Les hommes du pentagone derrière la maison à Cookie n'avaient toujours pas constaté de nouveaux phénomènes. Ils observaient les deux gendarmes dans l'allée et se demandaient bien ce qu'il était en train de faire. L'un d'eux partit le long de la clôture et interpella le gendarme.
- Hello, I'm Lieutenant Gordon, what are you looking for?
Le chef de l'homme qui était parti à la recherche du tacheté se retourna et lui repondi.
- Hello do you speak martien ? Où êtes-vous des réfugiés Syriens. You speak le French mec?
- Go get fucked, Syrian yourself OK. You speak French all right?
- Ha turkey OK bin mon gaillard les camps sauvages de migrants sont interdit ici.
Un deuxième homme s'approcha et dit au gendarme.
- Monsieur bonjour que chercher vous ici. Excusez mon collègue il ne parle pas le France.
- Ah bon, n'empêche que les camps sauvages sont interldits interdits dans le secteur alors dégagez où j'appelle mon corps lègue hic.
- You can sit on it OK ! Nous sommes des agents fédéraux du pentagone OK !!
- Ah bon bin vous voulez boire un verre avec moi de notre excellent breuvage.
Pendant ce temps le brigadier Tatouvu prospectait et se retrouva dans le fond du terrain où il y avait des chats en plâtres de décoration. Il sortit son arme et s'écria ;
- Au rond du bois, hic vous êtes en droit de gestation hic. Vous pouvez également garder la faïence je m'en cogne hic. Où est votre complice le terrorisque, hic garagiste, hic et merde.
Le poète regardait tout ces cadres alignés et suivit Liettuje qui s'en approchait.
- Poète je dois ranger un peu ces objets. Une vilaine tempête astrale à balayé cet endroit il y a peu et tout est déplacé dans tous les sens. Elle commença par ouvrir des tiroirs qui étaient invisibles car ils étaient incrustés dans la pierre. En fait c'était un autel du souvenir et en dessous était encastré dans la pierre une sorte de commode où il y avait un nécessaire de nettoyage.
- Cet autel du souvenir cher poète a été réalisé alors que la fée Mélusine en était présente c'est pour ça que le ciel.
Le poète à ses paroles leva les yeux. Il n'avait pas vu mais un joli ciel bleu était au dessus d'eux et il lui semblait d'ailleurs que les nuages avaient des ailes et qu'une nuée de papillon était en train de s'envoler.
Dans le F1 le long de la A77 le ministre avait déjà le téléphone à la main pour appeler les gendarmes. Son chauffeur le tira par la manche et lui dit tout bas à l'oreille.
- Les gendarmes vont vous demander ce que vous faites ici dans cet hôtel et peut-être que les journalistes vont en être informés.
Le ministre du coup rangea le téléphone et se dit qu'il valait mieux jouer la prudence en face des risques d'une mauvaise publicité.
- Bon écoutez Monsieur mettez votre nain dans votre poche et clôturons cet incident. Pour dire j'ai dans ma voiture de très bonnes bouteilles de Sancerre et je vous paie un verre c'est ma tournée.
- Écoute l'asticot ton verre de vin tu peux t'en servir pour te laver les mains. Tu es un malin tu vas nous faire picoler et après appeler les gendarmes pour qu'ils nous arrêtent pour azote dans les naseaux. Alors je veux bien clôturer l'incident mais excuse toi au près de mon épouse qui est, qui est ? Ou est-elle fourrée encore !
- Tu l'as mis dans ta poche pauvre idiot et ta poche est percée elle escalade ta jambe hihi hi hihi..
Le Pépère était dans un état d'excitation extrême et le pape avait un peu de mal à suivre. La bière n'y était pas non plus pour rien. Il commençait à devenir orange c'était le signe. Dans sa tête il se disait, écoutant à moitié le Pépère.
- Quand je pense à ces deux auto-stopeuses j'aurais du leur cramé un 06, et l'autre tu crois qu'il aurait demandé à la gamine comment elle s'appelle,...
- Mon fils...
- Oui mon père pardonnez moi je N'écoutait plus je répétais mon allocution dans ma tête.
- Donc j'envoie la réponse à Napoléon par mail et commence à faire mon enquête sur la disparition de Carla. Fantômas m'assure qu'il n'y ait pour rien. Bon je le crois avec un doute. D'un je vois arriver sœur sourire. Je me dis la honte tout le monde va savoir que j'ai écrit pour elle. En même temps je reçois un mail de Napoléon qui me dit ; le vieux ne peut pas venir il est parti chez audika faire un test de l'audition en parlant de Louis 14. Surbooké je réponds bin essais de chopé Charlemagne je lui ai offert un lance rocket de Syrie car il était menacé de mort par des verbes récalcitrants. Donc sœur sourire arrive et me zap et dit à Barack Obama qu'est ce qu'elle est grosse j'ai trop Kiffé votre film x. J'étais choqué d'entendre ça puis elle rajoute qu'elle est grosse cette bombe que vous utilisez franchement faire un tag sur la statue de la liberté et la transformé en Joconde bravo, grosse imagination. Derrière moi Nicolas me dit bon alors et Carla? Je ne savais plus où donner de la queue. Alors je suis parti voir Napoléon pour l'histoire de ses crabes volants.
