- C'est la soûlarde qui est déguisée en homme. Elle me disait qu'elle allait infiltrer un groupe de terroristes qui posent des bombes à caca devant les commissariats. C'est grâce aux renseignements précieux de Turbo qu'elle est arrivée à les localiser.
- Toc toc toc, le déguisement est parfait, toc toc toc.
- Fle fle fle, ma gendarme poète, c'est la meilleure fle fle fle.
Le groupe arriva devant, Chatdore, Ainos, Sybage et Lucie.
- Mon chatmoureux, vient me faire un bisou chat, tu as emmené Lolo, c'est génial, je t'aime mon Pépère.
- Chalut mon Lolo chatmour embrasse moi mon love chat.
Tout le monde était heureux et s'embrassait devant les autres heureux de partager ce bonheur.
Chatdore, regardant Pépère, lui demanda ;
- Qui est l'homme qui est entré dans la cabane du soûlard tout à l'heure mon copain ?
- Écoute, c'est la soûlarde qui s'est déguisé en homme pour une infiltration à Marseille dans le milieu du caca terrorisme. Elle est en train de vider des fut de pastis pour s'entraîner.
- Ha oui et elle mange, la boue elle baisse ?
- Oui mon copain, tu, c'est que c'est une invention du soûlard pour me faire avaler treize brouettes de cailloux ?
- Ha, bon, comment, c'est arrivé ?
- Toc toc toc, qu'est-ce que c'est que ça toc toc toc.
- Fle fle fle, sur le bord de ma mare il y a de la boue fle fle fle.
- Hé bien je vais vous l'expliquer les copains.
Voilà quand je suis arrivé, le stylo plume en cristal de bouchon de cognac, était en train de se demander comment faire disparaître deux cent kilos de déchets radioactifs sur son terrain. C'est alors qu'il m'a fait creuser un trou sur le côté de la cabane en plein cagnard. J'ai d'ailleurs eut peur, et même penser que ma dernière heure avait sonné. En effet, il se mit à installer une sorte de gibet au-dessus de l'endroit où, je creusais sans une goutte d'eau à boire. En fait, c'était pour mettre un palan dessous pour lever les saloperies chimiques pour les déposer dans le trou. Une fois fini, il m'a fait trier les cailloux avec un tamis pour diminuer la masse de terre. Ensuite, j'ai jeté la terre sur les saloperies. Malgré tout, ils restaient des kilos de terres à faire disparaître. C'est alors que Marc Givré a eu une idée. Il m'a fait construire un four et fait casser du bois et réunir tous les déchets de légumes nucléaires qu'ils utilisent quotidiennement. Puis, je l'ai laissé avec la soûlarde qui est arrivée. De loin, en revenant, je l'ai écouté de loin lui dire, c'est gagné la boue elle baisse, voilà les copains.
- Toc toc toc, mais je ne comprends pas la fin, toc toc toc.
- Fle fle fle, c'est compliqué de te suivre, fle fle fle.
- Hé bien, voilà, il avait l'idée de me faire manger les cailloux pour qu'ils disparaissent. La terre était mélangée à de la vinasse et ils faisaient cuire les cailloux dans la terre vinassée et rajoutaient ensuite les déchets de légumes nucléaires. En cuisant le niveau de boue baissait et il remettait de la terre. Il n'arrêtait pas de dire, yes, la boue elle baisse. Du coup, il en a fait une spécialité qui est très célèbre à Marseille la boue elle baisse.
Voilà les copains.
