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Pépère le chat du poète. Suite. 30 octobre

#1
- Oui en effet, maman moi peur, Pépère que pouvons nous faire ? À Sancoins, dans le pré, Leïlanne et Liettuje décidèrent d'aller se reposer. Il était déjà trois heures du matin et la fatigue commençais à se faire ressentir. Leïlanne dit à Liettuje.
- Tu écoutes ce bruit derrière. On dirait des crissement de pneus non ?
- Oui, j'entends aussi et je me demande ce qui peut bien se passer. Laissons faire, les animaux ne courent pas de danger et c'est probablement la circulation sur la nationale.
Les deux fées partirent donc chacune en direction de leur soucoupe respective pour se reposer. Le bruit qu'elle avait entendu était bien un crissement de pneu. En fait, c'était sur le parking d'Atac que cela se passait. Sœur Mathilde après avoir été escorté par les motards de la gendarmerie était partie faire le plein de son auto. L'un des deux gendarmes lui avait dit.
- Ma sœur, voilà vous êtes arrivé à la station. Vous devriez faire contrôler vos feux avant, car de derrière nous avions l'impression qu'ils se déplaçaient de droite à gauche constamment. Son collègue avait alors rétorqué ;
- Écoute, je te dis qu'elle est bourrée et roule en zigzag, c'est pour ça, tu n'as pas vu que nous allions dans tous les sens. Et l'autre pour finir,
- Non, je ne pense pas, aller donne un coup de sky et nous repartons. Ma sœur faites attention la nuit sur ce, parking des jeunes viennent faire des runs sauvages. Ne traînez pas trop dans le coin. Au plaisir de vous revoir sœur Mathilde nous repartons vers la brigade.
Puis les deux motos disparurent. C'est à ce moment que de derrière le magasin arriva quatre voitures tuning qui se mirent à faire fumer les pneus. Sœur Mathilde se dépêcha de faire le plein et se signa en remontant dans sa voiture et dit tout haut.
- Pardon mon Dieu, mais c'est trop tentant. Tu vas voir les morpions champions de la crotte de nez comment, je vais les mettre minable. Allez de la bonne zic, jull à fond. Accrochez-vous les gosses, sœurs Mathilde vas vous faire la nique.
Whesh en Ferrari, je trace...
Dans la brasserie, Lolo était sur le point d'aller à la recherche de la sœur avec fripouille. Il mit Coin-coin et Pêcheur de garde au cas où. Le ministre dormait à poings fermés et les serveurs avaient déjà regagné leurs domiciles.
- Suis moi, Fripouille nous allons chercher la sœur vers le canal des fois que nous la trouvions. J'entends au loin des bruits de pneus ça doit être elle.
- Tu es sur mon copain ? C'est peut-être quelqu'un d'autre qui roule vite et fait ce bruit, tu ne penses pas.
- Si, je reconnais le bruit, elle a fait pareil derrière la brasserie dans la rue des écoles, vient nous n'en avons pas pour longtemps. Je dois coûte que coûte regagner la commune de Mornay pour savoir ce qui se passe avec Sybage, je suis très très inquiet.
Sur le parking pendant ce temps, sœur Mathilde était arrivée à faire des prouesses avec sa voiture. Les jeunes eurent peur que ce soit un agent déguisé, car elle conduisait comme une professionnelle. C'est ainsi qu'ils s'enfuirent par la nationale, en là laissant sur place. Elle était fière de ses rodéos et chantait du jull. Elle répartit plus tranquillement vers le canal et entra le long de l'allée en faisant des appels de phares. Lolo et Fripouille faillir se faire écraser et la sœur s'arrêta en demandant à Lolo ce qu'il faisait en plein milieu de la route sans gilet. Il lui expliqua le problème et la sœur le fit monter dans la voiture avec Fripouille.
- Bon les minets attachez vous, car vous êtes avec une pilote expérimentée et nous serons à Mornay dans peu de temps, aller let's go.
Justement, sur la commune, Sybage était toujours séquestrée par son ravisseur. Elle avait vainement tenté de casser le cadenas qui était sur la chaîne sans y parvenir. Pendant ce temps, un œil lui furetait toujours sur le net pour essayer d'en savoir plus sur Pépère. Il avait vu la signature sur ses textes, Guillaume Pépère, et l'avais trouvé sur sa chaîne YouTube.
- Oulala, je dois y aller avec des pattes de velours, car c'est une sacrée célébrité. Bon l'avantage, c'est que vu le personnage, les textes doivent coûter un fameux prix. Là, je viens de faire un bon coup, hors de question de mettre Elchatponne dans l'histoire. Déjà, essayons de placer quelques poèmes, ensuite que je trouve des complices pour déplacer la minette qui doit aussi valoir de l'argent en monnaie d'échange, car son chatmoureux est un agent reconnu et médaillé. Un œil, c'est ton jour de gloire, la fortune ne t'est plus très loin mon coco.
Sur le terrain, Pépère s'était à nouveau approché de la vitre du chalet pour observer le poète. Celui-ci avait fini une assiette de cassoulet d'au moins huit cents grammes et il était à présent en train de manger une demie tarte aux pommes de dix personnes. Pépère regarda timidement sur le lit. Comme pour la première fois, il eut très peur et revint vers l'entrée de la cabane à Bibou où Turbo l'attendait.
- Alors mon copain comment ça se passe ? Nous ne craignons pas d'être poursuivi par le monstre de la cabane ? Que fait ton maître et le gozila.
- Mon saladier Armoriquain, décoré de purin argentin, est en train de picoler en faisant un ragoût de ferraille pour nourrir son monstre. C'est une recette de sa comparse. Il sont en ligne et il a mis le haut-parleur, j'ai tout entendu. Voilà, c'est un ragoût de coussinet de bielle à la sauce turbo agrémenté de limaille de fer avec de l'huile de vidange et des saloperies chimiques. Elle lui a dit que c'était sa recette favorite et qu'elle en avait préparé des chaudrons entiers pour nourrir des terroristes irakiens quand elle y était pour l'aider dans son trafic de gaz saurin. Donc, elle lui a dit, c'est ce qu'il lui faut, un ragoût de coussinet de bielle où des segments farcis à la durits pvc fondue. La dernière fois c'est comme ça qu'elle a nourri le gozila qui a mangé le moteur de la laguna. Bien avant, ils en ont fait mangé à Cookie pour qu'elle y goûte et la pauvre faisait caca des roues de voiture. Encore une invention stupide de mon Sarrazin décoloré au liquide de refroidissement canadien. Donc tant que le monstre mange nous sommes tranquilles. Bon allons vers la maison.
Les deux chats prirent la route qui longeait le pré à Cookie et furent là-bas rapidement. Arrivé sur place, Turbo, regardant à travers, la grille se tapa la patte sur quelque chose au sol. Il se baissa et s'écria.
- Pépère, Pépère, vite regarde, c'est le téléphone à ma cousine, vite ce n'est pas normal regarde, elle a fait un selfi avant de le perdre vite regarde l'écran.
Pépère se dépêcha et regarda et vit Sybage avec derrière lui le fameux chat à un œil. La pauvre minette était arrivée à faire cette photo sans flash sans que son ravisseur ne s'en rende compte. Pépère s'écria.
- Turbo, que pouvons nous faire ??






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