Le poète entra et partit voir Momo. Celui-ci dormait tranquillement. Bouillette était dans la paillasse à Bibou avec le petit chat et Mimine. L'homme n'osait pas les déranger et partit dans la cuisine donner à manger à son chien. Il en profita pour boire un café et manger un morceau. Momo s'éveilla, mais il resta sur son canapé et soupira en regardant les autres chats qui dormaient tranquillement dans la couchette du chien.
- Diantre, quelle sérénité nous avons en l'absence de ce rustre de Pépère. Je me demande quand même ce qu'était ce bruit qui m'a percé les tympans tout à l'heure. Ne serait-ce pas ce sacré chimiste de chat qu'il nous ait fait un essai de fusée ou de bombe ou que ne sais-je, d'objet farfelu. Quand, je repense à sa malheureuse prestance dans la libération de la jolie Sybage, j'ai honte pour lui. Il s'est roulé dans le caca et sans même se laver est parti ainsi visiter le président, hé bien le pauvre homme a dû en ramasser plein le nez. Ne pensons plus à ce sacripant et allons visiter l'espace des rêves. Mes amis, qui dormez déjà, soyez accompagnés de mes diligentes grâces pour un sommeil apaisant.
Momo se roula en boule et repris place dans ses rêves. Bibou, qui avait fini de se restaurer, était revenu vers sa couchette et se pelotonna contre les chats et s'endormit à son tour. Le poète avait fini de manger et après avoir donné une caresse à chacun de ses animaux reparti vers son terrain. Arrivé à hauteur du chemin, il vit que les Américains étaient de retour. Il soupira en les voyant et se demandait bien ce qu'ils faisaient ici de nouveau. Il n'en revenait pas de l'installation qui avait été réalisé pour poser une parabole. Mais que cherchent-ils donc ? Se disait-il. Ils vit que les hommes étaient vers la clôture et un chat lui passa entre les jambes. Devant lui sur le chemin Cookie galopait et sauta par-dessus la clôture. La pauvre jument était en colère après le chat bandit qui voulait du mal à Sybage et continua sa course folle dans le champ. Pirate, hiii, bandit, flibustier hiii reviens ici faire du mal à Sybage et tu auras des mes nouvelles hiii. Disait-elle en hennissant autant qu'elle le pouvait. L'homme continua jusqu'à l'entrée de son terrain et écouta les hommes parler. Deux mots en particulier revenaient souvant dans leurs bouches, fucking horse et fucking Android. Il se disait qu'ils devaient être dérangés pour être aussi grossier. Il n'y prêta pas garde et partit dans son chalet appeler son amoureuse, afin de lui raconter l'histoire de la promenade de Bibou et ce fameux bruit et enfin ce trou d'où il avait vu l'univers entièrement.
À Sancoins Fripouille et Elchatponne sirotait un deuxième bol de lait. C'est à cet instant qu'arriva sœur Mathilde accompagnée de l'huissier et du pape ainsi que Chouânne dont personne ne savait le demeurant.
- Regarde cette dame Elchatponne c'est sœur Mathilde. L'homme qui l'accompagne était avec nous quand nous avons sauvé Sybage d'un chat bandit à un œil. L'autre femme qui entre je ne sais pas qui est cette personne.
- Qu'est-ce que c'est que cette histoire ? Qui est Sybage et où était-ce donc ?
- Sybage est la chatmoureuse à Lolo. C'est un coéquipier à Pépère comme moi. Le malfrat avait aussi dérobé une valise à Pépère où, il range dedans ses poèmes, car il est en plus d'être un super policier un excellent poète et l'on se dispute sa signature dans le monde entier. C'est là où j'habite que cela s'est passé, à Mornay juste à côté.
- Ha bon et ce chat a un œil, il était comment ?
- Hé bien, comme je te l'ai dit, il avait un œil et il était de couleur blanc et noir voilà.
Elchatponne comprenait que son complice avait essayé de le doubler et comprenait à présent pourquoi il était aussi évasif dans ses réponses et aussi long à répondre aux messages.
Pendant ce temps-là à Paris, Nicolas Sarkozy était toujours dans la cellule de François. Il régnait une odeur épouvantable et d'un seul coup Nicolas s'écria en regardant son compagnon.
