Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Proche d'Éisope la déesse Bastet tirait toujours sur ses quadruples rênes et ses fidèles pégases savaient d'eux même qu'ils allaient survoler la planète des poètes. Sur le sol, non loin d'une montagne de rose, ce fut Victor Hugo qui aperçut le premier le superbe quadrige de la reine de l'humanité. Il s'empressa de porter la nouvelle et chacun fut avisé de ce passage inattendu. Cela présageait que la déesse allait sûrement visiter Pépère sur Charnïa. La jolie chatte avait déjà de ses pouvoirs magiques fait usage. Franïadus scintillait de mille feux et apparut dans le ciel le couple le plus connu de l'univers Bastet et Pépère. Victor Hugo, s'empressa de dire, mais c'est Pépère !
Turbo qui était toujours dans...
- Toc toc toc, c'est donc vraie cette histoire, toc toc toc.
- Pêcheur, je suis en train d'écrire, tu peux lire en silence s'il te plaît.
- Toc toc toc, alors c'est donc vrai, Pépère voyage dans le temps et a connu Victor Hugo, toc toc toc.
- Oui Pêcheur, c'est exacte, Pépère voyage dans le temps et ses histoires sont vraies. Comment veux-tu qu'un humain puisse inventer de telles choses.
- Toc toc toc, mais alors, la gendarme poète existe aussi.
- Bien sûr Pêcheur comme toi et Coin-coin et tu parles et tu es un agent secret.
- Toc toc toc, oui, c'est vrai ça, alors pourquoi les histoires à Pépère ne seraient pas authentique, toc toc toc.
- Oui, ce sont tous de vrais personnages de cette histoire sont vrais et c'est ce qu'ils vivent au quotidien. Merci chéri de le noter et l'écrire après.
- Toc toc toc, qui es-tu ?
- Ta gentille gendarme poète mon Pêcheur, je t'aime.
- Bon, ça va finir ce bavardage, hé soûlard, tu as vu l'heure qu'il est ! Quand est-ce que je vais manger et que je vais pouvoir enfin briller en société avec mes histoires, non mais, écrit et révérence à ton chat, la soûlarde s'il te plaît, c'est mon histoire et pas la tienne et Pêcheur tu es gentil, mais lis l'histoire d'hier en attendant. Hé, soûlard, je t'ai à l'œil, tu écris d'accord !
- Oui, Pépère, ne t'inquiète pas.
- Si je m'inquiète, car tu as déjà picolé huit litres de rhum depuis ce matin.
- Oui, donc où en étais-je avant qu'on me coupe...
- La bonne excuse, qu'on le coupe, soûlard va. L'alcool et la mémoire ce n'est pas compatible.
Donc,Turbo qui était toujours dans la salle de contrôle et regardait avec le télescope la déesse qui arrivait. Il fut foudroyé d'amour quand il la vit. La chatte était d'une beauté comme il n'en avait jamais vu. Il sortit dehors et fit des bonds en tous sens usant de magie pour que la déesse vit ses Nike. Il était dans une telle crise d'orgueil que les lacets de ses NIKE explosèrent. Quand la déesse arriva sur son quadrige en or proche de lui et qu'il vit les fers en or des sabots des pégases, il faillit s'évanouir en se disant, je suis Pépère, j'ai la plus belle des déesses.
Dans le champs, Chatdore était ressorti et dansait devant la cabane.
- Chat chat où t'es, où est-ce que tu as mis ton chat chat.
- Whaa, mon méga love Chatdore, tu es le plus grand chat chanteur que je connaisse Hii.
- Hiii, chat drogué, chat mythomane, hiii sosie de Pépère, j'en ai assez vu, je préfère encore écouter Adélaïde hiii.
Cookie s'en alla exaspérée vers la clôture qui séparait son champ des Américains.
Ceux-ci étaient toujours dans le bois en train d'essayer de pénétrer dans la soucoupe des Charnïens qui étaient non loin d'eux et qui avaient pris en otage François dans la fourgonnette des gendarmes ayant profité que le Pépère avait arrêté le temps juste devant lui. Ils l'avaient écouté, parlés en avaient déduit que c'était quelqu'un d'extrêmement intelligent et qu'il devait valoir la monnaie d'échange avec les Américains contre leur soucoupe.
Sybage essayait toujours d'envoyer des messages à son chatmoureux et Ainos était intriguée par ce qu'avait dit Chatdore cinq minutes plus tôt.
- Dis, moi, tu as souvent fait du tricot avec le Pépère ? Et c'est quoi cette histoire de corbeaux armés de fusils-mitrailleurs ?
