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Pépère le chat du poète. Suite. 29 octobre

#1
Suis-moi, nous partons vers la maison pour enquêter sur le vol de ma valise. Dans le champ qui tenait lieu de résidence à Coin-coin et Pêcheur Leïlanne attendait Liettuje qui arrivait avec sa soucoupe et avait apprise entre temps que le virus que leïlânne avait contacté auprès de Pépère était assez grave (votre fée sera toujours là pour vous car elle guérira toujours.) et c'est Chouânne qui l'en avait avisé pendant qu'elle faisait route vers Sancoins. La pauvre fée devrait repartir pour Vénus précipitamment selon les conseils de Chouânne et du comité de santé. Son évacuation vers la planète n'était pas une obligation et elle avait quatre jours devant elle avant de repartir. Liettuje et Chouânne étaient très tristes pour Leïlânne et ne savaient trop quoi dire, comme, il est le cas bien souvent qu'à trop vouloir savoir la peur s'installe et l'on reste bêtement silencieux aux yeux de l'autre qui des fois se sent ignoré alors qu'il n'en est pas le cas. C'est donc avec le sourire que Liettuje descendit de sa soucoupe en allant vers Leïlânne pour la saluer.
- Bonjour ma tendre Leïlânne, as-tu fait un agréable voyage ?
- Oui très bien et toi ? Cela fait un petit moment que je suis ici. Que fais notre fameux Tigrou. Je lui ai sauvé la mise quand, il est tombé de l'hélicoptère tout à l'heure, tu as vu.
- Oui le vieux fauteuil, je me doutais que ce fût un coup de toi. Même à distance, rien ne t'est impossible. Pendant mon retour Chouânne, m'a contacté et tu vas devoir repartir sur vénus assez rapidement mon amie.
- Ha bon pourquoi ? Quel son les ordres de Chouânne ? Je ne dois pas t'assister dans ta mission.
- Liettuje expliqua à l'autre fée l'information qu'elle avait eue. Leïlânne le prit assez bien, car elle savait que les médecins de Xyron la prendraient sûrement en charge, alors, elle serait guérie, il ne pouvait en être autrement.
À la brasserie, Lolo était toujours à se morfondre quand arriva Fripouille tout content, malgré qu'il aurait dû être là au moins une heure avant s'il n'avait passé son temps à s'arrêter et à répondre aux messages de sa Siamoise.
- Hé bien, les copains vous en faites une tête. Vous n'êtes pas contents de me revoir. Qu'est-ce que tu as Lolo, tu as l'air triste. S'exclama Fripouille devant ses amis.
- Et bien voilà mon copain, j'étais en ligne avec ma chatmoureuse et puis ça a coupé précipitamment et j'ai entendu des bruits bizarres. Maintenant, elle ne répond plus et pourtant les messages sont délivrés. Pépère m'a appelé pour une mission urgente et il ne répond plus à mes SMS non plus alors c'est extrêmement bizarre. Que faisais-tu Fripouille, tu en as mis du temps. Tu habites à côté et tu as mis plus de deux heures pour arriver, répondit Lolo.
- Hé bien, voilà, j'ai été raccompagné ma Siamoise chez elle et elle habite au bout de commune. En revenant vers la brasserie, je suis tombé sur les chatdarmes qui avait besoin d'aide pour l'arrestation d'un chat bandit muni d'armes de guerre. Le brigand était dans une maison abandonnée et était en train de jeter des grenades sur les forces de l'ordre et je les ai renvoyées dans l'espace avec mes pattes. Puis, je suis entré dans la maison et j'ai neutralisé le malfrat à coup de queue. Je suis revenu ici rapidement, mais en route, j'ai dû renseigner un mille-pattes alcoolisé qui tournait en rond et cherchait un marchand de chaussures. Je suis ensuite passé chez moi charger mon téléphone et me voilà les amis. Ha oui, j'oubliais, j'ai croisé en bas de la rue une bonne sœur en voiture qui était totalement ivre. Répondit Fripouille à Lolo.
- C'est sœur Mathilde, elle doit m'emmener à Mornay, vient avec moi Fripouille nous allons là rechercher, lui dit Lolo.
Sur le terrain du poète, Pépère ne savait plus comment faire pour passer devant la cabane du poète. Il regarda Turbo et lui dit.
- Attention mon copain fait gaffe, il y a un monstre à l'intérieur et je connais ce genre-là. C'est un chat qui mange du métal alors, il pourrait nous broyer, nous et notre hélicoptère. J'en ai déjà vu un à l'œuvre, je sais de quoi je parle.
- Ha, bon, tu es certain de ce que tu me dis là, Pépère ?
- Oui, écoute mon histoire qu'elle est vraie réelle pas fausse authentique. Un jour mon soûlard palmé des cheveux du derrière, avait prêté sa voiture à sa comparse. Elle était partie avec faire des courses. Bon inutile de préciser des fûts entiers de vinasse, bref. Au lieu d'aller à Sancoins comme c'est coutumier, elle était partie sur une commune, où elle n'a pas de connaissance dans la gendarmerie. En route, elle voit des automobilistes qui lui faisaient des appels de phares. Elle s'est dit, zut un contrôle routier. En fait, elle roulait en plein feu sans le savoir, se sont les effets de l'alcool, bref. Elle décide de laisser l'auto sur le bord de la route et part à pieds pour voir ce qui se passe et s'égare quelque peu le long d'une forêt. La route faisant une courbe qu'elle voyait en triple, elle prit celle de droite. Entre temps, la gendarmerie trouve la voiture abandonnée sur le bord de la route la batterie déchargée. Ils se disent un véhicule abandonné et l'ont fait remorqué pour la mettre en fourrière. Dans le bois qu'elle longeait un homme était parti se promener dans les sentes des sous-bois et avait laissé sa voiture le long de l'orée. Elle voit l'automobile et ne voit pas qu'elle n'a pas la même couleur. Le pauvre homme ayant laissé sans le faire exprès la carte de démarrage dedans, elle s'en empare et prends la route. Voilà comment la voiture est arrivée chez mon champion du vernissage de bols de vin. Il la ramène à la brigade avec sa xsara sans même se rendre compte que sa voiture avait changé de couleur. Moi, je revenais d'une mission éprouvante et je passe dans son gourbi quémander de la nourriture. J'ouvre la porte personne. Enfin si un monstre du même genre que j'ai involontairement laissé échapper. Il est parti directement vers la voiture sans l'allée. Lui revient et va dans son capharnaüm et ressort en hurlant de la disparition du monstre. Il essaie de repartir avec la laguna que sa comparse avait ramené. Elle semblait ne plus avoir de batterie. Il ouvre le capot et la stupéfaction plus de moteur. Le monstre l'avait mangé. Alors, tu comprends mon inquiétude mon copain.
- Oui en effet, maman moi peur, Pépère que pouvons nous faire ?

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Cortisone

Maître Poète
#2
Un bon moment passé à vous lire Daniel.
Merci
J'attends la suite demain avec impatience
Amicalement
Gaby