La pauvre sœur avait fini par déclencher le système d'alarme. En plus du chien qui hurlait la sirène lui perçait les oreilles. Elle était extrêmement stressée et il lui prit l'idée de fuir plus loin.
- Bon, je vois ce que c'est, l'autre dégonflé, est parti draguer au paradis plutôt que de venir aider une pauvre sœur dans le désarroi. Ça m'apprendra à faire des prière dans le vent pour l'autre animal là-haut.
Elle commença à faire demi-tour et accrocha le par choc de son auto sur une des voitures qui étaient sur le parking. Entre temps, la gendarmerie avait été averti d'un problème sur la casse par le système d'alarme. C'est ainsi qu'en plus du chien et de l'alarme, sœur Mathilde se retrouva avec les gendarmes derrière elle. Ils ne savaient pas comment faire pour intervenir. Ils avaient peur de se faire mordre. C'est ainsi qu'ils eurent l'idée ; enfin sous l'ordre de leur chef, le brigadier Tatouvu de sortir d'un côté de la camionnette.
- Allez-y, les gars vous pouvez sortir par l'autre côté, je divertis l'animal d'une grimace. Étant de l'autre côté vous ne craignez pas d'être attaqué. Allez-y les gars, go, go, go...
Les hommes à peines descendus le chien fit le tour de la camionnette et arriva devant la porte de l'auto aux pieds du brigadier.
- Hallucinant, il était de l'autre côté, que c'est il passé, il a un frère jumeau ou un sosie.
Le chien sauta dans le véhicule et le brigadier n'eut que le temps de s'enfuir par l'autre porte qu'il claqua au nez du chien en même temps que l'un des hommes ferma celle d'en face.
- Bons, nous sommes tranquilles maintenant, le monstre est renfermé, il ne peut plus nous attaquer. Dit le brigadier Tatouvu.
- Bien oui chef, mais comment on va l'attraper là-dedans et l'on ne peut plus monter dans la voiture. Répondit l'un des hommes.
- Appeler la brigade qu'elle nous envoie un dresseur de t-rex pour le molosse. Répondit le chef à l'homme qui lui dit.
- Oui chef, mais comment la radio est à l'intérieur de l'automobile avec le t-rex en question. Que pouvons-nous faire ?
Le temps de parler entre eux. Le malinois avait déjà mis les sièges de la voiture en guenilles. Il avait attaqué le volant et était déjà sur le poste radio qui sous l'action de ses crocs répétait inlassablement suite à un court-circuit, vous avez demandé la gendarmerie ne quittez pas !
À la brasserie, le premier-ministre était fier de sa trouvaille pour l'histoire des cartes grises. Il rajouta, cela financera le manque à gagner d'une nouvelle loi que je vais proposer et qui sera révolutionnaire, car il n'y aura plus aucun accident de la route.
- Ah, bon, plus jamais d'accident de la route, rien que ça, le projet est audacieux répondit Lolo. Expliquez-vous monsieur le ministre.
- Voilà, je dois déposer un dossier sur le bureau du ministre des transports dès que je serai de retour à mon cabinet. La grosse Borne de route comme on l'appelle ha ha ha. Donc sachez monsieur Lolo qu'un de nos citoyens nous a fait parvenir un dossier complet et maintenant nous savons à quoi sont dû les accidents de voiture. Non pas par toutes les causes que nous supposions, mais par le fait d'un élément dans le sol qui émet des vibrations et des ondes et perturbent le conducteur. Quand celui-ci roule les ondes prennent le contrôles de son cerveau et se sont elles qui conduisent à sa place sans qu'il ne le sache. En fait, ce phénomène est dû à l'or que les Allemands ont enterré dans le sol durant la Seconde Guerre mondiale. Il y a des millions de tonnes d'or sous les routes de France. Grâce à ce citoyen, je dirais monsieur Jean-Paul, nous savons les emplacements exacts de chaque trésor. Nous allons faire venir des enfants de Chine pour creuser le sol afin que personne ne sache ce que nous faisons, car nous comptons garder l'or et s'offrir de superbes villas et voitures de sport entre la grosse Borne, Macronche, Jean-Paul et moi-même qui nous seuls saurons au courant de la combine. Nous dirons au Chinois que nous avons besoin des enfants pour leur apprendre le métier de la voirie, étant donné qu'ils travaillent déjà à la production de matériel électronique, de vêtement, de marque de sport pour 2 euros de l'heure, pour notre grand bonheur de toucher ces produits à un prix modique, ils seront d'accord qu'ils travaillent ici à 2,15 de l'heure. Alors que pensez vous de ça. Nous pourrons maintenant brûler l'éthylomètre et faire la teuf, allez garçon une autre bière.
