Dans la soucoupe volante, c'était la panique totale. L'un de ses occupants partit en courant vers le poste de contrôle. La sphère se referma et sœur Mathilde dans sa frénésie n'arrêtait pas de souffler dans son harmonica. Les créatures qui étaient à l'extérieur de la sphère s'étaient tous évanouies. La sœur sentit le sol trembler sous ses pieds et elle eut peur. Elle se dépêcha de remonter dans sa voiture et elle fut expulsé par le halo de lumière blanche qui s'était créée sous l'engin. Elle se retrouva sur le terrain vague où elle s'était arrêté la première fois pour observer la soucoupe.
- Bande de trouillards, c'est le pouilleux barbu qui vous a ordonné de me virer. Pauvre loque, c'est honteux de refuser de boire un verre avec une pauvre vieille femme de mon âge. Bon pour m'en remettre, je vais boire une bonne gorgée de whisky. Allez, sœur Mathilde maintenant calme toi et va voir le pape. J'espère qu'il est moins trouillard que cette espèce de balai mal brossé. Elle regarda en l'air et vit la soucoupe qui filait vers l'espace. Juste derrière suivait trois autres de la même couleur et aussi prestement que la première. Les engins volants disparurent en un éclair et le soleil disparut en une fraction de seconde. La sœur regarda son ipomme, il était dix-neuf heures et le réseau téléphonique et le flux internet étaient revenus. Ce que ne savait pas sœur Mathilde, c'est qu'avec son harmonica, elle avait débarrassé la terre des Paloxydiens. Quelques millions d'années avant, la planète Palydoxe était entrée en guerre avec un satellite voisin. Les guerriers de ce dernier utilisaient comme arme un appareillage électronique qui émettait un son extrêmement aigu comme celui de son instrument. Les militaires de Palydoxe avaient été ainsi décimés en masse par cet appareil. Les créatures qui étaient dans la soucoupe volante avaient cru qu'elle venait de ce satellite. De peur qu'il y ait d'autres personnes de son espèce, ils avaient préféré fuir étant donné qu'elle avait déjà tué quatre des leurs dans la soucoupe avec son instrument.
Fripouille était presque arrivé à la brasserie et il fut obligé de s'arrêter, car la nuit était tombée brutalement. Malgré qu'il vit la nuit, la transition avait été trop brutale et il lui fallait un peu de temps pour s'y accoutumer. Il reprit la route cinq minutes plus tard et arriva dans l'établissement sous les hourras de la foule qui était devant le comptoir.
- Gloire à Fripouille, oui.
- C'est donc vous le fameux fripouille dont on m'a relaté les exploits. Pépère m'a dit que vous aviez réalisé un nombre de missions considérables ensemble. Lui dit le ministre.
Il n'osait pas trop répondre devant la présence de Lolo, il se contenta de dire oui de la tête.
- Oui, nous avons combattu avec Fripouille les pires terroristes de la planète, nous avons terrassé des centaines de t-rex ensemble. Rajouta Lolo tout fier d'avoir quelqu'un pour appuyer ses dires.
Le Pépère était toujours dans l'allée à regarder le poète quand la lumière du soleil disparut.
- Hé bien soûlard quelle saloperie, tu as encore inventé pour faire des nuages un tissu comparable au linceul de l'Èrébe. Hé bien, tu as l'air complètement cramé en plus. Même les Martiens ont eu peur de tes produits chimiques. Tu te rends compte des dangers que tu nous fais courir espèce brosse à dents pour squelette édenté. Oui, c'est ça file dans ton gourbi faire tes orgies alcooliques et alimentaires.
Il regardait l'homme qui repartait vers le chalet et il se baissa pour caresser un chat qu'il ne connaissait pas.
- Hé bien, il y en a qui ont de la chance. Moi, j'ai le droit à des croquettes pourries enrichies à l'uranium ou au plutonium. Qu'est-ce que c'est que ce chatcamain, sûrement un frère de l'autre oiseau mal dégrossi au sel de Tanzanie ou bien un hybride Android bourré de palladium créé par l'autre soûlard et sa poivrote va savoir.
Le chat s'approcha du Pépère. Momo, qui était toujours dans la maison de Bibou, voyait et entendait la scène.
- Chalut toi qui es-tu ? Je ne te connais pas. Oui, c'est ça file dans ton gourbi faire tes orgies alcooliques et alimentaires. Pourquoi les soucoupes volantes ont disparu.
