Près de Franïadus, Turbo en chef de file avec Leïlanne fonçait sur l'émetteur qui envoyait le puissant faisceau vers la planète Charnïa pour assombrir le ciel.
- Leïlanne, dit moi, qu'est-ce que c'est que ces personnes en face de nous qui nous veulent du mal ?
- Hé bien mon loulou, je crois comprendre. Lors de notre bataille contre les robots Énarpilodiens, certains d'entre eux ont dû se réfugier ici et ont certainement construit d'autres robots grâce à leur savoir ancestral sur la construction d'appareillages électroniques. Regardes en face de toi, c'est l'énorme antenne qui envoie ses ondes. Préviens Isidore nous allons les attaquer de front. Les bandits n'ont pas encore de soucoupe alors ça sera rapide. Nous allons les bombarder de puissants faisceaux laser.
- Allô, ici, Turbo, Isidore place toi à côté de moi en formation à vingt et une minutes Sud et treize degrés Nord. Leïlanne arme les tubes et active les rampes de lancement, ici Turbo, Isidore en position.
- Allô, ici Isidore, bien reçu, Un-œil corrige l'assiette et Liettuje stabilise les réacteurs. Nous sommes parallèlement à vous près à faire feu. Allô ici Ididore, nous commençons les tirs dans dix secondes. Attention Un-œil lance le décompte, Liettuje donne le go.
- Ici Un-œil, Turbo, Isidore, préparer vous à votre poste de pilotage à pilonner ces malfrats robots. Dix, neuf, huit, sept, six, cinq, quatre, trois, deux, un...
- Zero, go, go, go, ici, liettuje, feu à volonté.
- Allô, ici, Turbo, Leïlanne actionne les lasers...
- Allô, ici, Isidore, Un-œil bombarde aussi.
Pif, paf, wizzz, bripss, sbroufff, les lasers cachaient leurs salves et en un rien de temps les robots Énarpilodiens qui ne s'étaient pas méfiés de l'attaque étaient anéantis. Leur grande erreur fut de penser le champ magnétique infranchissable. C'était grâce à Turbo que cela avait été possible et indirectement grâce à Fripouille et ma siamoise love.
- Allô, ici Turbo, bien joué Isidore, l'ennemi est anéanti, nous retournons sur Charnïa, bravo à tous, en tant que chef d'équipage, je vous remercie de votre héroïque travail.
- Allô, ici, Isidore, bien reçu, Turbo, retour sur Charnïa, nous vous suivons.
Dans le champ, Chatdore avait fini de danser. Il n'y avait plus de musique et il regarda Lucie dans l'espoir qu'elle le félicite de son moon walk. Il jeta un coup d'œil sur son Huachat pour voir ce que faisait Pépère. Il suivait sa chaîne assidûment et il était filmé en permanence dans la brasserie. Il le regardait faire état de la disette qui régnait dans le Cher et dit tout haut.
- Ma Pauvre Lucie, tu n'as pas connu cette époque, c'était terrible, tu sais.
- Ha, bon, mon méga love Chatdore, j'ai entendu qu'il disait manger des cailloux hii, c'était à ce point-là ?
- Même pire que ça ma Pauvre Lucie. Un jour, j'étais de passage sur le terrain et le salopard a essayé de me faire manger les croquettes du commissariat. Que, je t'explique leur fabrication. C'est sa soûlarde qui les fait avec tout les rogaton de nourriture que lui fournit le crapaud Norvégien pour lac irradié d'azote. Elle récupère le meilleur et se fait des tartes de rogatons. Oui, c'est la famine que veux tu. Elle fait donc ses entremets de rogatons au vin nucléaire et ils le mangent le soir. Ensuite les restes sont utilisés pour faire les fameuses croquettes auxquelles elle ajoute de la cocaïne prise lors de saisie. Dernièrement, elle en a ramassé vint sept kilos alors nous n'avons pas fini d'en manger des croquettes du commissariat. Donc, il me propose cette infâme mixture, je l'ai envoyé balader et lui ai répondu. Hé pirate des bacs à graviers, tu en manges toi des crottes de chien à la sauce d'uranium appauvrie. Va écouter ta messe et écrire des psaumes pour bonne sœur. Oublie pas non plus de mettre un bouchon au réservoir de ta xm qu'elle fait pipi du gazole pollué au chant grégorien en roulant. Oui, cette immonde voiture laisse couler du gazoil partout. En plus, le salopard a installé dedans un autoradio à galène avec un chargeur de soixante-dix-huit tours pour écouter la messe. Comme, il y a des trous dans les portes de cette ruine sur roues, chaque fois qu'il passe dans l'allée, on en prend plein les oreilles et le nez du coup voilà ma copine.
