Éiséope reprit son activité normale. La pluie de fleurs terrestre avait inondé l'univers d'un arc-en-ciel dont s'étaient servis les anges pour rejoindre leur planète. Les étoiles pleuraient des roses que la lune cueillait en brassées pour en faire des corbeilles d'amour les jetant sur la Seine. Guillaume sur la planète des, offrez moi un bouquet de mots, était en état de grâce et cela le touchait. Les papillons qui peuplaient les forêts de la planète faisaient une sorte de danse nuptiale. Leurs longs abdomens, frottant les ailes du Zéphyr, créaient une douce mélodie. Celle-ci se répondait sur Éiséope avec douceur et apaisa chacun.
Franïadus était aussi sous le charme et au confins de l'univers Bastet faisait comme un long miaulement pour essayer d'émouvoir le chat Dieu Pépère qu'elle savait revenu sur Charnïa.
Sur la planète entière juste en dessous la musique se mêlait aux joyeux sanglots de Bastet et les trois soleils réfléchissaient ces vagues qui créaient comme une pluie d'aurores boréales sur Charnïa.
Les fées qui étaient dans la pyramide virent les lueurs filtrer par la rosace qui représentait, Pépère et la déesse Bastet. Elles comprirent que quelque chose d'extraordinaire venait de se produire dans l'univers. Elles réveillèrent Un-œil qui reprit la forme du Pépère et ils sortir tous ensemble pour admirer le spectacle.
C'est à ce moment-là que trois Charnïens arrivèrent avec précipitation. Ils venaient annoncer à Pépère que des soucoupes ennemis venu d'Enarpilode étaient en direction de Charnïa. Pires, encore, des vaisseaux s'étaient déjà posé proche des pyramides de Khéops. Le chef suprême des robots Enarpilodiens, Aketok avait pris contact sur terre avec les États-Unis afin que leur soit livré le chat Dieu Pépère.
Les deux fées étaient atterrées, cela n'avait pris qu'à peine une journée avant que ces chats Android ne reviennent.
Dans la cabane à Cookie, Chatdore s'était réveillé et suivait avec attention les informations. L'invasion d'extraterrestres était confirmée. Il n'osait pas réveiller Cookie, Ainos et Rookie pour leur en parler. Il savait que la fée Chouânne était seule sur terre et qu'il serait difficile de combattre ces conquérants de l'espace, régler l'histoire des foies jaunes, sauver le Pépère et faire en sorte que la tranquillité revienne sur Mornay.
La cousine à Turbo était inquiète, car elle n'avait plus de nouvelle de son cousin. Ses maîtres, qui ne l'avaient pas vu depuis deux jours, se demandaient bien où il était ce sacré minet. Sybage décida de partir vers le champ à Cookie et en passant devant la cabane du poète vit une gamelle de croquettes. Elle s'arrêta pour en manger un peu.
Lolo était toujours le long de la haie avec Lucie. Il vit de loin sa chatmoureuse et l'appela.
-Sybage, ma chatmoureuse, je suis là, ho ho, Sybage.
La minette le vit et se dépêcha d'aller le voir. Elle lui fit un bisou chat et lui demanda avec inquiétude.
- Mon chatmoureux, tu n'as pas vu mon cousin ? Je suis très inquiète, car il ne répond plus aux messages. C'est quoi ce camion plein de sable dans l'allée.
- Turbo va bien, Pépère part d'ici à l'instant et il est avec lui en mission. Ils doivent combattre le flan ridé et le cochon jaune qui sont deux chefs des foies jaunes.
Le camion dans l'allée, c'est pour fabriquer des cabanes de rond-point. C'est la soûlarde du maître à Pépère qui l'a emmené. C'est lui qui me l'a confirmé, d'ailleurs son maître est à côté du canal pour récupérer ses saloperies chimiques.
- Je ne vois pas le rapport avec les cabanes et le sable et les produits chimiques, mon chatmoureux.