- Chatlut, moi s'est Pépère le beau gosse. Je suis le chat le plus populaire de France. Attention, c'est encore mieux le chat le plus connu au monde. Je suis aussi l'un des plus beaux et j'ai à mon actif des centaines de médailles à des concours d'élégance. Je suis décoré de l'ordre du mérite par plus de quarante nations. Tu ne sais pas pourquoi les soucoupes sont parties. Je vais te raconter pourquoi. Voilà, je reviens de Sancoins où j'assure la garde rapprochée du pape mon fils spirituel et du Premier ministre qui est venu pour me décorer. En route, j'ai été dragué par une minette blanche et j'ai dû m'arrêter. C'est le revers de la médaille, tout le monde veux des autographes et les minettes sont folles de moi et se battent pour moi. Donc, je raccompagne la minette chez elle. En route, elle me dit arrête toi, je suis chatlove de toi et embrasse moi. Nous étions dans un bois qui est peuplé de t-rex. C'est un élevage privé pour la production de viande des ma queue Donald. Je dis à la belle, ma jolie, je suis désolé, mais je suis toujours en mission et je ne peu pas tomber chatmoureux. Elle était un peu fâchée et elle est descendue de l'automobile et s'est aventurée vers le grillage. Les t-rex l'ont vu et voulaient la dévorer. L'un d'eux a pris son ipomme pour appeler ses copains. J'ai alors compris qu'il y avait danger pour la minette. Je suis passé de l'autre côté de la clôture. Pendant ce temps, les extraterrestres, au-dessus, observaient la scène. Ils savaient que j'avais ordre de les neutraliser. J'ai donc attaqué le premier t-rex à coup de moustache, le deuxième, avec mon souffle ultra puissant, je l'ai couché le troisième à coup de queue. J'ai ensuite terrassé les cinquante autres qui étaient derrière et pour finir le dernier, je l'ai jeté sur la soucoupe. Sous l'impact, elle a fait dix tours sur elle-même. Les extraterrestres ont alors compris qu'ils n'étaient pas de taille fasse à Pépère et ils sont repartis sur leur planète. Voilà l'histoire qu'elle est vraie réelle, pas fausse authentique et avérée vraie de la fuite des soucoupes. Alors qui s'est le plus beau, le plus grand, le plus fort de l'univers.
Sybage le regarda et s'écria.
- D'accord une réplique de Turbo.
- Bande de trouillards, c'est le pouilleux barbu qui vous a ordonné de me virer. Pauvre loque, c'est honteux de refuser de boire un verre avec une pauvre vieille femme de mon âge. Bon pour m'en remettre, je vais boire une bonne gorgée de whisky. Allez, sœur Mathilde maintenant calme toi et va voir le pape. J'espère qu'il est moins trouillard que cette espèce de balai mal brossé. Elle regarda en l'air et vit la soucoupe qui filait vers l'espace. Juste derrière suivait trois autres de la même couleur et aussi prestement que la première. Les engins volants disparurent en un éclair et le soleil disparut en une fraction de seconde. La sœur regarda son ipomme, il était dix-neuf heures et le réseau téléphonique et le flux internet étaient revenus. Ce que ne savait pas sœur Mathilde, c'est qu'avec son harmonica, elle avait débarrassé la terre des Paloxydiens. Quelques millions d'années avant, la planète Palydoxe était entrée en guerre avec un satellite voisin. Les guerriers de ce dernier utilisaient comme arme un appareillage électronique qui émettait un son extrêmement aigu comme celui de son instrument. Les militaires de Palydoxe avaient été ainsi décimés en masse par cet appareil. Les créatures qui étaient dans la soucoupe volante avaient cru qu'elle venait de ce satellite. De peur qu'il y ait d'autres personnes de son espèce, ils avaient préféré fuir étant donné qu'elle avait déjà tué quatre des leurs dans la soucoupe avec son instrument.
Fripouille était presque arrivé à la brasserie et il fut obligé de s'arrêter, car la nuit était tombée brutalement. Malgré qu'il vit la nuit, la transition avait été trop brutale et il lui fallait un peu de temps pour s'y accoutumer. Il reprit la route cinq minutes plus tard et arriva dans l'établissement sous les hourras de la foule qui était devant le comptoir.
