Il descendit du canapé sous les yeux de Momo qui se demandait quelle mouche avait bien pu le piquer. Il resta un moment devant cette ouverture qui sentait bon la liberté et l'occasion d'aller chercher son chatventre resté chez le poète. Il entendit de l'autre côté de la maison une autre porte s'ouvrir, il fila à l'anglaise vers cette issue. La femme était devant.
- Du bois, il n'y a qu'à en poser ici ça suffira. Qu'est-ce qu'il fait dans mes jambes ce chat ! Aller sort toi.
Il ne demanda pas son reste et fila en direction de chez Lolo espérant le rencontrer. De l'autre côté de la porte, il entendit le poète.
- C'est intelligent ça comment vais-je faire pour le retrap...
Pépère était déjà de l'autre côté de la route et il n'entendit même pas la fin de la phrase dont il se moquait éperdument. Puis le poète sortit.
- Pépère, Pépère, viens gamin, Pépère viens manger.
Se cachant derrière la haie il s'écria.
- Traître, manger quoi, des cailloux, des rogatons de poulet, des croquettes avariées à la sciure de bois Canadienne polluées au pipi de caribou. Va te faire voir poète, malfrat, va à l'auberge des moines pour voir si j'y suis, et si tu vois la baleine la bas paie lui un grand verre d'urine de lapin génétiquement modifiée. Atcchhoum atcchoum atcchoum atcchoum. Pépère eut une telle crise d'éternuement qu'il avait la tête qui lui tournait et il perdit connaissance.
- Chat va, chat va, Pépère, chat va.
Il reprit connaissance et vit Lolo à côté de lui.
- Chat va, qu'est ce qu'il t'arrive mon copain où étais-tu.
- Ça va Lolo, j'accuse le coup. Attend je me reconstruis. Je suis entièrement brisé. Atcchhoum, atcchoum, j'ai été kidnapper.
- Ah, enlevé par qui ?
- Hé bien je vais t'expliquer c'est épouvantable.
Au dessus de lui dans les troènes, il y avait un vieux sac de course à moitié déchiqueté.
- Dit moi mon copain.
- Oui c'est extrêmement effrayant laisse moi te raconter. Atcchoum, tiens le parachute est resté accroché.
- Un parachute où ça ?
- Lolo écoute mon aventure, réelle et extrêmement sérieuse.
Tout à l'heure quand tu m'as laissé, j'ai d'abord été à la cabane, là rien d'exceptionnel, le poète qui mangeait une tarte d'au moins dix personnes. Il me donna l'emballage découpé atcchoum avec des croquettes reconstituées dans un bol. Bon tellement affamé et vu ma faiblesse du à ma maigreur, atcchoum et avant tout mon bon cœur pour ne pas vexé chat au brillant je mange l'infâme mixture de sorcière.
- Ha c'est ça qui t'a rendu malade, c'est chat.
- Non, non, non, Lolo, laisse moi terminer mon histoire. Qui d'ailleurs ne l'est pas main bien un fait cent pour cent authentique. Étant donné le peu de denrée et pour ne pas m'énerver à la vue de ce qu'il cache dans son antre. Je décide d'aller marcher un peu le long du bois. D'un seul coup, je ressens une présence, mais rien à côté de moi. Comme maman fée me manquait je me dit appelons là. J'avais laissé mon chatventre sur le fauteuil. Je commence à retourner et devant moi deux chats gigantesque, je ne savais pas qu'en fait c'était des chatmatiens.
- Des chatmatiens, qu'est-ce que c'est.
- Des chats extraterrestres qui vivent sur Mars. Il sont faciles à reconnaître atcc attc atcchoum il ont le haut du corps du chat et le reste est celui du kangourou et des nageoires sur le dos.
- Tu ne les as pas reconnus ?
- Lolo s'il te plaît, ils étaient déguisés, tu te doutes bien ! Je n'ai rien pu faire car ils m'ont envoyé une piqûre dans le ventre et comme je n'ai que la peau sur les os ça a fait effet immédiatement. Atcchoum Ils m'ont ensuite séquestré dans leur vaisseau, ils m'ont mit une puce radioactive sous la peau du cou. Ils ont ensuite tentés de faire des expériences sur moi.
- Whaaaaaa copain, comment tu es arrivé ici.
- Tu connais ma force légendaire, donc la piqûre qui aurait tué une baleine m'avait seulement un peu endormi. Pendant qu'ils posaient des électrodes sur ma tête, j'ai arraché d'un coup tout mes liens, j'ai saisi un sac plastique, j'avais mon idée. Ensuite j'ai mis un coup de patte dans la porte du vaisseau et sauté dans le vide, j'ai entendu le vaisseau exploser sous l'effet de la décompression du vide intersidéral et le sac m'a servi de parachute. Tu vois je ne te mens pas il est toujours dans la haie. Atcchoum, je dois récupérer au plus vite mon chatventre Lolo.
- Copain j'en reviens pas.
