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Pépère le chat du poète. Suite.

Rêveurlunaire

Maître Poète
#1
Leïlanne ne savait pas comment faire pour reprendre le contrôle de sa soucoupe. Même avec sa magie, quelque chose ne semblait pas vouloir fonctionner. Une sorte de force invisible avait pourtant détaché la soucoupe de l'attraction de la comète. Turbo regardant par le hublot vit une étrange planète qui ressemblait à la terre. La fée ne guidait pas son vaisseau et pourtant celui-ci descendait vers le sol. C'était assez étrange et puis la liaison avec Isidore se fit assez clairement.
- Mayday mayday, allô ici, Isidore, mayday mayday, Turbo où es-tu, allô ici Isidore.
- Allô, ici, Turbo , nous recevons le signal. Allô, ici Turbo, je t'ai sur mes écrans, Leïlanne règle la fréquence. Super, enfin ça marche, nous sommes attitré vers le sol d'une planète qui ressemble à la Terre, ici Turbo, fin d'appel, à toi Isidore.
- Allô, ici, Isidore, nous sommes en automatique sur votre fréquence, allô ici Isidore liettuje règle la vitesse, Un-œil supervise le tracé. Allô, ici Isidore, nous vous suivons.
La fée Leïlanne et Turbo ne comprenaient pas trop ce qui se passait. C'était la terre qui était en dessous d'eux, comment cela était-il possible. Ils n'avaient pas pu franchir des milliers d'années-lumières en quelques minutes. La situation était totalement incompréhensible pour eux.
La soucoupe arrivait sur le sol et ils reconnurent le champ à Cookie où en plein milieu s'élevait une statue de Pépère. Elle faisait au moins vingt mètres de hauteur. À côté, le Pépère attendait avec sur le corps une tenue de super Pépère.
La fée réussit à reprendre le contrôle de la soucoupe et se posa devant la statue.
Turbo et Leïlanne descendirent et s'approchèrent de Pépère. La fée reconnaissait parfaitement Tigrou physiquement, mais quelque chose semblait anormale comme si ce n'était pas vraiment le Pépère. Cookie et Lucie n'étaient pas là et le Pépère était avec Ainos.
- Hé bien mon copain, que fais tu ici tout seul avec ta chatmoureuse.
- Ça va mon Tigrou, que se passe-t-il ici, où sont Lucie et Cookie.
- Chalut les amis, jamais nous n'aurions cru vous revoir cela fait si longtemps que vous avez disparus.
- Mais mon copain, cela fait à peine une journée.
C'est alors que Pépère leur apprit qu'ils étaient en l'an trois mille cent cinquante et que cela faisait plus de mille ans qu'ils avaient été portés disparus proche d'une planète nommée Charnïa suite à un choc avec une comète.
Le Pépère parlait avec aisance et Leïlanne trouvait qu'il n'était pas comme d'habitude.
C'est à cet instant qu'Isidore posa sa soucoupe et que les trois occupants vinrent voir ce qui se passait. La surprise était incommensurable.
Mais que se passe-t-il sur terre, qui avait érigé cette statue, où était les juments, la cabane du poète avait aussi changé de place. La chalauréanne à Pépère était noire alors qu'elle était grise et le ciel au lieu d'être bleu était de couleur fuchsia. Toutes ces questions étourdissant, Turbo, Un-œil, Isidore, Leïlanne et Liettuje. Étaient-ils vraiment sur terre ?
À Sancoins, le brigadier, Tatouvu était finalement repassé à la brigade pour faire son rapport. L'homme tapant d'un seul doigt avait mis beaucoup de temps à le faire. Il but en même temps de l'anti-peur, car il devait retourner vers le canal et voir ce qui se passait dans le secteur. Deux bagarres avaient été signalées et il devait s'y rendre de toute urgence. C'est son chef qui vint l'en avertir.
- Brigadier Tatouvu, vous finirez votre rapport après, deux bagages ont été signalées le long du canal. Pouvez-vous lâcher cette bouteille quand je vous parle s'il vous plaît ?
- Oui chef, j'ai entendu l'information et c'est la raison de la bouteille. Je teste l'éthylomètre avant de partir. Qui dit bagarre dit alcool, n'oublions pas que nous sommes dans une région d'alcooliques et que je fais parti des rares personnes qui ne le sont pas.