- Hello, I'm Lieutenant Gordon, what are you looking for?
Le chef de l'homme qui était parti à la recherche du tacheté se retourna et lui repondi.
- Hello do you speak martien ? Où êtes-vous des réfugiés Syriens. You speak le French mec?
- Go get fucked, Syrian yourself OK. You speak French all right?
- Ha turkey OK bin mon gaillard les camps sauvages de migrants sont interdit ici.
Un deuxième homme s'approcha et dit au gendarme.
- Monsieur bonjour que chercher vous ici. Excusez mon collègue il ne parle pas le France.
- Ah bon, n'empêche que les camps sauvages sont interldits interdits dans le secteur alors dégagez où j'appelle mon corps lègue hic.
- You can sit on it OK ! Nous sommes des agents fédéraux du pentagone OK !!
- Ah bon bin vous voulez boire un verre avec moi de notre excellent breuvage.
Pendant ce temps le brigadier Tatouvu prospectait et se retrouva dans le fond du terrain où il y avait des chats en plâtres de décoration. Il sortit son arme et s'écria ;
- Au rond du bois, hic vous êtes en droit de gestation hic. Vous pouvez également garder la faïence je m'en cogne hic. Où est votre complice le terrorisque, hic garagiste, hic et merde.
Le poète regardait tout ces cadres alignés et suivit Liettuje qui s'en approchait.
- Poète je dois ranger un peu ces objets. Une vilaine tempête astrale à balayé cet endroit il y a peu et tout est déplacé dans tous les sens. Elle commença par ouvrir des tiroirs qui étaient invisibles car ils étaient incrustés dans la pierre. En fait c'était un autel du souvenir et en dessous était encastré dans la pierre une sorte de commode où il y avait un nécessaire de nettoyage.
- Cet autel du souvenir cher poète a été réalisé alors que la fée Mélusine en était présente c'est pour ça que le ciel.
Le poète à ses paroles leva les yeux. Il n'avait pas vu mais un joli ciel bleu était au dessus d'eux et il lui semblait d'ailleurs que les nuages avaient des ailes et qu'une nuée de papillon était en train de s'envoler.
Dans le F1 le long de la A77 le ministre avait déjà le téléphone à la main pour appeler les gendarmes. Son chauffeur le tira par la manche et lui dit tout bas à l'oreille.
- Les gendarmes vont vous demander ce que vous faites ici dans cet hôtel et peut-être que les journalistes vont en être informés.
Le ministre du coup rangea le téléphone et se dit qu'il valait mieux jouer la prudence en face des risques d'une mauvaise publicité.
- Bon écoutez Monsieur mettez votre nain dans votre poche et clôturons cet incident. Pour dire j'ai dans ma voiture de très bonnes bouteilles de Sancerre et je vous paie un verre c'est ma tournée.
- Écoute l'asticot ton verre de vin tu peux t'en servir pour te laver les mains. Tu es un malin tu vas nous faire picoler et après appeler les gendarmes pour qu'ils nous arrêtent pour azote dans les naseaux. Alors je veux bien clôturer l'incident mais excuse toi au près de mon épouse qui est, qui est ? Ou est-elle fourrée encore !
- Tu l'as mis dans ta poche pauvre idiot et ta poche est percée elle escalade ta jambe hihi hi hihi..
Le Pépère était dans un état d'excitation extrême et le pape avait un peu de mal à suivre. La bière n'y était pas non plus pour rien. Il commençait à devenir orange c'était le signe. Dans sa tête il se disait, écoutant à moitié le Pépère.
- Quand je pense à ces deux auto-stopeuses j'aurais du leur cramé un 06, et l'autre tu crois qu'il aurait demandé à la gamine comment elle s'appelle,...
- Mon fils...
- Oui mon père pardonnez moi je N'écoutait plus je répétais mon allocution dans ma tête.
- Donc j'envoie la réponse à Napoléon par mail et commence à faire mon enquête sur la disparition de Carla. Fantômas m'assure qu'il n'y ait pour rien. Bon je le crois avec un doute. D'un je vois arriver sœur sourire. Je me dis la honte tout le monde va savoir que j'ai écrit pour elle. En même temps je reçois un mail de Napoléon qui me dit ; le vieux ne peut pas venir il est parti chez audika faire un test de l'audition en parlant de Louis 14. Surbooké je réponds bin essais de chopé Charlemagne je lui ai offert un lance rocket de Syrie car il était menacé de mort par des verbes récalcitrants. Donc sœur sourire arrive et me zap et dit à Barack Obama qu'est ce qu'elle est grosse j'ai trop Kiffé votre film x. J'étais choqué d'entendre ça puis elle rajoute qu'elle est grosse cette bombe que vous utilisez franchement faire un tag sur la statue de la liberté et la transformé en Joconde bravo, grosse imagination. Derrière moi Nicolas me dit bon alors et Carla? Je ne savais plus où donner de la queue. Alors je suis parti voir Napoléon pour l'histoire de ses crabes volants.