- Hé bien, voilà, déjà, sache que la cabane de rond-point à été inventée par le soûlard à Pépère qui était recherché par la police pour l'histoire d'une liquidation d'un magasin de vinasse. Il avait été convoqué au tribunal de cul-sec et avait intoxiqué les juges avec des choux fleurs nucléaires. Sa soûlarde qui est gendarme à eu l'idée qu'il construise une cabane près d'Atac à Sancoins. Ils ont inventé un prétexte de précarité et d'autre individus ont suivis le mouvement. Ils ont déposé un brevet de cabane et c'est ainsi qu'il y a aujourd'hui des milliers de cabanes comme ça où coule à profusion la vinasse du bon père poivrot. Les hommes et les femmes qui habitent dans ces cabanes se sont retrouvé avec une espèce de dégénérescence et les plus grands chercheurs ont essayé de comprendre pourquoi. Personne n'a encore trouvé. En fait voilà sa soûlarde roule avec un camion de sable sur toute la France. Elle l'a acheté à un ami portugais qui est maçon, il s'appelle, Patibulaire, chat chat chat. Comme, il lui a fait un bon prit sur le camion, le soûlard lui a offert une, bétonnière qui a été célébrée et bénie à Lourdes lors d'un voyage à leur résidence secondaire proche de la grotte des moines. Le soûlard a installé dans le camion un poste à galène avec un chargeur microsillon qui lit les soixante-dix-huit tours de messe. Donc, elle sillonne la France en écoutant la messe dans le camion qui est un leurre. En fait sous le sable, il y a des saloperies chimiques dessous le sable et les, ils sont enfouis sous les cabanes de rond-point. C'est pour ça que ceux qui vivent dedans ont une dégénérescence du cerveau, c'est à cause des radiations.
- Hé bien, mon chatmoureux c'est une drôle d'histoire.
- Et pourtant, comme dirait mon méga love héros, qu'elle est vraie réelle authentique et avérée, pas fausse.
- Pléonasme !
- Toi l'auteur, on ne t'a rien demandé, écrit ton histoire pour que l'on continue d'exister.
- Bien, monsieur Lolo, je ne dis plus rien.
À Sancoins, le président de la République à la brasserie n'en revenait pas de ce qu'il voyait à la télévision de l'établissement. Le pape était consterné et sœur Mathilde n'arrêtait pas de prier. Cela faisait deux minutes qu'elle était arrivée et la colère qu'elle venait d'avoir avec le foie jaune elle n'y pensait même plus.
Le long de la marre à Coin-coin, Isidore attendait dans la soucoupe de Chouânne. Il surveillait les environs afin de prévenir si les intrus revenaient. Les Charnïens déguisés en gendarmes étaient figés comme des statues. Chouânne les avait rendus invisibles aux humain. Elle était partie voir Mike sur l'estrade que le Pépère ferait une messe en revenant pour que le canal reprenne son aspect normal. Turbo était avec elle, car il ne voulait pas se confronter aux flan ridé et au cochon jaune. Quand Pépère lui avait demandé de venir, il avait prétexté que Chouânne avait besoin de lui et tout bas, il avait dit à plusieurs reprises, maman moi peur, maman moi peur.
Le Pépère arrivait à la brigade et avec sa magie il faisait tourner son hélicoptère au dessus pour leur faire croire qu'ils étaient surveillés. Flan ridé, casquette à l'envers était en train d'essayer de casser la serrure de la porte extérieure avec un marteau. Son comparse le cochon jaune était assis devant son camion et sa mère arriva avec une seat jaune. Elle repartit avec le camion. Le Pépère comprit que s'était sa voiture et y alla directement.
- Hé boule, de gras, c'est toi qu'on appelle le Pépère, tu ne me fais pas peur. Vas-y Maxime, pète la serrure.
Le Pépère, s'énerva et vint vers la seat jaune qu'il souleva d'une patte et la jeta en l'air, celle-ci en retombant se fracassa sur le sol et les roues explosèrent. Il commença à arracher les portes et la voiture fut éventrée. Son comparse comme un hystérique continuait de taper sur la serrure et se fit attaquer.
- Fle fle fle, tu vas laisser la brigade des poètes fle fle fle.
- Toc toc toc, on va te corriger, toc toc toc, tu vas voir si tu vas faire du mal à madame gendarme poète toc toc toc.
Coin-coin lui sauta sur la tête et lui arracha sa casquette et lui donna de violents coups de bec sur le crâne tandis que Pêcheur lui assénait des coups de bec sur les pieds et les genoux, le cochon jaune vint pour le secourir et les deux hommes finirent en guenilles sous les coups de bec. Ils s'enfuirent en courant derrière le camion en criant, maman moi peur, maman moi peur.