- Hé bien, oui, j'ai fait du tricot avec Pépère en pleine canicule. Le poète et sa soûlarde nous faisaient faire des espèces de longues chaussettes à un doigt. Ils disaient s'être lancés dans une action écologiste et que la température du pôle Nord était tombée à moins de quatre-vingts degrés. Ils nous faisaient tricoter des gants pour les Manchots. Pépère m'avait dit, c'est un prétexte crois moi car les Manchots n'ont pas de mains. Ça, c'est des capotes à bouteilles de vinasse ne t'y trompe pas. Nous avons donc tricoté près de mille chaussettes pour manchots. C'est alors qu'il a fallu s'arrêter pour aller en Irak récupérer un chargement de soit disantes pièces d'horlogerie pour une nouvelle passion qu'ils s'étaient découverte pour les horloges anciennes. Revenus en France, nous constatons que le soûlard est en train de monter un char d'assaut. Plus tard dans la soirée, nous avons compris les fameuses chaussettes étaient destinées pour les obus du char d'assaut. Ils avaient peur que la canicule les fasse exploser et avaient trouvé cette combine. C'est donc le lendemain que nous avons été au courant que des corbeaux nucléaires étaient nés dans les sapins à cause le l'engrais au plutonium de la vigne nucléaire. C'est pour ça qu'il avait acheté un char et que moi et pépère avons tricoté mille paires de chaussettes pour ogives nucléaires pour faire la guerre à des corbeaux armés de fusils-mitrailleurs.
- Hé, Chatdore, c'est le poète, excuse moi de te couper, mais, ça ne seraient pas un peu des inventions tes histoires.
- Hé, le soûlard va te faire coiffer la tonsure par ta soûlarde et raconte mes histoires qui au passage, je t'en informe, sont écrites par toi-même soûlard.
- Hé bien, quelle répartie, on est là, on est là, on ne lâche rien. Isidore le citadin... Oui continue Chatdore, pardon.
C'est pour ça qu'il avait acheté un char et que moi et pépère avons tricoté mille paires de chaussettes pour ogives nucléaires pour faire la guerre à des corbeaux armés de fusils-mitrailleurs.
- Hé bien, mon méga love Chatdore, tu es vraiment très fort.
À Sancoins, le Pépère était fatigué de la foule et arrêta à nouveau le temps pour le président de la République qui était à l'extérieur de la voiture avec Cécilia Presseleriz.
- Hé bien mon copain, pourquoi tu as fait ça ?
- J'ai envie d'aller à Mornay vite fait pour voir ma chatmoureuse et Chatdore pour le remercier de m'avoir prévenu des agissements de ma bougie hongroise pour voiture Polonaise. Tu pourras aussi voir Sybage et j'ai envie de manger un succulent poulet des caisses à Leïlanne, ce sont les meilleurs et tu auras ta part ne t'inquiète pas, tu connais mon célèbre sens du partage.
- La dernière fois, tu ne m'as donné que la peau et le croupion avec la ficelle.
- Oui, mon copain et conserve cette ficelle qui vaudra un jour de l'or, car c'est Pépère qui te l'a offerte. Et je t'ai expliqué que je n'ai pas les mêmes besoins que toi. Mes dents ont des neurones comme mon ventre et mon corps à plus besoin d'énergie que le tien. C'est ce qu'on appelle la moyenne compensée mon copain, un os et la peau pour toi te donne autant de force que m'en donne un poulet entier. C'est pour ça que le gargantua des faubourgs Mornaysien en profite de manger devant moi pour m'appauvrir intellectuellement. Ceci dit, hé bien, je me suis vengé. Un soir, sa soûlarde revenait de Lourdes où elle était allée pour visiter la résidence secondaire à côté de la grotte des moines. En fait, c'était pour contrôler les stocks de bouteilles, car ils y avaient eu une série de cambriolages dans le secteur. Donc, elle arrive avec un panier de victuailles qu'elle me demande de porter. Elle s'en excuse car elle me dit ; tu comprends mon joli minet, je suis grande et en route, je me suis arrêté dans un bar pour boire un café et le comptoir était au ras du sol alors je me suis brisée les reins. Ce à quoi je réponds, un bar, mais oui mes moustaches oui et un café arrosé de rhum, je connais l'histoire. Je porte donc le panier dans le capharnaüm de mon triphasé livre numérique en bois et pose le panier. J'étais comme un marmot devant une tarte aux pommes et elle me chasse sous prétexte que je mange tout. Quand on voit ma maigreur, c'est une honte de dire ça. Je m'en vais dehors et écoute la suite, chat chat chat. D'un seul coup elle voit arriver son asperge savoyarde à la tonsure d'or et s'écrie, tien mon soûlard, ce n'est pas possible, il est à-jeun hé bien ça a dû y aller pendant que j'étais absente, mais que faut il ? Il rentre et elle lui demande, pourquoi bois-tu dans la gamelle d'eau à Pépère ? J'avais soif qu'il lui dit. Il voit les victuailles et mange trois tourtes et un bocal de trois kilos de cassoulet. C'est à ce moment-là qu'elle a cru halluciné, il était devant la porte et dedans. Lui aussi en a eu pour sa monnaie, il n'a vu que l'ombre de ma queue sortir du gourbi, voilà mon copain.
- Hé bien, je n'ai pas tout compris à la fin, pourquoi deux poètes et toi où étais-tu ?
- Hé bien, ce n'est pas le soûlard qu'elle a fait rentré dans le capharnaüm, mais s'était moi, chat chat chat, je m'étais déguisé en poète et j'ai mangé le bocal de cassoulet sous ses yeux.


Screenshot_20190527_184111.jpg