Le pauvre Lolo n'en croyait pas ses oreilles et préféra plutôt que de répondre de regarder s'il avait un message de Sybage. Fripouille arriva au même moment dans la brasserie et Coin-coin et Pêcheur l'accueillir.
Dans le pré, Cookie n'en pouvait plus. De sa maison, elle écoutait les Américains s'agiter dans tous les sens devant et derrière sa cabane. Puis, elle écouta ; Pépère chat policier ne bougez plus splash. C'était Pépère qui venait de tomber sur la paille dans son caca. La pauvre jument par désespoir se mit de la paille dans les oreilles pour avoir du silence. Pendant ce temps dans l'hélicoptère, Turbo était en pleine panique, il ne savait pas comment faire et touchait toute les commandes. L'appareil faisait des manœuvres dans tous les sens et cela l'effrayait encore plus. Le long de l'allée, un œil était aussi en pleine détresse, il avait écouté la sirène des gendarmes et maintenant, il voyait l'hélicoptère qu'il prenait pour la police et les Américains en face qui couraient avec des lampes à la main. Heureusement, Leïlanne était là quelque part sur Sancoins à attendre Liettuje et elle voyait à distance la scène. Elle dirigea l'hélicoptère jusqu'à quelques centimètres de Pépère. Celui-ci monta dedans à toute précipitation, car les Américains étaient de partout autour de lui. Ils le virent disparaître, car l'appareil était invisible pour eux, seulement les chats pouvaient le voir.
- Chat alors, tu m'as sauvé la vie mon copain. Tu as vu, je suis tombé dans la colique de la bougresse qui fait ses besoins juste devant sa maison. Comment tu as fait pour piloter mon engin, tu es un génie, je n'en reviens pas. La regarde le chat, il est là poursuit le.
Un œil eut le temps de rentrer dans la haie et se cacha et devint invisible.
- Que faisons-nous, Pépère ? Il a disparu.
- Pas grave mon copain, nous allons récupérer l'échelle pour regarder dans la maison par la fenêtre. J'espère que les hommes en dessous de nous n'ont pas réveillé mon têtard monégasque bariolé au caramel d'Athènes. Nous devons absolument récupérer ma valise. Mes poèmes valent des centaines de milliers d'euros sache le. Mon spleen de la peau de saucisse par exemple a été estimé par des experts à quelques milliers d'euros.
- C'est quoi ce poème ? Tu me le montres.
- Prends l'ipomme qui est à côté de toi et vas dans le bloc note et recherche le spleen de la peau de saucisse et tu vas voir une œuvre d'art.
- Turbo s'exécuta et découvrit ce poème.
Le spleen de la peau de saucisse.
C'est de derrière le carreau
Comme un pauvre marmot
Regardant cuire le gâteau
Que Pépère fait le beau,
Même pas un petit coup d'œil
Et sur lui tombent les feuilles
Et l'autre qui mange sans un mot
Un met délicieux de sur le bureau,
C'est un pauvre chat qui salive
Affamé au point des olives
Manger, qui regarde gargantua
Qui dit, tu ne rentres pas,
Oui, je vais t'en laisser
Toi mon joli minet,
Et Pépère tout content
Ne sait pas ce qui l'attend,
Et son âme reste forte
Espérant que la porte
S'ouvre et qu'une assiette
Arrive avec la rillette
Où bien la jolie saucisse
Qui joliment glisse
Sous les dents du poète
Aujourd'hui c'est la fête,
Enfin, la gamelle est là
Et c'est mon désarroi
Car je n'ai eu que la peau
Il ne perd rien le chameau,
Devant la porte un cadeau
Pas un moindre et un beau
Un joli caca tout rond du Pépère
Devant cette peau, fâché et amer...
Guillaume pépère le 20 décembre 2017.
Turbo lut le poème et dit à Pépère, c'est vraiment de la très belle poésie mon copain.
- Merci mon ami, tu m'as sauvé la vie alors si tu as besoin d'un téléphone, je t'offre l'ipomme, j'ai déjà un Chatmsung. Laisse-moi simplement le temps de récupérer mes fichiers et les photos de mes amours....