- Lolo, Chatdore, chips, venez les gamins.
- ma maîtresse m'appelle je dois rentré excuse moi.
- Décidément, je me retrouve toujours seul.
La suite bientôt.
- Du bois, il n'y a qu'à en poser ici ça suffira. Qu'est-ce qu'il fait dans mes jambes ce chat ! Aller sort toi.
Il ne demanda pas son reste et fila en direction de chez Lolo espérant le rencontrer. De l'autre côté de la porte, il entendit le poète.
- C'est intelligent ça comment vais-je faire pour le retrap...
Pépère était déjà de l'autre côté de la route et il n'entendit même pas la fin de la phrase dont il se moquait éperdument. Puis le poète sortit.
- Pépère, Pépère, viens gamin, Pépère viens manger.
Se cachant derrière la haie il s'écria.
- Traître, manger quoi, des cailloux, des rogatons de poulet, des croquettes avariées à la sciure de bois Canadienne polluées au pipi de caribou. Va te faire voir poète, malfrat, va à l'auberge des moines pour voir si j'y suis, et si tu vois la baleine la bas paie lui un grand verre d'urine de lapin génétiquement modifiée. Atcchhoum atcchoum atcchoum atcchoum. Pépère eut une telle crise d'éternuement qu'il avait la tête qui lui tournait et il perdit connaissance.
- Chat va, chat va, Pépère, chat va.
Il reprit connaissance et vit Lolo à côté de lui.
- Chat va, qu'est ce qu'il t'arrive mon copain où étais-tu.
- Ça va Lolo, j'accuse le coup. Attend je me reconstruis. Je suis entièrement brisé. Atcchhoum, atcchoum, j'ai été kidnapper.
- Ah, enlevé par qui ?
- Hé bien je vais t'expliquer c'est épouvantable.
Au dessus de lui dans les troènes, il y avait un vieux sac de course à moitié déchiqueté.
- Dit moi mon copain.
- Oui c'est extrêmement effrayant laisse moi te raconter. Atcchoum, tiens le parachute est resté accroché.
- Un parachute où ça ?
- Lolo écoute mon aventure, réelle et extrêmement sérieuse.
Tout à l'heure quand tu m'as laissé, j'ai d'abord été à la cabane, là rien d'exceptionnel, le poète qui mangeait une tarte d'au moins dix personnes. Il me donna l'emballage découpé atcchoum avec des croquettes reconstituées dans un bol. Bon tellement affamé et vu ma faiblesse du à ma maigreur, atcchoum et avant tout mon bon cœur pour ne pas vexé chat au brillant je mange l'infâme mixture de sorcière.
- Ha c'est ça qui t'a rendu malade, c'est chat.
- Non, non, non, Lolo, laisse moi terminer mon histoire. Qui d'ailleurs ne l'est pas main bien un fait cent pour cent authentique. Étant donné le peu de denrée et pour ne pas m'énerver à la vue de ce qu'il cache dans son antre. Je décide d'aller marcher un peu le long du bois. D'un seul coup, je ressens une présence, mais rien à côté de moi. Comme maman fée me manquait je me dit appelons là. J'avais laissé mon chatventre sur le fauteuil. Je commence à retourner et devant moi deux chats gigantesque, je ne savais pas qu'en fait c'était des chatmatiens.
- Des chatmatiens, qu'est-ce que c'est.
- Des chats extraterrestres qui vivent sur Mars. Il sont faciles à reconnaître atcc attc atcchoum il ont le haut du corps du chat et le reste est celui du kangourou et des nageoires sur le dos.
- Tu ne les as pas reconnus ?
- Lolo s'il te plaît, ils étaient déguisés, tu te doutes bien ! Je n'ai rien pu faire car ils m'ont envoyé une piqûre dans le ventre et comme je n'ai que la peau sur les os ça a fait effet immédiatement. Atcchoum Ils m'ont ensuite séquestré dans leur vaisseau, ils m'ont mit une puce radioactive sous la peau du cou. Ils ont ensuite tentés de faire des expériences sur moi.
- Whaaaaaa copain, comment tu es arrivé ici.
- Tu connais ma force légendaire, donc la piqûre qui aurait tué une baleine m'avait seulement un peu endormi. Pendant qu'ils posaient des électrodes sur ma tête, j'ai arraché d'un coup tout mes liens, j'ai saisi un sac plastique, j'avais mon idée. Ensuite j'ai mis un coup de patte dans la porte du vaisseau et sauté dans le vide, j'ai entendu le vaisseau exploser sous l'effet de la décompression du vide intersidéral et le sac m'a servi de parachute. Tu vois je ne te mens pas il est toujours dans la haie. Atcchoum, je dois récupérer au plus vite mon chatventre Lolo.
- Copain j'en reviens pas.
- Lolo, Chatdore, chips, venez les gamins.
- ma maîtresse m'appelle je dois rentré excuse moi.
- Décidément, je me retrouve toujours seul.
La suite bientôt.
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