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Pépère le chat du poète. Suite. 06 octobre.

#1
Cookie était furax de se réveiller avec cette odeur nauséabonde. Lucie, qui était dehors, avait vu fuir de la cabane Turbo et Pépère, mais, elle n'avait pas compris ce qui s'était passé. Elle avait écouté Cookie hurler et elle s'était empressée d'aller voir ce qui se passait. Elle ne put rentrer dans la cabane à cause de l'odeur qui y régnait. Chatdore était à l'extérieur et se pinçait le nez avec sa patte. Il regarda Lucie en faisant un geste, du genre qu'est-ce que ça pue là-dedans.
- Tu vois, Lucie tu adules Pépère et bien c'est un de ses cadeau, il est venu faire un pet sous le nez de Cookie pendant son sommeil. C'est un véritable bandit.
Lucie ne savait que répondre. Son attention fut attirée par un groupe d'hommes qui revenaient vers la maison à Cookie. Le lieutenant qui avait reçu Pépère n'avait cru qu'à moitié son histoire. Mais un de ses hommes était persuadé que la jument était une extra-terrestre et avait réuni des partisans de son idée pour aller fouiller vers la demeure des juments. Munis d'appareils de recherche de radiations, ils avançaient vers la cabane. Cookie qui ne pouvait plus rester dans sa cabane était sortie et les vit arriver. Elle partit au galop derrière eux et les hommes prirent peur et s'enfuirent à toute vitesse.
À la brasserie, Lolo était assez pressé de partir, mais la sœur traînait et continuait de boire de la bière du cul roux. Il reçu un message de Pépère qui lui disait de prendre son temps, car il avait trouvé un assistant provisoire sans nommé de qui il s'agissait. Lolo était un peu surpris et il en profita que sœur Mathilde traînait pour envoyer un poème à Cybage. Il l'avait trouvé sur le site où publiait son chef et il le prit d'ailleurs sur la page de Pépère. C'était un poème qu'il avait écrit pour Mimine qui lui avait tapé dans l'œil. Il n'eut pas l'accusé de réception et en attendant continuait de fouiller sur la page à Pépère. Il trouva un poème que Pépère avait écrit pour son maître et il ne put s'empêcher de le copier, car il le trouvait réussit. Il demanda à sœur Mathilde, si elle voulait lire un superbe poème de son chef.
- Écoutez, mon chat fils Lolo, je veux bien.

Lolo lui fit lire ce poème.

Voiture mon amour.

Sa passion c'est l écriture
Mais il en est une bien plus obscure
Ce sont les voiture
Il visse, dévisse, serre et desserre
D'une batterie dépend sa vie !
D'un pépère en quête de nourriture qui Ne rêve que de garbure il n en a cure!Une telle froidure,
Le sentiment d'être une épluchure Gerçures coupures brûlures
Voilà à quoi il carbure
Voyez ses mains pleines de noircissures
Quelle désinvolture!
Je le prendrai bien par l'encolure ,
Vite! Une manucure
Levant parfois un oeil vers l'azur,
Dans les nuages, des écrous, des pneus, des embrayages il retourne aussitôt à son ouvrageSeule la luxure à raison de ce bidouillage car divin est le breuvage de cette lune de miel en tout point supérieur à ce qui coule de la bielle.

Guillaume Pépère
Le vrai poète
05 Mai 2016
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- Whaaaaa quel poète ce Pépère et bien je n'en reviens pas.

Pendant ce temps Turbo et Pépère furetaient au fond du terrain. Turbo vit les caisses à Pépère et lui demanda ce qu'elles contenaient.
- Ça c'est un cadeau de ma fée d'amour que j'aime, Leïlânne qui habite sur la planète Venus. Tu veux goûter un de ces succulents poulets ? Cela nous donnera des forces.
- Oui, avec plaisir, je raffole du poulet. Hum c'est tellement bon.
Le pépère ouvrit une caisse et en sortit un. Il le coupa en un quart trois quarts et donna le petit bout à Turbo.
- Voilà, tu en as la moitié, j'ai tenu compte dans le partage de nos coefficients intellectuels et comme, je suis le chat le plus intelligent de l'univers, j'ai la grosse part.
Turbo et Pépère mangèrent le poulet assez rapidement et repartirent vers l'entrée du terrain. Turbo dit à Pépère.
- C'est quoi cette Renault toute démontée.
- C'est mon cauchemar, c'est la voiture de mon alcoolique d'URSS décoloré à l'uranium d'Afghanistan, à chaque fois qu'il s'en sert, il tombe en panne et m'appelle pour la tirer avec un harnais. Figure toi qu'il est tellement alcoolique qu'en plus quand elle marche, il la couche dans le fossé. La dernière panne était due à sa soûlarde qui a poursuivi sur l'autoroute un contrevenant en marche arrière à 140 km voir des pointes à 180 kmh en marche arrière. Le résultat, Pépère qui l'a tirer sur 30 kilomètres avec le harnais. En plus, il n'arrête pas de la trafiquer. Sa dernière invention, il a passé son compteur et ses instruments de bord en violet. C'est à cause de l'alcool. Les équipements étaient en blanc et la nuit, il croyait que c'était des phares et se couchait dans le fossé pour éviter la voiture en face de lui qui n'étaient que les lumières de son compteur. Voilà ce que c'est que cette épave avec le moteur à côté qu'il m'a demandé de remonter dedans. Bon allons voir vers la maison de sa mère si nous trouvons des indices allez viens Turbo !
- À vos ordres chef.


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