Nous allons atterrir et nous allons repartir à pieds vers la maison, peut-être que nous trouverons une autre solution sur place. - D'accord mon copain. Lui répondit Turbo.
Le poète dans le chalet, avait posé le carton sur une chaise et en sortit un petit bout de chat. Sa petite frimousse l'amusait, il était gris et blanc. Il se mit à le flatter et l'animal ronronnait. Il lui donna, faute de mieux quelques croquettes à Pépère qu'il avait dans la cabane. Il envoya un message à son amoureuse au cas où, elle serait éveillée pour lui annoncer cette découverte imprévue. L'animal mangea et but de l'eau dans un bol que l'homme lui avait mis à disposition. Le poète le mit sur son lit et reprit le cours de son repas. Bien qu'il ne fut que 02h30 l'homme s'était fait chauffer du cassoulet et mangeait d'un bon appétit. Dehors, les hommes dans le champ s'étaient enfin calmés. Du moins, ils se faisaient discrets, car ils étaient en train de poser des caméras infrarouges à l'entrée de la cabane de Cookie pour la surveiller. À l'intérieur, toute la troupe dormait sereinement.
À Sancoins, Lolo était très inquiet, car sa chatmoureuse ne répondait plus aux messages depuis un long moment. Elle lui avait dit sortir pour chercher son cousin. Lolo en avait profité pour l'appeler et comme le réseau était très mauvais, ils avaient fini par se parler par SMS. Ses messages étaient bien délivrés, car il avait l'accusé de réception, mais aucune réponse. Encore plus étrange, elle avait essayé de le rappeler et il n'y avait eu qu'un, clac, et puis le silence. La salle était quasiment vide. Ils ne restaient que Coin-coin et Pêcheur qui le soutenaient dans son inquiétude. Le pape était parti dormir et par moment, étrangement à travers la porte, on entendait. Qu'elle est mimi, tac tac tac, quelle cuisse, tac tac tac. Le ministre avait fini par s'écrouler sur le bar et dormait en ronflant bruyamment.
- Je me demande ce que fabrique sœur Mathilde ? Je suis pressé de retourner vers Mornay, car je suis très inquiet pour ma chatmoureuse qui ne répond plus au téléphone. Que se passe-t-il ? Dit Lolo aux deux autres animaux.
- Toc toc toc, la sœur est partie boire avec sa voiture, toc toc toc, c'est une alcoolique, répondit Pêcheur et Coin-coin rajouta.
- Ne t'inquiète pas Lolo, ce n'est sûrement pas bien grave. C'est que le réseau ne doit pas bien fonctionner et elle va te répondre après ta chatmoureuse.
Sur le terrain, Pépère avait posé son appareil à l'endroit habituel. Turbo était intrigué par la lumière dans le chalet et dit à Pépère.
- Tu as vu, il y a de la lumière là-bas, qu'est ce qu'il peut faire à cette heure-ci ?
- Si tu veux parler de mon ravioli Italien imbibé de mayonnaise d'Afghanistan, je vais te le dire. Il a ramassé le carton, désarmé son bazooka et il est certainement en train de picoler et de réciter des messes noires en invoquant la lune. Attends-moi ici mon copain, je vais aller voir. Lui répondit Pépère.
Il partit rapidement vers le chalet et monta sur la chaise de jardin posé devant la porte pour regarder ce que son maître faisait. Il le vit en train de manger. Il pensa, rien d'exceptionnel pour Gargantua. Il lorgnait le carton sur le sol, très intrigué de savoir ce qu'il contenait. Derrière sur les étagères trônaient des victuailles et il salivait de plaisir en s'imaginant les dévorer. Il regarda ensuite sur le lit et vit le petit chat qui dormait en boule. D'un seul coup, tout son poil se hérissa et il revint vers l'hélicoptère encore plus vite qu'il en était parti.
- Alors mon copain qu'est ce que tu as vu dans la cabane ? Qu'est-ce qu'il fait ?
- Vite, fuyons très loin. Le carton figure toi que dedans, il y avait un monstre. Une aberration génétique sans doute à cause de ses saloperies chimiques. Une espèce d'animal avec des poils vert fluorescent et une gueule de t-rex. Vite, partons nous cacher plus loin, j'ai peur vite. Je ne connais pas la force de ce monstre. Suis-moi, nous partons vers la maison pour enquêter sur le vol de ma valise.