- Oui, brigadier, nous savons votre sobriété exemplaire comme la mienne propre. Avant de partir, faites moi porter deux bouteilles de villageoise dans mon bureau, je n'ai plus à boire et suis actuellement au moment où je vous parle en train de me déshydrater sévèrement.
Le long du canal, le fameux Arôme Merguez avait rencontré le journaliste de bfmcaca et l'homme voulait l'interviewer. Mais Merguez n'était pas d'accord, car le journaliste avait déclaré publiquement que Merguez n'avait jamais été blessé à l'œil, mais qu'il avait vendu son œil à Jeanne Maris Delapeine. Du coup, les deux hommes se mirent à se battre. C'est à ce moment-là qu'était revenu le fameux faux Jésus qui avait fait caca sur la Bugatti Veyrron du pape cinq jours plus tôt. Il décida de les séparer et ce fut un pugilat en règle.
Pendant ce temps, le brigadier qui n'avait pas pu boire à satiété passa à la brasserie du cul roux voir le Président, sœur Mathilde et le pape.
- Monsieur le Président, surtout n'allez pas vers le canal tout de suite des, boit sans soif, sont en train de se battre à coups de marteau et à coup de boule de pétanque vêtus de cirés de marins jaunes fluorescents.
- Tu m'en fais un beau marin toi, espèce de vieux trombone pour papier buvard d'occasion. On se demandait bien où tu étais l'espèce d'ivrogne d'opéra-comique.
- Toi vieille girafe dégarnie de la cornette, je ne t'ai rien demandé. D'abord, quand on est poli, on n'insulte pas les gendarmes et on paye son verre, qu'en pensez-vous monsieur Macron.
- Écoute l'espèce de gardien de la paix pour manchot conduisant une Ferrari, tu pourrais être poli devant le président, non mais, je suis le seul à être correct ici si je comprends. Voilà, c'est dit, c'est la leçon du Vatican mon pote, alors paye un verre à ton pape et révérence s'il te plaît.
Le pauvre président de la République se demandait s'il n'était pas tombé dans un asile de fous. Il assista donc à une beuverie en règle entre le pape sœur Mathilde et le brigadier. Pendant ce temps, les trois hommes se battaient toujours.
Le Pépère arrivait à cet instant et regardait la scène. Il resta un moment en stationnaire et en profita pour envoyer des messages à sa chatmoureuse et jeté de temps en temps un coup d'œil sur le fameux prospectus de la boucherie qui le faisait saliver.
Non loin, Pêcheur et Coin-coin se dirigeaient vers la mare et virent le Toublanc qui rentrait dans sa caravane. Il semblait revenir du champ. Ils constatèrent qu'Elchaponne était toujours dans la soucoupe à Chouânne.
Les voyant arrivé, il sortit pour les accueillir et leur raconta la terrible bataille qu'avaient mené les deux fées avec Un-œil Turbo et Isidore contre les Énarpilodiens. C'est alors que Pêcheur répondit.
- Toc toc toc, nous aussi, nous avons corrigé à coups de bec des faquins le long du canal, toc toc toc.
- Fle fle fle, oui un journaliste armée d'un bazooka fle fle fle.
- Toc toc toc, et un homme Android armé d'un œil laser, toc toc toc.
- Fle fle fle, ils attaquaient madame gendarme poète, fle fle fle, elle était en danger de mort fle fle fle.
- Toc toc toc, nous les avons neutralisé à coup de plume, toc toc toc et Coin-coin à crevé les pneus de leur voiture, toc toc toc.
- Fle fle fle, oui et ils ont essayé d'attaquer madame poète à nouveau, fle fle fle. Je l'ai éloigné en la portant sur mon dos, fle fle fle, j'ai protégé son sac de pain fle fle fle.
- Toc toc toc, elle en donne aux oiseaux, toc toc toc. Les deux faquins sont hors d'état de nuire, toc toc toc, grâce à Coin-coin.
- Fle fle fle, ils n'ont plus d'arme, fle fle fle, grâce à Pêcheur, fle fle fle.
Elchatponne n'en revenait pas de la bagarre qu'avaient menée les deux amis. Ils partirent avec joie dans la mare et Elchatponne les regardait s'amuser. Il vit levant les yeux, l'hélicoptère de Pépère.
Regarde Pépère, s'écria Lolo, ces hommes se battent que pouvons nous faire ?