- Ce n'est pas possible, tu as encore fait une orgie de cassoulet où quoi ?
- Oui, excuse-moi et en plus, je me suis fait dessus en jetant une boule de pétanque à un crs. Après, j'ai couru derrière mon scooter et tu sais pourquoi. Ça n'a pas arrangé mes affaires.
Tout en parlant à Nicolas, il n'arrêtait pas de triturer son livre et visitait des passages en parlant et continua sa phrase.
- Quand même, écoute ça ; monsieur gros minet courrait derrière la coccinelle... C'est quand même de la littérature qui n'est pas à la portée de tout le monde ce Oui-oui, tu avoueras non. Écoute avant la manifestation, j'avais commencé d'en lire une où deux pages et un nez rouge qui était avec moi m'a avoué avoir trouvé un ouvrage de cet auteur dans les affaires de sa fille. Il m'a dit avoir abandonné sa lecture au bout de six mois, car il ne comprenait pas les mots. Tu es sur que tu sauras me l'expliquer.
- Oui, ne t'inquiète pas, j'ai déjà fait cet exercice pour Melanchon. Marine lui avait offert un livre qu'elle avait commencé et qui lui avait valu un séjour aux urgences pour une migraine terrible. Elle avait vainement cherché à percer l'intrigue, mais n'y était pas arrivée. Un jour, je croise Jean-Luc dans un couloir du sénat avec l'ouvrage et il se grattait la tête. Je lui dis en blaguant ne lit pas le livre entièrement avant la séance, car tu vas t'épuiser. Il m'avoue être sur l'ouvrage depuis une semaine et avoir lu dix pages avec un mal terrible de compréhension. Moi en même temps, je devais arranger le rachat d'une usine en France par l'Arabie Saoudite. Je lui dis, écoute Jean-Luc, fais une chose pour moi arrange toi avec les syndicats pour provoquer une grève sous un prétexte bidon. Comme ça, l'usine aura des pertes et comme elle est déjà fragile sera obligé de vendre pour sauver ses emplois. Fais promettre à tes syndicats de garder tout le monde. Nous les licencierons après ne t'inquiète pas. De toute façon, c'est sur Emmanuel que ça retombera, c'est toujours sur le chef de l'état que ça retombe lol. Si tu fais ça, je t'expliquerai l'histoire de ton livre. Il a été d'accord et je lui ai expliqué l'histoire et Emmanuel à trinqué pour les cent cinquante licenciements mdr.
- Oui, mais c'était peut-être un ouvrage plus facile à lire.
- Pas du tout François ! C'était Martine à la plage, tu vois, c'est hyper complexe comme lecture. Pour le puzzle par contre bravo. Moi celui de mon petit-neveu où il était écrit de six à huit ans m'a demandé sept mois pour le monter alors une heure trente, tu es rudement fort François.
Le Pépère allait beaucoup mieux grâce à la piqûre et il était Démosthène. Il paradait devant ses compagnons avec emphase et le président. Celui-ci n'avait toujours pas de nouvelle de son ami Nicolas et ne savait pas si Carla était enfin libre. Il appela l'élysée et apprit une drôle de nouvelle. Pendant que son ami était au commissariat avec François, le Doc était resté dans le taxi qu'il avait enfumé avec sa cigarette pour les gens décontractés. Il était descendu au bout de vingt minutes prétextant une envie de glace à l'artichaut. Le chauffeur était alors parti et avait fait des rodéo sur le périphérique avec des pointes de vitesse à cent quatre-vingts kilomètres heure. Une fois arrêté, il fut contrôlé positif au cannabis comme s'il eut fumé au moins dix cigarettes rigolotes estampillées ocb.
- Bon Pépère, j'apprends que Nicolas n'a plus de chauffeur donc vous aller devoir aller le chercher avec son ami Gyneco. Son chauffeur de taxi est en prison pour usage de stupéfiants.
- Toc toc toc, tu es sûr que tu peux reprendre la route toc toc toc, j'ai très peur pour mon bec toc toc toc.
- Fle fle fle ne t'inquiète pas Pépère fle fle fle.
- Oui, je suis capable de conduire et d'ailleurs, j'ai déjà remplacé Chatmareur au Grand Prix de Magny-Cours alors pas d'inquiétude.