Désolé, c'est court, raison mal de tête, n'arrive pas à écrire plus.
Le poète dans le chalet, avait posé le carton sur une chaise et en sortit un petit bout de chat. Sa petite frimousse l'amusait, il était gris et blanc. Il se mit à le flatter et l'animal ronronnait. Il lui donna, faute de mieux quelques croquettes à Pépère qu'il avait dans la cabane. Il envoya un message à son amoureuse au cas où, elle serait éveillée pour lui annoncer cette découverte imprévue. L'animal mangea et but de l'eau dans un bol que l'homme lui avait mis à disposition. Le poète le mit sur son lit et reprit le cours de son repas. Bien qu'il ne fut que 02h30 l'homme s'était fait chauffer du cassoulet et mangeait d'un bon appétit. Dehors, les hommes dans le champ s'étaient enfin calmés. Du moins, ils se faisaient discrets, car ils étaient en train de poser des caméras infrarouges à l'entrée de la cabane de Cookie pour la surveiller. À l'intérieur, toute la troupe dormait sereinement.
À Sancoins, Lolo était très inquiet, car sa chatmoureuse ne répondait plus aux messages depuis un long moment. Elle lui avait dit sortir pour chercher son cousin. Lolo en avait profité pour l'appeler et comme le réseau était très mauvais, ils avaient fini par se parler par SMS. Ses messages étaient bien délivrés, car il avait l'accusé de réception, mais aucune réponse. Encore plus étrange, elle avait essayé de le rappeler et il n'y avait eu qu'un, clac, et puis le silence. La salle était quasiment vide. Ils ne restaient que Coin-coin et Pêcheur qui le soutenaient dans son inquiétude. Le pape était parti dormir et par moment, étrangement à travers la porte, on entendait. Qu'elle est mimi, tac tac tac, quelle cuisse, tac tac tac. Le ministre avait fini par s'écrouler sur le bar et dormait en ronflant bruyamment.
- Je me demande ce que fabrique sœur Mathilde ? Je suis pressé de retourner vers Mornay, car je suis très inquiet pour ma chatmoureuse qui ne répond plus au téléphone. Que se passe-t-il ? Dit Lolo aux deux autres animaux.
- Toc toc toc, la sœur est partie boire avec sa voiture, toc toc toc, c'est une alcoolique, répondit Pêcheur et Coin-coin rajouta.
- Ne t'inquiète pas Lolo, ce n'est sûrement pas bien grave. C'est que le réseau ne doit pas bien fonctionner et elle va te répondre après ta chatmoureuse.
Sur le terrain, Pépère avait posé son appareil à l'endroit habituel. Turbo était intrigué par la lumière dans le chalet et dit à Pépère.
- Tu as vu, il y a de la lumière là-bas, qu'est ce qu'il peut faire à cette heure-ci ?
- Si tu veux parler de mon ravioli Italien imbibé de mayonnaise d'Afghanistan, je vais te le dire. Il a ramassé le carton, désarmé son bazooka et il est certainement en train de picoler et de réciter des messes noires en invoquant la lune. Attends-moi ici mon copain, je vais aller voir. Lui répondit Pépère.
Il partit rapidement vers le chalet et monta sur la chaise de jardin posé devant la porte pour regarder ce que son maître faisait. Il le vit en train de manger. Il pensa, rien d'exceptionnel pour Gargantua. Il lorgnait le carton sur le sol, très intrigué de savoir ce qu'il contenait. Derrière sur les étagères trônaient des victuailles et il salivait de plaisir en s'imaginant les dévorer. Il regarda ensuite sur le lit et vit le petit chat qui dormait en boule. D'un seul coup, tout son poil se hérissa et il revint vers l'hélicoptère encore plus vite qu'il en était parti.
- Alors mon copain qu'est ce que tu as vu dans la cabane ? Qu'est-ce qu'il fait ?
- Vite, fuyons très loin. Le carton figure toi que dedans, il y avait un monstre. Une aberration génétique sans doute à cause de ses saloperies chimiques. Une espèce d'animal avec des poils vert fluorescent et une gueule de t-rex. Vite, partons nous cacher plus loin, j'ai peur vite. Je ne connais pas la force de ce monstre. Suis-moi, nous partons vers la maison pour enquêter sur le vol de ma valise.
Désolé, c'est court, raison mal de tête, n'arrive pas à écrire plus.