- Je ne sais pas trop mon Loulou à mon avis, ils se battent pour récupérer les saloperies chimiques de mon rase moquette d'occasion élevé à la sciure de pamplemousse d'Italie fait par des Arméniens. C'est sa comparse qui est née dans un fût de pastis frelaté déguisé en pot au lait qui les a jetées dans le canal alors laissons là s'en débrouiller.
- En tout cas, l'estrade que nous avons réparée tiens parfaitement. Quand j'y pense ça a été comme sur des patins à roulettes.
- C'est pas mal du tout, c'est vrai nous avons réalisé une jolie réparation. C'est moi qui l'aie inventé alors c'est de là que c'est né.
- Qu'est-ce qui est né, je ne te comprends pas.
- L'expression des patins.
- Ha, c'est toi qui as inventé cette expression mon copain.
- Non les patins à roulettes.
- Ha, bon, tu as fait ça Pépère.
- Oui, c'est moi qui les aie inventés pour le roi Louis 14 à l'époque où je finissais l'installation domotique reliée à internet sur l'ensemble du château. Malheureusement, la plupart des équipements n'étaient pas encore au point alors Louis 14 n'arrêtait pas de courir. À force de se déplacer à toute vitesse. Oui, le roi arrivait à courir à trente-quatre kilomètres heure sans smartphone et à vingt-sept kilomètres heure téléphone en main. À force, le pauvre avait des ampoules aux oreilles et aux cheveux. En plus, cela l'essoufflait énormément, et il a dû subir un électrocardiogramme. Le pauvre est tombé sur un cardiologue tellement myope qu'il lui a fait un touché rectal au lieu de l'examen. Il n'en pouvait plus de courir. Moi, j'avançais, mais le château est grand alors, il est venu me voir et me dit. Pépère, toi l'égale, du Pape inventeur de la purée de sapin en poudre, créateur de la revue le gros pif d'hercule. Que pouvons-nous faire. Alors, je me suis creusé la tête à n'en avoir plus de poil entre les oreilles et j'ai inventé les patins à roulett IMG_20190507_190856.jpg IMG_20190507_190942.jpg roller-en-ligne-oxelo-taille-42-5-abec-3-be-patin-roulette-20170821122957.jpg 4019761-une-soucoupe-volante-plane-sur-un-océan- (1).jpg es.
- Tu es vraiment trop fort mon copain.
 

Cortisone

Maître Poète
#2
Leïlanne ne savait pas comment faire pour reprendre le contrôle de sa soucoupe. Même avec sa magie, quelque chose ne semblait pas vouloir fonctionner. Une sorte de force invisible avait pourtant détaché la soucoupe de l'attraction de la comète. Turbo regardant par le hublot vit une étrange planète qui ressemblait à la terre. La fée ne guidait pas son vaisseau et pourtant celui-ci descendait vers le sol. C'était assez étrange et puis la liaison avec Isidore se fit assez clairement.
- Mayday mayday, allô ici, Isidore, mayday mayday, Turbo où es-tu, allô ici Isidore.
- Allô, ici, Turbo , nous recevons le signal. Allô, ici Turbo, je t'ai sur mes écrans, Leïlanne règle la fréquence. Super, enfin ça marche, nous sommes attitré vers le sol d'une planète qui ressemble à la Terre, ici Turbo, fin d'appel, à toi Isidore.
- Allô, ici, Isidore, nous sommes en automatique sur votre fréquence, allô ici Isidore liettuje règle la vitesse, Un-œil supervise le tracé. Allô, ici Isidore, nous vous suivons.
La fée Leïlanne et Turbo ne comprenaient pas trop ce qui se passait. C'était la terre qui était en dessous d'eux, comment cela était-il possible. Ils n'avaient pas pu franchir des milliers d'années-lumières en quelques minutes. La situation était totalement incompréhensible pour eux.
La soucoupe arrivait sur le sol et ils reconnurent le champ à Cookie où en plein milieu s'élevait une statue de Pépère. Elle faisait au moins vingt mètres de hauteur. À côté, le Pépère attendait avec sur le corps une tenue de super Pépère.
La fée réussit à reprendre le contrôle de la soucoupe et se posa devant la statue.
Turbo et Leïlanne descendirent et s'approchèrent de Pépère. La fée reconnaissait parfaitement Tigrou physiquement, mais quelque chose semblait anormale comme si ce n'était pas vraiment le Pépère. Cookie et Lucie n'étaient pas là et le Pépère était avec Ainos.
- Hé bien mon copain, que fais tu ici tout seul avec ta chatmoureuse.