- Vous pilote de formule un ,Pépère, ajouta le président.
-Oui, laissez-moi vous l'expliquer. La veille de la course, il part d'Allemagne avec sa Ferrari. Il venait juste de l'acheter et le siège conducteur avait un défaut. Le cuir avait plein de plis. Cela lui faisait mal au dos. Comme, il était très maniaque, il avait toujours dans sa valise un fer à repasser portable en 12 volts que l'on branche sur l'allume-cigare. Il s'arrête donc pour essayer de repasser les plis. Catastrophe la mousse et le cuir collaient sur la semelle du fer. Résultat ça faisait comme des billes et c'était encore pire. Du coup, il a une idée. Il avait une banderole Ferrari dans sa voiture et il se dit pour masquer ma bêtise, je vais la coller dessus avec du journal derrière. Il fait un essai sans colle et c'était parfait, il n'avait plus mal au dos. Il s'arrête dans un magasin de bricolage et se déguise en Michael Jackson pour ne pas être reconnu. Bref, il a signé plus de cent autographes Michael dans le magasin. Il revient à sa voiture et colle le journal et la banderole sur le siège. Il regarde son travail fini et l'illusion est parfaite. Il remonte dans la voiture et avait oublié le tube sur le siège. Il s'assoit dessus et la colle à été projetée sur le volant. Dix kilomètres plus loin, il se rend compte qu'il a oublié de mettre de l'essence avec cet empressement à réparer le siège et se perd avec le GPS dont la cartographie était en français et qu'il ne comprend pas la langue. C'est dans une allée forestière qu'il s'est retrouvé en panne sèche les deux main collées sur le volant et les fesses sur le siège. Il a été retrouvé trois jours plus tard par des passants qui ont appelé les secours. Moi au même moment, donc quand il est tombé en panne. J'étais sur le circuit de Magny-Cours pour essayer des bolides pour une grande marque avec qui je faisais des améliorations moteur. C'est ainsi que l'on m'a demandé de remplacer Chatmareur qui était introuvable. Ceci étant pour ne pas être obligé de rembourser les spectateurs. J'ai fait la course et j'ai décroché un record mondial que je lui ai laissé. Voilà l'histoire qu'elle est vraie réelle, pas fausse et authentiquement réelle.
- Quelle histoire rajouta le président alors en route mon cher prenez le volant.
- Diantre, quelle sérénité nous avons en l'absence de ce rustre de Pépère. Je me demande quand même ce qu'était ce bruit qui m'a percé les tympans tout à l'heure. Ne serait-ce pas ce sacré chimiste de chat qu'il nous ait fait un essai de fusée ou de bombe ou que ne sais-je, d'objet farfelu. Quand, je repense à sa malheureuse prestance dans la libération de la jolie Sybage, j'ai honte pour lui. Il s'est roulé dans le caca et sans même se laver est parti ainsi visiter le président, hé bien le pauvre homme a dû en ramasser plein le nez. Ne pensons plus à ce sacripant et allons visiter l'espace des rêves. Mes amis, qui dormez déjà, soyez accompagnés de mes diligentes grâces pour un sommeil apaisant.
Momo se roula en boule et repris place dans ses rêves. Bibou, qui avait fini de se restaurer, était revenu vers sa couchette et se pelotonna contre les chats et s'endormit à son tour. Le poète avait fini de manger et après avoir donné une caresse à chacun de ses animaux reparti vers son terrain. Arrivé à hauteur du chemin, il vit que les Américains étaient de retour. Il soupira en les voyant et se demandait bien ce qu'ils faisaient ici de nouveau. Il n'en revenait pas de l'installation qui avait été réalisé pour poser une parabole. Mais que cherchent-ils donc ? Se disait-il. Ils vit que les hommes étaient vers la clôture et un chat lui passa entre les jambes. Devant lui sur le chemin Cookie galopait et sauta par-dessus la clôture. La pauvre jument était en colère après le chat bandit qui voulait du mal à Sybage et continua sa course folle dans le champ. Pirate, hiii, bandit, flibustier hiii reviens ici faire du mal à Sybage et tu auras des mes nouvelles hiii. Disait-elle en hennissant autant qu'elle le pouvait. L'homme continua jusqu'à l'entrée de son terrain et écouta les hommes parler. Deux mots en particulier revenaient souvant dans leurs bouches, fucking horse et fucking Android. Il se disait qu'ils devaient être dérangés pour être aussi grossier. Il n'y prêta pas garde et partit dans son chalet appeler son amoureuse, afin de lui raconter l'histoire de la promenade de Bibou et ce fameux bruit et enfin ce trou d'où il avait vu l'univers entièrement.
