Bons, nous prenons l'échelle avec le puissant aimant de mon appareil et nous partons vers la maison. Devant la casse automobile, les riverains s'étaient amassés et ils observaient ce qui se passait. Devant eux s'offrait un spectacle affligeant. Dans la voiture de sœur Mathilde où l'éclairage brûlait, ils virent une sœur et un gendarme trinqué avec des bouteilles qu'ils vidaient directement au goulot. Derrière deux auxiliaires qui claquaient tellement des dents qu'ils faisaient trembler le sol sous l'auto. Puis la Dacia sandero dans laquelle le chien rompu d'avoir mise en lambeaux la voiture un chien qui était collé au carreau et qui tirait la langue. Bientôt, un gyrophare se fit entendre et la brigade arriva sur place. Le chien fut pris en charge par un spécialiste et il n'opposa aucune résistance. Le brigadier lui fut emmené dans la camionnette et il s'écroula sur le sol et se mit à ronfler. Seule sœur Mathilde qui était aguerrie à la boisson semblait parfaitement normale. Elle expliqua sa mésaventure et la brigade lui proposa de l'escorter jusqu'à la pompe à essence de Sancoins. À quelques centaines de mètres des événements qui venaient de se produire, un œil était dans la haie et n'arrêtait pas de dire, n'ai pas peur, n'ai pas peur, puis, il s'aperçut que la sirène s'éloignait et que l'homme dans la jeep n'était pas descendu. Il fut soulagé et se remit en route dans le champ pour être à couvert. Il entendit le bruit des pals de l'hélicoptère à Pépère et se dit. Bon fait gaffe à ce chat policier et part vers la maison reprendre la valise et je m'enfuis de ce pays de dingue et je vends les textes et deviens millionnaire. Il arriva assez vite vers la maison, mais vit qu'une minette était au milieu de la route, alors, il n'osait plus avancer. C'était Cybage qui s'était levée, car elle n'avait pas de nouvelles de son cousin et elle était très inquiète. Elle parlait toute seule et un œil l'écoutait.
- Bon, je me demande bien, où il est parti. Maintenant qu'il est avec cet agent secret, il n'a plus de vie ce pauvre Turbo. Heureusement que mon chatmoureux, malgré ses fonctions de policier, n'ait pas une vie de dingue comme ça.
Un œil compris qu'elle était de la famille du chat policier et décida de l'enlever pour avoir une monnaie d'échange au cas où. Il sortit précipitamment de sa cachette et fonça sur Sybage avec une arme en patte, en s'écriant.
- Haut les pattes ma toute belle, tu vas faire ce que je te dis sinon, je te fais danser sur les moustaches, d'accord minette. Bon passe devant, allez obéis, vas-y, je te dis.
Un œil s'approcha et la poussa assez violemment vers l'avant. La minette s'exécuta et dans la précipitation fit tomber son téléphone dans l'herbe.
Un œil était arrivé à ses fins et il était de nouveau dans la maison. Il avait attaché Sybage à un vieux radiateur par le collier avec une chaîne et un cadenas. Il se dit, pas de panique ici, je suis à l'abri et le chat policier ne peut pas me trouver.
Pépère était toujours dans l'hélicoptère et Turbo le surveillait de près de peur qu'il ne tombe à nouveau dans le vide. Pépère n'arrivait pas à accrocher l'échelle avec la corde et il s'agaçait. Il vit d'un coup une voiture entrée tous feux éteint sur le terrain et il décida de rentrer la corde et son anneau dans l'appareil pour attendre que l'auto reparte. La voiture s'arrêta devant l'entrée de chez le poète. Il descendit avec un carton dans les mains. Il passa sous l'hélicoptère qui lui était invisible. Il posa la boîte devant le chalet et répartit à toute vitesse vers sa voiture et répartit assez vite malgré qu'il roulât tous feux éteints. Le poète qui avait été réveillé déjà à plusieurs reprises, avait la sensation d'une présence au-dessus de lui sans qu'il ne sache ce que s'était. Il se leva et se fit un café et commença à manger des gâteaux. Puis, il partit vers la porte pour voir, s'il ne voyait pas Pépère. À peine la porte ouverte dans la lueur de l'entrebâillement de la porte, il vit le carton. Très intrigué par cette boîte, il décida de la ramasser et la rentra. Il la posa sur le sol et l'ouvrit. Il fit une moue d'étonnement en disant.
- Comme, il est mimi, ho oui vraiment craquant, vite refermons la porte...
Dans l'hélicoptère Turbo dit à Pépère.
- Tu as vu en dessous de nous cette silhouette avec un carton ? Qu'est-ce que c'est à ton avis ?
- je vais te le dire ce que c'est. La poivrote qui est venue ravitailler mon doliprane pour perroquet spasmophile en vinasse. Elle a dû frappée à la porte, mais comme, il est complètement cramé, il n'a rien entendu. Comme, il dort avec un bazooka sous sons oreiller, elle n'a pas osé le réveiller.