- Ça va mon Tigrou, que se passe-t-il ici, où sont Lucie et Cookie.
- Chalut les amis, jamais nous n'aurions cru vous revoir cela fait si longtemps que vous avez disparus.
- Mais mon copain, cela fait à peine une journée.
C'est alors que Pépère leur apprit qu'ils étaient en l'an trois mille cent cinquante et que cela faisait plus de mille ans qu'ils avaient été portés disparus proche d'une planète nommée Charnïa suite à un choc avec une comète.
Le Pépère parlait avec aisance et Leïlanne trouvait qu'il n'était pas comme d'habitude.
C'est à cet instant qu'Isidore posa sa soucoupe et que les trois occupants vinrent voir ce qui se passait. La surprise était incommensurable.
Mais que se passe-t-il sur terre, qui avait érigé cette statue, où était les juments, la cabane du poète avait aussi changé de place. La chalauréanne à Pépère était noire alors qu'elle était grise et le ciel au lieu d'être bleu était de couleur fuchsia. Toutes ces questions étourdissant, Turbo, Un-œil, Isidore, Leïlanne et Liettuje. Étaient-ils vraiment sur terre ?
À Sancoins, le brigadier, Tatouvu était finalement repassé à la brigade pour faire son rapport. L'homme tapant d'un seul doigt avait mis beaucoup de temps à le faire. Il but en même temps de l'anti-peur, car il devait retourner vers le canal et voir ce qui se passait dans le secteur. Deux bagarres avaient été signalées et il devait s'y rendre de toute urgence. C'est son chef qui vint l'en avertir.
- Brigadier Tatouvu, vous finirez votre rapport après, deux bagages ont été signalées le long du canal. Pouvez-vous lâcher cette bouteille quand je vous parle s'il vous plaît ?
- Oui chef, j'ai entendu l'information et c'est la raison de la bouteille. Je teste l'éthylomètre avant de partir. Qui dit bagarre dit alcool, n'oublions pas que nous sommes dans une région d'alcooliques et que je fais parti des rares personnes qui ne le sont pas.
- Oui, brigadier, nous savons votre sobriété exemplaire comme la mienne propre. Avant de partir, faites moi porter deux bouteilles de villageoise dans mon bureau, je n'ai plus à boire et suis actuellement au moment où je vous parle en train de me déshydrater sévèrement.
Le long du canal, le fameux Arôme Merguez avait rencontré le journaliste de bfmcaca et l'homme voulait l'interviewer. Mais Merguez n'était pas d'accord, car le journaliste avait déclaré publiquement que Merguez n'avait jamais été blessé à l'œil, mais qu'il avait vendu son œil à Jeanne Maris Delapeine. Du coup, les deux hommes se mirent à se battre. C'est à ce moment-là qu'était revenu le fameux faux Jésus qui avait fait caca sur la Bugatti Veyrron du pape cinq jours plus tôt. Il décida de les séparer et ce fut un pugilat en règle.
Pendant ce temps, le brigadier qui n'avait pas pu boire à satiété passa à la brasserie du cul roux voir le Président, sœur Mathilde et le pape.
- Monsieur le Président, surtout n'allez pas vers le canal tout de suite des, boit sans soif, sont en train de se battre à coups de marteau et à coup de boule de pétanque vêtus de cirés de marins jaunes fluorescents.
- Tu m'en fais un beau marin toi, espèce de vieux trombone pour papier buvard d'occasion. On se demandait bien où tu étais l'espèce d'ivrogne d'opéra-comique.
- Toi vieille girafe dégarnie de la cornette, je ne t'ai rien demandé. D'abord, quand on est poli, on n'insulte pas les gendarmes et on paye son verre, qu'en pensez-vous monsieur Macron.
- Écoute l'espèce de gardien de la paix pour manchot conduisant une Ferrari, tu pourrais être poli devant le président, non mais, je suis le seul à être correct ici si je comprends. Voilà, c'est dit, c'est la leçon du Vatican mon pote, alors paye un verre à ton pape et révérence s'il te plaît.
Le pauvre président de la République se demandait s'il n'était pas tombé dans un asile de fous. Il assista donc à une beuverie en règle entre le pape sœur Mathilde et le brigadier. Pendant ce temps, les trois hommes se battaient toujours.
Le Pépère arrivait à cet instant et regardait la scène. Il resta un moment en stationnaire et en profita pour envoyer des messages à sa chatmoureuse et jeté de temps en temps un coup d'œil sur le fameux prospectus de la boucherie qui le faisait saliver.