- Toc toc toc, la brigade des poètes est sauvée, toc toc toc.
- Fle fle fle, j'ai corrigé, le flan ridé fle fle fle, et sauvé madame poète gendarme, fle fle fle.
- Hé moi super Pépère, j'ai cassé sa voiture, houra les copains.
Franïadus était aussi sous le charme et au confins de l'univers Bastet faisait comme un long miaulement pour essayer d'émouvoir le chat Dieu Pépère qu'elle savait revenu sur Charnïa.
Sur la planète entière juste en dessous la musique se mêlait aux joyeux sanglots de Bastet et les trois soleils réfléchissaient ces vagues qui créaient comme une pluie d'aurores boréales sur Charnïa.
Les fées qui étaient dans la pyramide virent les lueurs filtrer par la rosace qui représentait, Pépère et la déesse Bastet. Elles comprirent que quelque chose d'extraordinaire venait de se produire dans l'univers. Elles réveillèrent Un-œil qui reprit la forme du Pépère et ils sortir tous ensemble pour admirer le spectacle.
C'est à ce moment-là que trois Charnïens arrivèrent avec précipitation. Ils venaient annoncer à Pépère que des soucoupes ennemis venu d'Enarpilode étaient en direction de Charnïa. Pires, encore, des vaisseaux s'étaient déjà posé proche des pyramides de Khéops. Le chef suprême des robots Enarpilodiens, Aketok avait pris contact sur terre avec les États-Unis afin que leur soit livré le chat Dieu Pépère.
Les deux fées étaient atterrées, cela n'avait pris qu'à peine une journée avant que ces chats Android ne reviennent.
Dans la cabane à Cookie, Chatdore s'était réveillé et suivait avec attention les informations. L'invasion d'extraterrestres était confirmée. Il n'osait pas réveiller Cookie, Ainos et Rookie pour leur en parler. Il savait que la fée Chouânne était seule sur terre et qu'il serait difficile de combattre ces conquérants de l'espace, régler l'histoire des foies jaunes, sauver le Pépère et faire en sorte que la tranquillité revienne sur Mornay.
La cousine à Turbo était inquiète, car elle n'avait plus de nouvelle de son cousin. Ses maîtres, qui ne l'avaient pas vu depuis deux jours, se demandaient bien où il était ce sacré minet. Sybage décida de partir vers le champ à Cookie et en passant devant la cabane du poète vit une gamelle de croquettes. Elle s'arrêta pour en manger un peu.
Lolo était toujours le long de la haie avec Lucie. Il vit de loin sa chatmoureuse et l'appela.
-Sybage, ma chatmoureuse, je suis là, ho ho, Sybage.
La minette le vit et se dépêcha d'aller le voir. Elle lui fit un bisou chat et lui demanda avec inquiétude.
- Mon chatmoureux, tu n'as pas vu mon cousin ? Je suis très inquiète, car il ne répond plus aux messages. C'est quoi ce camion plein de sable dans l'allée.
- Turbo va bien, Pépère part d'ici à l'instant et il est avec lui en mission. Ils doivent combattre le flan ridé et le cochon jaune qui sont deux chefs des foies jaunes.
Le camion dans l'allée, c'est pour fabriquer des cabanes de rond-point. C'est la soûlarde du maître à Pépère qui l'a emmené. C'est lui qui me l'a confirmé, d'ailleurs son maître est à côté du canal pour récupérer ses saloperies chimiques.
- Je ne vois pas le rapport avec les cabanes et le sable et les produits chimiques, mon chatmoureux.