- Bon, je vois ce que c'est, l'autre dégonflé, est parti draguer au paradis plutôt que de venir aider une pauvre sœur dans le désarroi. Ça m'apprendra à faire des prière dans le vent pour l'autre animal là-haut.
Elle commença à faire demi-tour et accrocha le par choc de son auto sur une des voitures qui étaient sur le parking. Entre temps, la gendarmerie avait été averti d'un problème sur la casse par le système d'alarme. C'est ainsi qu'en plus du chien et de l'alarme, sœur Mathilde se retrouva avec les gendarmes derrière elle. Ils ne savaient pas comment faire pour intervenir. Ils avaient peur de se faire mordre. C'est ainsi qu'ils eurent l'idée ; enfin sous l'ordre de leur chef, le brigadier Tatouvu de sortir d'un côté de la camionnette.
- Allez-y, les gars vous pouvez sortir par l'autre côté, je divertis l'animal d'une grimace. Étant de l'autre côté vous ne craignez pas d'être attaqué. Allez-y les gars, go, go, go...
Les hommes à peines descendus le chien fit le tour de la camionnette et arriva devant la porte de l'auto aux pieds du brigadier.
- Hallucinant, il était de l'autre côté, que c'est il passé, il a un frère jumeau ou un sosie.
Le chien sauta dans le véhicule et le brigadier n'eut que le temps de s'enfuir par l'autre porte qu'il claqua au nez du chien en même temps que l'un des hommes ferma celle d'en face.
- Bons, nous sommes tranquilles maintenant, le monstre est renfermé, il ne peut plus nous attaquer. Dit le brigadier Tatouvu.
- Bien oui chef, mais comment on va l'attraper là-dedans et l'on ne peut plus monter dans la voiture. Répondit l'un des hommes.
- Appeler la brigade qu'elle nous envoie un dresseur de t-rex pour le molosse. Répondit le chef à l'homme qui lui dit.
- Oui chef, mais comment la radio est à l'intérieur de l'automobile avec le t-rex en question. Que pouvons-nous faire ?
Le temps de parler entre eux. Le malinois avait déjà mis les sièges de la voiture en guenilles. Il avait attaqué le volant et était déjà sur le poste radio qui sous l'action de ses crocs répétait inlassablement suite à un court-circuit, vous avez demandé la gendarmerie ne quittez pas !
À la brasserie, le premier-ministre était fier de sa trouvaille pour l'histoire des cartes grises. Il rajouta, cela financera le manque à gagner d'une nouvelle loi que je vais proposer et qui sera révolutionnaire, car il n'y aura plus aucun accident de la route.
- Ah, bon, plus jamais d'accident de la route, rien que ça, le projet est audacieux répondit Lolo. Expliquez-vous monsieur le ministre.
- Voilà, je dois déposer un dossier sur le bureau du ministre des transports dès que je serai de retour à mon cabinet. La grosse Borne de route comme on l'appelle ha ha ha. Donc sachez monsieur Lolo qu'un de nos citoyens nous a fait parvenir un dossier complet et maintenant nous savons à quoi sont dû les accidents de voiture. Non pas par toutes les causes que nous supposions, mais par le fait d'un élément dans le sol qui émet des vibrations et des ondes et perturbent le conducteur. Quand celui-ci roule les ondes prennent le contrôles de son cerveau et se sont elles qui conduisent à sa place sans qu'il ne le sache. En fait, ce phénomène est dû à l'or que les Allemands ont enterré dans le sol durant la Seconde Guerre mondiale. Il y a des millions de tonnes d'or sous les routes de France. Grâce à ce citoyen, je dirais monsieur Jean-Paul, nous savons les emplacements exacts de chaque trésor. Nous allons faire venir des enfants de Chine pour creuser le sol afin que personne ne sache ce que nous faisons, car nous comptons garder l'or et s'offrir de superbes villas et voitures de sport entre la grosse Borne, Macronche, Jean-Paul et moi-même qui nous seuls saurons au courant de la combine. Nous dirons au Chinois que nous avons besoin des enfants pour leur apprendre le métier de la voirie, étant donné qu'ils travaillent déjà à la production de matériel électronique, de vêtement, de marque de sport pour 2 euros de l'heure, pour notre grand bonheur de toucher ces produits à un prix modique, ils seront d'accord qu'ils travaillent ici à 2,15 de l'heure. Alors que pensez vous de ça. Nous pourrons maintenant brûler l'éthylomètre et faire la teuf, allez garçon une autre bière.