- Hii, il s'en passe des choses dans le coin mon méga love héros.
À Sancoins, pendant que le pape et sœur Mathilde revenaient à pied vers le canal, l'hélicoptère sillonnait toujours le ciel. Les Charnïens qui étaient à l'intérieur étaient à la recherche de la route qui menait vers le bois pour aller récupérer leur soucoupe.
Pêcheur et Coin-coin ne s'étaient pas trompé, c'était bien un leurre et ce n'était pas le Pépère. Ils venaient de le quitter à la brasserie.
Les extraterrestres dans ce faux hélicoptère qui n'était en fait que la soucoupe de Chouânne se croyaient méconnaissables.
En s'approchant les deux volatiles passèrent l'image de l'hélicoptère qui n'était autre qu'un hologramme et comprirent que c'était la soucoupe de la fée. L'un des hublots était ouvert et les deux amis rentrèrent pour corriger les occupant.
- Toc toc toc, vous êtes des amis à Merguez toc toc toc, tiens prend ça faquin, toc toc toc, et ça pirate.
- Fle fle fle, c'est Ragoût déguisé en gendarme, fle fle fle, tiens ça t'apprendra à faire du mal à ma gendarme poète qui donne à manger aux petites pattes, fle fle fle.
Les Charnïens ne s'attendaient pas à cette attaque et de panique et sous l'assaut des coups de bec, ils posèrent la soucoupe et s'enfuirent en courant.
- Fle fle fle, bravo, Pêcheur, nous avons gagné, fle fle fle.
- Toc toc toc, bravo Coin-coin, je crois que j'ai fêlé mon bec, toc toc toc.
Coin-coin examina le bec de Pêcheur et le rassura. Celui-ci était intact et les deux amis étaient heureux et repartirent vers la route pour voir où allaient les pirates qui avaient volé la soucoupe à Chouânne.
Le Pépère pendant ce temps continuait de disserter sur la famine dans le cher et sur sa mésaventure chez le médecin des bêtes comme, il se plaisait à le dire.
- Quelle drôle d'histoire Pépère, et vous êtes resté longtemps dans la voiture à attendre devant l'auberge des moines ?
- Hé bien, j'ai failli m'enfuir, mais le salopard m'a rattrapé. Une femme, que j'avais prise de loin pour une pendule est sortie de l'auberge des moines et elle est venue s'écrouler sur le capot. Mon margoulin d'occasion pour service non rendu est sorti et venu la sermonner. La bougresse est venue vers la porte avant et l'a ouverte. Je me suis dit Pépère, c'est ton salut. Mais le salopard m'a rattrapé par la peau du cou, je me suis écrié, bandit, salopard lâche moi. J'ai faim, tu refoules du goulot mon salaud. Fait péter les crêpes curé et un poulet, mais rien n'y fit et il avait dans la main une drôle de pilule et me dit. Tiens Pépère, c'est un médicament pour te soulager en attendant, pendant que je bois mon café. La femme est revenue en s'écriant, où qu'elle est la patronne ! Je ne savais plus quoi en penser et l'autre essaya de me faire ingurgiter une pilule et moi pauvre souffreteux me suis écrié à son intention, bouffe la toi-même ta pilule d'extazy au pétrole d'Arabie Saoudite, terroriste, tortionnaire, au secours, on veut m'empoisonner !! Tout ce que cet ignoble individu à su me répondre une fois que j'aie eu cédé et avalé sa drogue fut, c'est bien gamin, tu vois, tu l'as avalé ton médicament. Il a eu le droit à une copieuse réponse en ces termes. Je vais te la vomir sur la tête tu feras moins le malin, tu as de la chance que Pépère est calme ce soir sinon un coup de patte et ta xm ça serait une boîte de sardines écrasée au sol pirate.
