- Tu vois Junk quand certains sont poivrots notoires d'autres sont des bienfaiteurs de l'humanité. Grâce à Pépère depuis mille neuf cent cinquante deux, tous les enfants de la terre ont un cadeau pour Noël. Et pendant ce temps de joyeux fêtards se remplissent comme des fûts voir mêmes pour certains dans la cabane d'un pauvre chien qui court un danger imminent, suivez mon regard.
- Qu'est ce qu'il fait mon maître à côté dis moi Pépère ?
- Il est assis et sa comparse lui envoie par mms des photos.
- Des photos de quoi ? De ma cabane.
- Mon pauvre ami tu n'as rien compris, des photos d'étiquettes de vinasse qu'ils sont en train de ravager pendant que lui décuve ici. Dans un sens la bonne nouvelle c'est qu'ils vont ravager ta cabane et tu seras ici avec moi plutôt que là bas ça c'est un bon point pour nous mon copain.
Le poète était en train de préparer des escargots dans le fumet de la dinde. Il était aussi impatient que son chat de manger. Il parlait avec son amoureuse. Il aimait la douceur de ses mots et lui écrire des poèmes. C'était rituel chez lui souvent en lui parlant au téléphone il faisait ses vers en écoutant le silence de ses mots. Il aurait aimé qu'il y ait un peu de neige mais malheureusement mis à part le zéphyr qui fut assez violent ce soir là les anges refusaient de plumer les oies. Il aimait aussi la mélodie du vent et il écoutait dedans des airs de douceur. Il laissait Noël mûrir lentement et s'imaginait dans un paysage de rêve jetant d'un sac de moire des étoiles d'argent qui retombaient sur les longs cheveux noirs de son amoureuse. Tout en pensant à cela il écrivait pendant que la viande dégageait son sublime parfum dans la maison. Il avait ouvert le volet face à lui malgré qu'il fasse nuit juste pour pouvoir admirer dans le ciel la constellation de céphée s'imaginant mille et une histoire de Dieux, jusqu'à voir vénus passer dans le ciel sur un quadrige tiré par des Pégases ailés de plumes de diamant. L'heure de manger n'était plus très loin et Pépère le vit à l'agitation de Mimine et Momo qui étaient dans les jambes de son frère et sa mère qui mettaient la table en silence.
- C'est bientôt l'heure mon copain, espérons que nous ayons de la viande et pas des rogatons.
- Ça sent bon en tout cas.
- Si on m'avait confié le soin de la préparation ça serait autre chose qu'un repas dans des relents de vinasse et de whisky. Je me demande dans quel état est la bande de joyeux drilles.
- Tu t'y connais en cuisine Pépère.
- bien sur mon copain, quand je pense qu'ils mangeaient la viande crue au commencement.
- Tu n'y étais pas pour le voir.
- Hé bien si grâce à la chatlauréanne, je suis l'inventeur du feu, et à la préhistoire j'ai enseigné aux hommes comment faire des habitations. L'homme moderne est né par un seul, je te laisse deviner.
- Par Dieu mon copain.
- Tu n'as rien compris, par Pépère, après avoir inventé le feu j'ai inventé les recettes et depuis les pharaons j'ai été le cuisinier de chaque homme puissant. Pour Louis seize j'ai été royal et j'avais droit à deux poulets par jour. Après j'ai refusé d'être le marmiton de Hitler, Mussolini et Staline. Maintenant que la chatlauréanne est en rade je repose mon cerveau. Là je suis en convalescence de ma patte qui a faillie être amputée et mes derniers terribles combats au Koweït. Ce soir c'est Noël mon copain nous allons nous régaler. Poète fais péter la dinde j'ai les crocs...
La suite très prochainement
- Qu'est ce qu'il fait mon maître à côté dis moi Pépère ?
- Il est assis et sa comparse lui envoie par mms des photos.
- Des photos de quoi ? De ma cabane.
- Mon pauvre ami tu n'as rien compris, des photos d'étiquettes de vinasse qu'ils sont en train de ravager pendant que lui décuve ici. Dans un sens la bonne nouvelle c'est qu'ils vont ravager ta cabane et tu seras ici avec moi plutôt que là bas ça c'est un bon point pour nous mon copain.
Le poète était en train de préparer des escargots dans le fumet de la dinde. Il était aussi impatient que son chat de manger. Il parlait avec son amoureuse. Il aimait la douceur de ses mots et lui écrire des poèmes. C'était rituel chez lui souvent en lui parlant au téléphone il faisait ses vers en écoutant le silence de ses mots. Il aurait aimé qu'il y ait un peu de neige mais malheureusement mis à part le zéphyr qui fut assez violent ce soir là les anges refusaient de plumer les oies. Il aimait aussi la mélodie du vent et il écoutait dedans des airs de douceur. Il laissait Noël mûrir lentement et s'imaginait dans un paysage de rêve jetant d'un sac de moire des étoiles d'argent qui retombaient sur les longs cheveux noirs de son amoureuse. Tout en pensant à cela il écrivait pendant que la viande dégageait son sublime parfum dans la maison. Il avait ouvert le volet face à lui malgré qu'il fasse nuit juste pour pouvoir admirer dans le ciel la constellation de céphée s'imaginant mille et une histoire de Dieux, jusqu'à voir vénus passer dans le ciel sur un quadrige tiré par des Pégases ailés de plumes de diamant. L'heure de manger n'était plus très loin et Pépère le vit à l'agitation de Mimine et Momo qui étaient dans les jambes de son frère et sa mère qui mettaient la table en silence.
- C'est bientôt l'heure mon copain, espérons que nous ayons de la viande et pas des rogatons.
- Ça sent bon en tout cas.
- Si on m'avait confié le soin de la préparation ça serait autre chose qu'un repas dans des relents de vinasse et de whisky. Je me demande dans quel état est la bande de joyeux drilles.
- Tu t'y connais en cuisine Pépère.
- bien sur mon copain, quand je pense qu'ils mangeaient la viande crue au commencement.
- Tu n'y étais pas pour le voir.
- Hé bien si grâce à la chatlauréanne, je suis l'inventeur du feu, et à la préhistoire j'ai enseigné aux hommes comment faire des habitations. L'homme moderne est né par un seul, je te laisse deviner.
- Par Dieu mon copain.
- Tu n'as rien compris, par Pépère, après avoir inventé le feu j'ai inventé les recettes et depuis les pharaons j'ai été le cuisinier de chaque homme puissant. Pour Louis seize j'ai été royal et j'avais droit à deux poulets par jour. Après j'ai refusé d'être le marmiton de Hitler, Mussolini et Staline. Maintenant que la chatlauréanne est en rade je repose mon cerveau. Là je suis en convalescence de ma patte qui a faillie être amputée et mes derniers terribles combats au Koweït. Ce soir c'est Noël mon copain nous allons nous régaler. Poète fais péter la dinde j'ai les crocs...
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