Le pauvre Lolo n'en croyait pas ses oreilles et préféra plutôt que de répondre de regarder s'il avait un message de Sybage. Fripouille arriva au même moment dans la brasserie et Coin-coin et Pêcheur l'accueillir.
Dans le pré, Cookie n'en pouvait plus. De sa maison, elle écoutait les Américains s'agiter dans tous les sens devant et derrière sa cabane. Puis, elle écouta ; Pépère chat policier ne bougez plus splash. C'était Pépère qui venait de tomber sur la paille dans son caca. La pauvre jument par désespoir se mit de la paille dans les oreilles pour avoir du silence. Pendant ce temps dans l'hélicoptère, Turbo était en pleine panique, il ne savait pas comment faire et touchait toute les commandes. L'appareil faisait des manœuvres dans tous les sens et cela l'effrayait encore plus. Le long de l'allée, un œil était aussi en pleine détresse, il avait écouté la sirène des gendarmes et maintenant, il voyait l'hélicoptère qu'il prenait pour la police et les Américains en face qui couraient avec des lampes à la main. Heureusement, Leïlanne était là quelque part sur Sancoins à attendre Liettuje et elle voyait à distance la scène. Elle dirigea l'hélicoptère jusqu'à quelques centimètres de Pépère. Celui-ci monta dedans à toute précipitation, car les Américains étaient de partout autour de lui. Ils le virent disparaître, car l'appareil était invisible pour eux, seulement les chats pouvaient le voir.
- Chat alors, tu m'as sauvé la vie mon copain. Tu as vu, je suis tombé dans la colique de la bougresse qui fait ses besoins juste devant sa maison. Comment tu as fait pour piloter mon engin, tu es un génie, je n'en reviens pas. La regarde le chat, il est là poursuit le.
Un œil eut le temps de rentrer dans la haie et se cacha et devint invisible.
- Que faisons-nous, Pépère ? Il a disparu.
- Pas grave mon copain, nous allons récupérer l'échelle pour regarder dans la maison par la fenêtre. J'espère que les hommes en dessous de nous n'ont pas réveillé mon têtard monégasque bariolé au caramel d'Athènes. Nous devons absolument récupérer ma valise. Mes poèmes valent des centaines de milliers d'euros sache le. Mon spleen de la peau de saucisse par exemple a été estimé par des experts à quelques milliers d'euros.
- C'est quoi ce poème ? Tu me le montres.
- Prends l'ipomme qui est à côté de toi et vas dans le bloc note et recherche le spleen de la peau de saucisse et tu vas voir une œuvre d'art.
- Turbo s'exécuta et découvrit ce poème.
Le spleen de la peau de saucisse.
C'est de derrière le carreau
Comme un pauvre marmot
Regardant cuire le gâteau
Que Pépère fait le beau,
Même pas un petit coup d'œil
Et sur lui tombent les feuilles
Et l'autre qui mange sans un mot
Un met délicieux de sur le bureau,
C'est un pauvre chat qui salive
Affamé au point des olives
Manger, qui regarde gargantua
Qui dit, tu ne rentres pas,
Oui, je vais t'en laisser
Toi mon joli minet,
Et Pépère tout content
Ne sait pas ce qui l'attend,
Et son âme reste forte
Espérant que la porte
S'ouvre et qu'une assiette
Arrive avec la rillette
Où bien la jolie saucisse
Qui joliment glisse
Sous les dents du poète
Aujourd'hui c'est la fête,
Enfin, la gamelle est là
Et c'est mon désarroi
Car je n'ai eu que la peau
Il ne perd rien le chameau,
Devant la porte un cadeau
Pas un moindre et un beau
Un joli caca tout rond du Pépère
Devant cette peau, fâché et amer...
Guillaume pépère le 20 décembre 2017.
Turbo lut le poème et dit à Pépère, c'est vraiment de la très belle poésie mon copain.
- Merci mon ami, tu m'as sauvé la vie alors si tu as besoin d'un téléphone, je t'offre l'ipomme, j'ai déjà un Chatmsung. Laisse-moi simplement le temps de récupérer mes fichiers et les photos de mes amours....