- Hé bien, ce fut terrible.
- Leïlanne, dit moi, qu'est-ce que c'est que ces personnes en face de nous qui nous veulent du mal ?
- Hé bien mon loulou, je crois comprendre. Lors de notre bataille contre les robots Énarpilodiens, certains d'entre eux ont dû se réfugier ici et ont certainement construit d'autres robots grâce à leur savoir ancestral sur la construction d'appareillages électroniques. Regardes en face de toi, c'est l'énorme antenne qui envoie ses ondes. Préviens Isidore nous allons les attaquer de front. Les bandits n'ont pas encore de soucoupe alors ça sera rapide. Nous allons les bombarder de puissants faisceaux laser.
- Allô, ici, Turbo, Isidore place toi à côté de moi en formation à vingt et une minutes Sud et treize degrés Nord. Leïlanne arme les tubes et active les rampes de lancement, ici Turbo, Isidore en position.
- Allô, ici Isidore, bien reçu, Un-œil corrige l'assiette et Liettuje stabilise les réacteurs. Nous sommes parallèlement à vous près à faire feu. Allô ici Ididore, nous commençons les tirs dans dix secondes. Attention Un-œil lance le décompte, Liettuje donne le go.
- Ici Un-œil, Turbo, Isidore, préparer vous à votre poste de pilotage à pilonner ces malfrats robots. Dix, neuf, huit, sept, six, cinq, quatre, trois, deux, un...
- Zero, go, go, go, ici, liettuje, feu à volonté.
- Allô, ici, Turbo, Leïlanne actionne les lasers...
- Allô, ici, Isidore, Un-œil bombarde aussi.
Pif, paf, wizzz, bripss, sbroufff, les lasers cachaient leurs salves et en un rien de temps les robots Énarpilodiens qui ne s'étaient pas méfiés de l'attaque étaient anéantis. Leur grande erreur fut de penser le champ magnétique infranchissable. C'était grâce à Turbo que cela avait été possible et indirectement grâce à Fripouille et ma siamoise love.
- Allô, ici Turbo, bien joué Isidore, l'ennemi est anéanti, nous retournons sur Charnïa, bravo à tous, en tant que chef d'équipage, je vous remercie de votre héroïque travail.
- Allô, ici, Isidore, bien reçu, Turbo, retour sur Charnïa, nous vous suivons.
Dans le champ, Chatdore avait fini de danser. Il n'y avait plus de musique et il regarda Lucie dans l'espoir qu'elle le félicite de son moon walk. Il jeta un coup d'œil sur son Huachat pour voir ce que faisait Pépère. Il suivait sa chaîne assidûment et il était filmé en permanence dans la brasserie. Il le regardait faire état de la disette qui régnait dans le Cher et dit tout haut.
- Ma Pauvre Lucie, tu n'as pas connu cette époque, c'était terrible, tu sais.
- Ha, bon, mon méga love Chatdore, j'ai entendu qu'il disait manger des cailloux hii, c'était à ce point-là ?
- Même pire que ça ma Pauvre Lucie. Un jour, j'étais de passage sur le terrain et le salopard a essayé de me faire manger les croquettes du commissariat. Que, je t'explique leur fabrication. C'est sa soûlarde qui les fait avec tout les rogaton de nourriture que lui fournit le crapaud Norvégien pour lac irradié d'azote. Elle récupère le meilleur et se fait des tartes de rogatons. Oui, c'est la famine que veux tu. Elle fait donc ses entremets de rogatons au vin nucléaire et ils le mangent le soir. Ensuite les restes sont utilisés pour faire les fameuses croquettes auxquelles elle ajoute de la cocaïne prise lors de saisie. Dernièrement, elle en a ramassé vint sept kilos alors nous n'avons pas fini d'en manger des croquettes du commissariat. Donc, il me propose cette infâme mixture, je l'ai envoyé balader et lui ai répondu. Hé pirate des bacs à graviers, tu en manges toi des crottes de chien à la sauce d'uranium appauvrie. Va écouter ta messe et écrire des psaumes pour bonne sœur. Oublie pas non plus de mettre un bouchon au réservoir de ta xm qu'elle fait pipi du gazole pollué au chant grégorien en roulant. Oui, cette immonde voiture laisse couler du gazoil partout. En plus, le salopard a installé dedans un autoradio à galène avec un chargeur de soixante-dix-huit tours pour écouter la messe. Comme, il y a des trous dans les portes de cette ruine sur roues, chaque fois qu'il passe dans l'allée, on en prend plein les oreilles et le nez du coup voilà ma copine.