Non loin, Pêcheur et Coin-coin se dirigeaient vers la mare et virent le Toublanc qui rentrait dans sa caravane. Il semblait revenir du champ. Ils constatèrent qu'Elchaponne était toujours dans la soucoupe à Chouânne.
Les voyant arrivé, il sortit pour les accueillir et leur raconta la terrible bataille qu'avaient mené les deux fées avec Un-œil Turbo et Isidore contre les Énarpilodiens. C'est alors que Pêcheur répondit.
- Toc toc toc, nous aussi, nous avons corrigé à coups de bec des faquins le long du canal, toc toc toc.
- Fle fle fle, oui un journaliste armée d'un bazooka fle fle fle.
- Toc toc toc, et un homme Android armé d'un œil laser, toc toc toc.
- Fle fle fle, ils attaquaient madame gendarme poète, fle fle fle, elle était en danger de mort fle fle fle.
- Toc toc toc, nous les avons neutralisé à coup de plume, toc toc toc et Coin-coin à crevé les pneus de leur voiture, toc toc toc.
- Fle fle fle, oui et ils ont essayé d'attaquer madame poète à nouveau, fle fle fle. Je l'ai éloigné en la portant sur mon dos, fle fle fle, j'ai protégé son sac de pain fle fle fle.
- Toc toc toc, elle en donne aux oiseaux, toc toc toc. Les deux faquins sont hors d'état de nuire, toc toc toc, grâce à Coin-coin.
- Fle fle fle, ils n'ont plus d'arme, fle fle fle, grâce à Pêcheur, fle fle fle.
Elchatponne n'en revenait pas de la bagarre qu'avaient menée les deux amis. Ils partirent avec joie dans la mare et Elchatponne les regardait s'amuser. Il vit levant les yeux, l'hélicoptère de Pépère.
Regarde Pépère, s'écria Lolo, ces hommes se battent que pouvons nous faire ?
- Je ne sais pas trop mon Loulou à mon avis, ils se battent pour récupérer les saloperies chimiques de mon rase moquette d'occasion élevé à la sciure de pamplemousse d'Italie fait par des Arméniens. C'est sa comparse qui est née dans un fût de pastis frelaté déguisé en pot au lait qui les a jetées dans le canal alors laissons là s'en débrouiller.
- En tout cas, l'estrade que nous avons réparée tiens parfaitement. Quand j'y pense ça a été comme sur des patins à roulettes.
- C'est pas mal du tout, c'est vrai nous avons réalisé une jolie réparation. C'est moi qui l'aie inventé alors c'est de là que c'est né.
- Qu'est-ce qui est né, je ne te comprends pas.
- L'expression des patins.
- Ha, c'est toi qui as inventé cette expression mon copain.
- Non les patins à roulettes.
- Ha, bon, tu as fait ça Pépère.
- Oui, c'est moi qui les aie inventés pour le roi Louis 14 à l'époque où je finissais l'installation domotique reliée à internet sur l'ensemble du château. Malheureusement, la plupart des équipements n'étaient pas encore au point alors Louis 14 n'arrêtait pas de courir. À force de se déplacer à toute vitesse. Oui, le roi arrivait à courir à trente-quatre kilomètres heure sans smartphone et à vingt-sept kilomètres heure téléphone en main. À force, le pauvre avait des ampoules aux oreilles et aux cheveux. En plus, cela l'essoufflait énormément, et il a dû subir un électrocardiogramme. Le pauvre est tombé sur un cardiologue tellement myope qu'il lui a fait un touché rectal au lieu de l'examen. Il n'en pouvait plus de courir. Moi, j'avançais, mais le château est grand alors, il est venu me voir et me dit. Pépère, toi l'égale, du Pape inventeur de la purée de sapin en poudre, créateur de la revue le gros pif d'hercule. Que pouvons-nous faire. Alors, je me suis creusé la tête à n'en avoir plus de poil entre les oreilles et j'ai inventé les patins à roulett Afficher la pièce jointe 22995 Afficher la pièce jointe 22996 Afficher la pièce jointe 22997 Afficher la pièce jointe 22998 es.
- Tu es vraiment trop fort mon copain.
Pépère à une statue de 20 m de haut. Et bien elle doit se voir de loin.
A demain pour de nouvelles aventures
Amicalement
Gaby