À Sancoins Fripouille et Elchatponne sirotait un deuxième bol de lait. C'est à cet instant qu'arriva sœur Mathilde accompagnée de l'huissier et du pape ainsi que Chouânne dont personne ne savait le demeurant.
- Regarde cette dame Elchatponne c'est sœur Mathilde. L'homme qui l'accompagne était avec nous quand nous avons sauvé Sybage d'un chat bandit à un œil. L'autre femme qui entre je ne sais pas qui est cette personne.
- Qu'est-ce que c'est que cette histoire ? Qui est Sybage et où était-ce donc ?
- Sybage est la chatmoureuse à Lolo. C'est un coéquipier à Pépère comme moi. Le malfrat avait aussi dérobé une valise à Pépère où, il range dedans ses poèmes, car il est en plus d'être un super policier un excellent poète et l'on se dispute sa signature dans le monde entier. C'est là où j'habite que cela s'est passé, à Mornay juste à côté.
- Ha bon et ce chat a un œil, il était comment ?
- Hé bien, comme je te l'ai dit, il avait un œil et il était de couleur blanc et noir voilà.
Elchatponne comprenait que son complice avait essayé de le doubler et comprenait à présent pourquoi il était aussi évasif dans ses réponses et aussi long à répondre aux messages.
Pendant ce temps-là à Paris, Nicolas Sarkozy était toujours dans la cellule de François. Il régnait une odeur épouvantable et d'un seul coup Nicolas s'écria en regardant son compagnon.
- Ce n'est pas possible, tu as encore fait une orgie de cassoulet où quoi ?
- Oui, excuse-moi et en plus, je me suis fait dessus en jetant une boule de pétanque à un crs. Après, j'ai couru derrière mon scooter et tu sais pourquoi. Ça n'a pas arrangé mes affaires.
Tout en parlant à Nicolas, il n'arrêtait pas de triturer son livre et visitait des passages en parlant et continua sa phrase.
- Quand même, écoute ça ; monsieur gros minet courrait derrière la coccinelle... C'est quand même de la littérature qui n'est pas à la portée de tout le monde ce Oui-oui, tu avoueras non. Écoute avant la manifestation, j'avais commencé d'en lire une où deux pages et un nez rouge qui était avec moi m'a avoué avoir trouvé un ouvrage de cet auteur dans les affaires de sa fille. Il m'a dit avoir abandonné sa lecture au bout de six mois, car il ne comprenait pas les mots. Tu es sur que tu sauras me l'expliquer.
- Oui, ne t'inquiète pas, j'ai déjà fait cet exercice pour Melanchon. Marine lui avait offert un livre qu'elle avait commencé et qui lui avait valu un séjour aux urgences pour une migraine terrible. Elle avait vainement cherché à percer l'intrigue, mais n'y était pas arrivée. Un jour, je croise Jean-Luc dans un couloir du sénat avec l'ouvrage et il se grattait la tête. Je lui dis en blaguant ne lit pas le livre entièrement avant la séance, car tu vas t'épuiser. Il m'avoue être sur l'ouvrage depuis une semaine et avoir lu dix pages avec un mal terrible de compréhension. Moi en même temps, je devais arranger le rachat d'une usine en France par l'Arabie Saoudite. Je lui dis, écoute Jean-Luc, fais une chose pour moi arrange toi avec les syndicats pour provoquer une grève sous un prétexte bidon. Comme ça, l'usine aura des pertes et comme elle est déjà fragile sera obligé de vendre pour sauver ses emplois. Fais promettre à tes syndicats de garder tout le monde. Nous les licencierons après ne t'inquiète pas. De toute façon, c'est sur Emmanuel que ça retombera, c'est toujours sur le chef de l'état que ça retombe lol. Si tu fais ça, je t'expliquerai l'histoire de ton livre. Il a été d'accord et je lui ai expliqué l'histoire et Emmanuel à trinqué pour les cent cinquante licenciements mdr.