- Comme ça sans lumière ? Pourquoi roulerai t'elle sans phares en pleine nuit ?
- C'est simple mon loulou, c'est qu'elle est aussi cramée que lui. Elle fait toujours comme ça, elle roule sans lumière pour ne pas voir le faisceau en double. Puis elle est aveuglée par les lumières de son tableau de bord qu'elle croit être des étoiles et elle pense regarder en l'air en roulant, alors, elle regarde ses pieds et finit dans le fossé. En général, c'est le signal pour moi de mettre en service le harnais. Il lui avait trifouillé son tableau de bord pour qu'elle ait des lumières violettes, mais elle lâchait le volant pour essayer de les ramasser, car elle croyait que c'étaient des verres de vin. Elle a changé de technique et maintenant, elle roule sans lumière la nuit. Bon écoute, je n'arrive pas à récupérer l'échelle avec le crochet. Nous allons atterrir et nous allons repartir à pieds vers la maison, peut-être que nous trouverons une autre solution sur place.
- D'accord mon copain. Lui répondit Turbo.
- Bon, je me demande bien, où il est parti. Maintenant qu'il est avec cet agent secret, il n'a plus de vie ce pauvre Turbo. Heureusement que mon chatmoureux, malgré ses fonctions de policier, n'ait pas une vie de dingue comme ça.
Un œil compris qu'elle était de la famille du chat policier et décida de l'enlever pour avoir une monnaie d'échange au cas où. Il sortit précipitamment de sa cachette et fonça sur Sybage avec une arme en patte, en s'écriant.
- Haut les pattes ma toute belle, tu vas faire ce que je te dis sinon, je te fais danser sur les moustaches, d'accord minette. Bon passe devant, allez obéis, vas-y, je te dis.
Un œil s'approcha et la poussa assez violemment vers l'avant. La minette s'exécuta et dans la précipitation fit tomber son téléphone dans l'herbe.
Un œil était arrivé à ses fins et il était de nouveau dans la maison. Il avait attaché Sybage à un vieux radiateur par le collier avec une chaîne et un cadenas. Il se dit, pas de panique ici, je suis à l'abri et le chat policier ne peut pas me trouver.
Pépère était toujours dans l'hélicoptère et Turbo le surveillait de près de peur qu'il ne tombe à nouveau dans le vide. Pépère n'arrivait pas à accrocher l'échelle avec la corde et il s'agaçait. Il vit d'un coup une voiture entrée tous feux éteint sur le terrain et il décida de rentrer la corde et son anneau dans l'appareil pour attendre que l'auto reparte. La voiture s'arrêta devant l'entrée de chez le poète. Il descendit avec un carton dans les mains. Il passa sous l'hélicoptère qui lui était invisible. Il posa la boîte devant le chalet et répartit à toute vitesse vers sa voiture et répartit assez vite malgré qu'il roulât tous feux éteints. Le poète qui avait été réveillé déjà à plusieurs reprises, avait la sensation d'une présence au-dessus de lui sans qu'il ne sache ce que s'était. Il se leva et se fit un café et commença à manger des gâteaux. Puis, il partit vers la porte pour voir, s'il ne voyait pas Pépère. À peine la porte ouverte dans la lueur de l'entrebâillement de la porte, il vit le carton. Très intrigué par cette boîte, il décida de la ramasser et la rentra. Il la posa sur le sol et l'ouvrit. Il fit une moue d'étonnement en disant.
- Comme, il est mimi, ho oui vraiment craquant, vite refermons la porte...
Dans l'hélicoptère Turbo dit à Pépère.
- Tu as vu en dessous de nous cette silhouette avec un carton ? Qu'est-ce que c'est à ton avis ?
- je vais te le dire ce que c'est. La poivrote qui est venue ravitailler mon doliprane pour perroquet spasmophile en vinasse. Elle a dû frappée à la porte, mais comme, il est complètement cramé, il n'a rien entendu. Comme, il dort avec un bazooka sous sons oreiller, elle n'a pas osé le réveiller.
- Comme ça sans lumière ? Pourquoi roulerai t'elle sans phares en pleine nuit ?
- C'est simple mon loulou, c'est qu'elle est aussi cramée que lui. Elle fait toujours comme ça, elle roule sans lumière pour ne pas voir le faisceau en double. Puis elle est aveuglée par les lumières de son tableau de bord qu'elle croit être des étoiles et elle pense regarder en l'air en roulant, alors, elle regarde ses pieds et finit dans le fossé. En général, c'est le signal pour moi de mettre en service le harnais. Il lui avait trifouillé son tableau de bord pour qu'elle ait des lumières violettes, mais elle lâchait le volant pour essayer de les ramasser, car elle croyait que c'étaient des verres de vin. Elle a changé de technique et maintenant, elle roule sans lumière la nuit. Bon écoute, je n'arrive pas à récupérer l'échelle avec le crochet. Nous allons atterrir et nous allons repartir à pieds vers la maison, peut-être que nous trouverons une autre solution sur place.
- D'accord mon copain. Lui répondit Turbo.