- Gloire à Fripouille, oui.
- C'est donc vous le fameux fripouille dont on m'a relaté les exploits. Pépère m'a dit que vous aviez réalisé un nombre de missions considérables ensemble. Lui dit le ministre.
Il n'osait pas trop répondre devant la présence de Lolo, il se contenta de dire oui de la tête.
- Oui, nous avons combattu avec Fripouille les pires terroristes de la planète, nous avons terrassé des centaines de t-rex ensemble. Rajouta Lolo tout fier d'avoir quelqu'un pour appuyer ses dires.
Le Pépère était toujours dans l'allée à regarder le poète quand la lumière du soleil disparut.
- Hé bien soûlard quelle saloperie, tu as encore inventé pour faire des nuages un tissu comparable au linceul de l'Èrébe. Hé bien, tu as l'air complètement cramé en plus. Même les Martiens ont eu peur de tes produits chimiques. Tu te rends compte des dangers que tu nous fais courir espèce brosse à dents pour squelette édenté. Oui, c'est ça file dans ton gourbi faire tes orgies alcooliques et alimentaires.
Il regardait l'homme qui repartait vers le chalet et il se baissa pour caresser un chat qu'il ne connaissait pas.
- Hé bien, il y en a qui ont de la chance. Moi, j'ai le droit à des croquettes pourries enrichies à l'uranium ou au plutonium. Qu'est-ce que c'est que ce chatcamain, sûrement un frère de l'autre oiseau mal dégrossi au sel de Tanzanie ou bien un hybride Android bourré de palladium créé par l'autre soûlard et sa poivrote va savoir.
Le chat s'approcha du Pépère. Momo, qui était toujours dans la maison de Bibou, voyait et entendait la scène.
- Chalut toi qui es-tu ? Je ne te connais pas. Oui, c'est ça file dans ton gourbi faire tes orgies alcooliques et alimentaires. Pourquoi les soucoupes volantes ont disparu.
- Chatlut, moi s'est Pépère le beau gosse. Je suis le chat le plus populaire de France. Attention, c'est encore mieux le chat le plus connu au monde. Je suis aussi l'un des plus beaux et j'ai à mon actif des centaines de médailles à des concours d'élégance. Je suis décoré de l'ordre du mérite par plus de quarante nations. Tu ne sais pas pourquoi les soucoupes sont parties. Je vais te raconter pourquoi. Voilà, je reviens de Sancoins où j'assure la garde rapprochée du pape mon fils spirituel et du Premier ministre qui est venu pour me décorer. En route, j'ai été dragué par une minette blanche et j'ai dû m'arrêter. C'est le revers de la médaille, tout le monde veux des autographes et les minettes sont folles de moi et se battent pour moi. Donc, je raccompagne la minette chez elle. En route, elle me dit arrête toi, je suis chatlove de toi et embrasse moi. Nous étions dans un bois qui est peuplé de t-rex. C'est un élevage privé pour la production de viande des ma queue Donald. Je dis à la belle, ma jolie, je suis désolé, mais je suis toujours en mission et je ne peu pas tomber chatmoureux. Elle était un peu fâchée et elle est descendue de l'automobile et s'est aventurée vers le grillage. Les t-rex l'ont vu et voulaient la dévorer. L'un d'eux a pris son ipomme pour appeler ses copains. J'ai alors compris qu'il y avait danger pour la minette. Je suis passé de l'autre côté de la clôture. Pendant ce temps, les extraterrestres, au-dessus, observaient la scène. Ils savaient que j'avais ordre de les neutraliser. J'ai donc attaqué le premier t-rex à coup de moustache, le deuxième, avec mon souffle ultra puissant, je l'ai couché le troisième à coup de queue. J'ai ensuite terrassé les cinquante autres qui étaient derrière et pour finir le dernier, je l'ai jeté sur la soucoupe. Sous l'impact, elle a fait dix tours sur elle-même. Les extraterrestres ont alors compris qu'ils n'étaient pas de taille fasse à Pépère et ils sont repartis sur leur planète. Voilà l'histoire qu'elle est vraie réelle, pas fausse authentique et avérée vraie de la fuite des soucoupes. Alors qui s'est le plus beau, le plus grand, le plus fort de l'univers.
Sybage le regarda et s'écria.
- D'accord une réplique de Turbo.