- Hii, il s'en passe des choses dans le coin mon méga love héros.
À Sancoins, pendant que le pape et sœur Mathilde revenaient à pied vers le canal, l'hélicoptère sillonnait toujours le ciel. Les Charnïens qui étaient à l'intérieur étaient à la recherche de la route qui menait vers le bois pour aller récupérer leur soucoupe.
Pêcheur et Coin-coin ne s'étaient pas trompé, c'était bien un leurre et ce n'était pas le Pépère. Ils venaient de le quitter à la brasserie.
Les extraterrestres dans ce faux hélicoptère qui n'était en fait que la soucoupe de Chouânne se croyaient méconnaissables.
En s'approchant les deux volatiles passèrent l'image de l'hélicoptère qui n'était autre qu'un hologramme et comprirent que c'était la soucoupe de la fée. L'un des hublots était ouvert et les deux amis rentrèrent pour corriger les occupant.
- Toc toc toc, vous êtes des amis à Merguez toc toc toc, tiens prend ça faquin, toc toc toc, et ça pirate.
- Fle fle fle, c'est Ragoût déguisé en gendarme, fle fle fle, tiens ça t'apprendra à faire du mal à ma gendarme poète qui donne à manger aux petites pattes, fle fle fle.
Les Charnïens ne s'attendaient pas à cette attaque et de panique et sous l'assaut des coups de bec, ils posèrent la soucoupe et s'enfuirent en courant.
- Fle fle fle, bravo, Pêcheur, nous avons gagné, fle fle fle.
- Toc toc toc, bravo Coin-coin, je crois que j'ai fêlé mon bec, toc toc toc.
Coin-coin examina le bec de Pêcheur et le rassura. Celui-ci était intact et les deux amis étaient heureux et repartirent vers la route pour voir où allaient les pirates qui avaient volé la soucoupe à Chouânne.
Le Pépère pendant ce temps continuait de disserter sur la famine dans le cher et sur sa mésaventure chez le médecin des bêtes comme, il se plaisait à le dire.
- Quelle drôle d'histoire Pépère, et vous êtes resté longtemps dans la voiture à attendre devant l'auberge des moines ?
- Hé bien, j'ai failli m'enfuir, mais le salopard m'a rattrapé. Une femme, que j'avais prise de loin pour une pendule est sortie de l'auberge des moines et elle est venue s'écrouler sur le capot. Mon margoulin d'occasion pour service non rendu est sorti et venu la sermonner. La bougresse est venue vers la porte avant et l'a ouverte. Je me suis dit Pépère, c'est ton salut. Mais le salopard m'a rattrapé par la peau du cou, je me suis écrié, bandit, salopard lâche moi. J'ai faim, tu refoules du goulot mon salaud. Fait péter les crêpes curé et un poulet, mais rien n'y fit et il avait dans la main une drôle de pilule et me dit. Tiens Pépère, c'est un médicament pour te soulager en attendant, pendant que je bois mon café. La femme est revenue en s'écriant, où qu'elle est la patronne ! Je ne savais plus quoi en penser et l'autre essaya de me faire ingurgiter une pilule et moi pauvre souffreteux me suis écrié à son intention, bouffe la toi-même ta pilule d'extazy au pétrole d'Arabie Saoudite, terroriste, tortionnaire, au secours, on veut m'empoisonner !! Tout ce que cet ignoble individu à su me répondre une fois que j'aie eu cédé et avalé sa drogue fut, c'est bien gamin, tu vois, tu l'as avalé ton médicament. Il a eu le droit à une copieuse réponse en ces termes. Je vais te la vomir sur la tête tu feras moins le malin, tu as de la chance que Pépère est calme ce soir sinon un coup de patte et ta xm ça serait une boîte de sardines écrasée au sol pirate.
- Hé bien, ce fut terrible.