- Oui, mais c'était peut-être un ouvrage plus facile à lire.
- Pas du tout François ! C'était Martine à la plage, tu vois, c'est hyper complexe comme lecture. Pour le puzzle par contre bravo. Moi celui de mon petit-neveu où il était écrit de six à huit ans m'a demandé sept mois pour le monter alors une heure trente, tu es rudement fort François.
Le Pépère allait beaucoup mieux grâce à la piqûre et il était Démosthène. Il paradait devant ses compagnons avec emphase et le président. Celui-ci n'avait toujours pas de nouvelle de son ami Nicolas et ne savait pas si Carla était enfin libre. Il appela l'élysée et apprit une drôle de nouvelle. Pendant que son ami était au commissariat avec François, le Doc était resté dans le taxi qu'il avait enfumé avec sa cigarette pour les gens décontractés. Il était descendu au bout de vingt minutes prétextant une envie de glace à l'artichaut. Le chauffeur était alors parti et avait fait des rodéo sur le périphérique avec des pointes de vitesse à cent quatre-vingts kilomètres heure. Une fois arrêté, il fut contrôlé positif au cannabis comme s'il eut fumé au moins dix cigarettes rigolotes estampillées ocb.
- Bon Pépère, j'apprends que Nicolas n'a plus de chauffeur donc vous aller devoir aller le chercher avec son ami Gyneco. Son chauffeur de taxi est en prison pour usage de stupéfiants.
- Toc toc toc, tu es sûr que tu peux reprendre la route toc toc toc, j'ai très peur pour mon bec toc toc toc.
- Fle fle fle ne t'inquiète pas Pépère fle fle fle.
- Oui, je suis capable de conduire et d'ailleurs, j'ai déjà remplacé Chatmareur au Grand Prix de Magny-Cours alors pas d'inquiétude.
- Vous pilote de formule un ,Pépère, ajouta le président.
-Oui, laissez-moi vous l'expliquer. La veille de la course, il part d'Allemagne avec sa Ferrari. Il venait juste de l'acheter et le siège conducteur avait un défaut. Le cuir avait plein de plis. Cela lui faisait mal au dos. Comme, il était très maniaque, il avait toujours dans sa valise un fer à repasser portable en 12 volts que l'on branche sur l'allume-cigare. Il s'arrête donc pour essayer de repasser les plis. Catastrophe la mousse et le cuir collaient sur la semelle du fer. Résultat ça faisait comme des billes et c'était encore pire. Du coup, il a une idée. Il avait une banderole Ferrari dans sa voiture et il se dit pour masquer ma bêtise, je vais la coller dessus avec du journal derrière. Il fait un essai sans colle et c'était parfait, il n'avait plus mal au dos. Il s'arrête dans un magasin de bricolage et se déguise en Michael Jackson pour ne pas être reconnu. Bref, il a signé plus de cent autographes Michael dans le magasin. Il revient à sa voiture et colle le journal et la banderole sur le siège. Il regarde son travail fini et l'illusion est parfaite. Il remonte dans la voiture et avait oublié le tube sur le siège. Il s'assoit dessus et la colle à été projetée sur le volant. Dix kilomètres plus loin, il se rend compte qu'il a oublié de mettre de l'essence avec cet empressement à réparer le siège et se perd avec le GPS dont la cartographie était en français et qu'il ne comprend pas la langue. C'est dans une allée forestière qu'il s'est retrouvé en panne sèche les deux main collées sur le volant et les fesses sur le siège. Il a été retrouvé trois jours plus tard par des passants qui ont appelé les secours. Moi au même moment, donc quand il est tombé en panne. J'étais sur le circuit de Magny-Cours pour essayer des bolides pour une grande marque avec qui je faisais des améliorations moteur. C'est ainsi que l'on m'a demandé de remplacer Chatmareur qui était introuvable. Ceci étant pour ne pas être obligé de rembourser les spectateurs. J'ai fait la course et j'ai décroché un record mondial que je lui ai laissé. Voilà l'histoire qu'elle est vraie réelle, pas fausse et authentiquement réelle.
- Quelle histoire rajouta le président alors en route mon cher prenez le volant.