- Hé bien, voilà, déjà, sache que la cabane de rond-point à été inventée par le soûlard à Pépère qui était recherché par la police pour l'histoire d'une liquidation d'un magasin de vinasse. Il avait été convoqué au tribunal de cul-sec et avait intoxiqué les juges avec des choux fleurs nucléaires. Sa soûlarde qui est gendarme à eu l'idée qu'il construise une cabane près d'Atac à Sancoins. Ils ont inventé un prétexte de précarité et d'autre individus ont suivis le mouvement. Ils ont déposé un brevet de cabane et c'est ainsi qu'il y a aujourd'hui des milliers de cabanes comme ça où coule à profusion la vinasse du bon père poivrot. Les hommes et les femmes qui habitent dans ces cabanes se sont retrouvé avec une espèce de dégénérescence et les plus grands chercheurs ont essayé de comprendre pourquoi. Personne n'a encore trouvé. En fait voilà sa soûlarde roule avec un camion de sable sur toute la France. Elle l'a acheté à un ami portugais qui est maçon, il s'appelle, Patibulaire, chat chat chat. Comme, il lui a fait un bon prit sur le camion, le soûlard lui a offert une, bétonnière qui a été célébrée et bénie à Lourdes lors d'un voyage à leur résidence secondaire proche de la grotte des moines. Le soûlard a installé dans le camion un poste à galène avec un chargeur microsillon qui lit les soixante-dix-huit tours de messe. Donc, elle sillonne la France en écoutant la messe dans le camion qui est un leurre. En fait sous le sable, il y a des saloperies chimiques dessous le sable et les, ils sont enfouis sous les cabanes de rond-point. C'est pour ça que ceux qui vivent dedans ont une dégénérescence du cerveau, c'est à cause des radiations.
- Hé bien, mon chatmoureux c'est une drôle d'histoire.
- Et pourtant, comme dirait mon méga love héros, qu'elle est vraie réelle authentique et avérée, pas fausse.
- Pléonasme !
- Toi l'auteur, on ne t'a rien demandé, écrit ton histoire pour que l'on continue d'exister.
- Bien, monsieur Lolo, je ne dis plus rien.
À Sancoins, le président de la République à la brasserie n'en revenait pas de ce qu'il voyait à la télévision de l'établissement. Le pape était consterné et sœur Mathilde n'arrêtait pas de prier. Cela faisait deux minutes qu'elle était arrivée et la colère qu'elle venait d'avoir avec le foie jaune elle n'y pensait même plus.
Le long de la marre à Coin-coin, Isidore attendait dans la soucoupe de Chouânne. Il surveillait les environs afin de prévenir si les intrus revenaient. Les Charnïens déguisés en gendarmes étaient figés comme des statues. Chouânne les avait rendus invisibles aux humain. Elle était partie voir Mike sur l'estrade que le Pépère ferait une messe en revenant pour que le canal reprenne son aspect normal. Turbo était avec elle, car il ne voulait pas se confronter aux flan ridé et au cochon jaune. Quand Pépère lui avait demandé de venir, il avait prétexté que Chouânne avait besoin de lui et tout bas, il avait dit à plusieurs reprises, maman moi peur, maman moi peur.
Le Pépère arrivait à la brigade et avec sa magie il faisait tourner son hélicoptère au dessus pour leur faire croire qu'ils étaient surveillés. Flan ridé, casquette à l'envers était en train d'essayer de casser la serrure de la porte extérieure avec un marteau. Son comparse le cochon jaune était assis devant son camion et sa mère arriva avec une seat jaune. Elle repartit avec le camion. Le Pépère comprit que s'était sa voiture et y alla directement.
- Hé boule, de gras, c'est toi qu'on appelle le Pépère, tu ne me fais pas peur. Vas-y Maxime, pète la serrure.
Le Pépère, s'énerva et vint vers la seat jaune qu'il souleva d'une patte et la jeta en l'air, celle-ci en retombant se fracassa sur le sol et les roues explosèrent. Il commença à arracher les portes et la voiture fut éventrée. Son comparse comme un hystérique continuait de taper sur la serrure et se fit attaquer.
- Fle fle fle, tu vas laisser la brigade des poètes fle fle fle.
- Toc toc toc, on va te corriger, toc toc toc, tu vas voir si tu vas faire du mal à madame gendarme poète toc toc toc.
Coin-coin lui sauta sur la tête et lui arracha sa casquette et lui donna de violents coups de bec sur le crâne tandis que Pêcheur lui assénait des coups de bec sur les pieds et les genoux, le cochon jaune vint pour le secourir et les deux hommes finirent en guenilles sous les coups de bec. Ils s'enfuirent en courant derrière le camion en criant, maman moi peur, maman moi peur.
- Toc toc toc, la brigade des poètes est sauvée, toc toc toc.
- Fle fle fle, j'ai corrigé, le flan ridé fle fle fle, et sauvé madame poète gendarme, fle fle fle.
- Hé moi super Pépère, j'ai cassé sa voiture, houra les copains.
