Dans son empressement à partir Lolo loupa l'entrée du champ et donna un violent coup de volant. La roue de l'auto heurta le fossé et il fut éjecté de l'autre côté de la haie et retomba dans un caca de vache. Lucie s'écria de toutes ses forces ;
- Non !!! Vite mon mega love Lolo!!
Turbo partit voir ce qui ce passait, malgré ce qu'il prétendait de la puissance de ses pattes il lui fallu un bon moment pour arrivé de l'autre côté de la haie. Momo qui était derrière le noyer regardait la scène et dit ;
- Chat chat chat chat, le chat le plus puissant du monde. Non mais nous croyons rêver, c'est une aberration génétique à laquelle ils ont greffé des muscle de limaces. Hé bien nous voilà bien monté avec ce genre débridé de la race féline, entre Pépère Lolo et maintenant ce turbo que l'on ne sait d'où il vient.
Turbo arriva vers Lolo qui était en train de s'essuyer avec de l'herbe.
- C'est bon mon copain je n'ai rien et je me suis parfaitement nettoyé ; dit-il.
- Tu nous as fait peur Lolo dit donc.
Lui dit turbo.
Dans sa cabane Cookie qui voyait toute la scène n'en pouvait plus.
-Hiii ça t'apprendra chat drogué hiii ça n'a pas du arrangé ta fracture du cerveau.
Lolo lui partit vers la voiture et dit à Turbo.
- Bon, ce n'est pas tout ça mais je dois reprendre la route.
Il démarra la voiture qui par chance était restée dans l'herbe. Arrivé au bout de la rue il vit une superbe chatte sacré de Birmanie qu'il n'avait jamais vu. Il s'approcha et lui dit.
- Salut ma toute belle tu es perdue dans la région. Je m'appelle Lolo et je suis un agent secret.
La chatte lui répondit en s'approchant ;
- Moi c'est Sybage et je ne suis pas ta toute belle et tu pus le caca.
Lolo était un peu vexé et répartit en direction de la nationale.
Non loin de la couverture nuageuse de la terre la soucoupe s'apprêtait à se poser sur terre. Du fait que Chouânne pouvait la rendre invisible l'endroit pour la poser n'était pas un problème. C'est non loin du canal qu'elle le fit. Le poète était heureux de retrouvé l'odeur fraîche des peupliers le son du clapotis du canal. Dans le champ il vit un héron et un canard qui marchait l'un à côté de l'autre. La fée Chouânne ne pouvait pas restée longtemps et Liettuje se dépêcha de descendre. Chacun fit ses adieux à la fée sachant qu'il se reverrait. La soucoupe disparut et dedans Chouânne avait le cœur lourd de ne pouvoir aller embrasser son tigrou.
- Bon monsieur le poète tout court je vais vous laisser un moment. Cependant je ne serai jamais bien loin à l'avenir si vous avez besoin de moi.
L'homme la laissa en respectant son choix, elle avait envie de solitude à cet instant précis. Il partit dans Sancoins après avoir pris renseignement au près du canal quant à savoir où était le chat Pépère. Il partit tranquillement vers la brasserie du cul roux qu'il ne connaissait de mémoire avant les événements ne pas exister.
Le Pépère était en train de réfléchir. Il sirotait un verre de lait et se goinfrait de Catisfaction. D'un seul coup il vit à travers la vitre une tête qui lui était familière. Il se mit à réfléchir puis s'écria au fond de lui.
- Mon alcoolique, que fait-il là. Où était-il durant tout ce temps. Probablement occupé à son trafique d'arme.
Il sortit dehors, profitant que le ministre et le pape était occupé à faire un duel en réseau sur call of duty sur leurs ipomme.
L'homme vit son chat et s'approcha. Le Pépère le regarda d'un air méchant et consulta la date et l'heure sur son chatmsung et se dit.
- C'est maintenant que tu arrives espèce de poivrot déshydraté d'URSS. Alors qu'est ce que tu trafique encore tu n'en as pas marre de me surveiller figure de peau fesse.
Le poète lui le caressait gentiment et savait qu'il devait le laisser faire sa vie le temps que les événements reprennent leur cours.
- Ça va mon Pépère? Alors tu racontes des histoires à dormir debout.
- Ça va mon soûlard alors tu picoles toujours autant avec ta poivrote. Tu trafique toujours avec tes curés de lourdes. Et dans ma chatlauréanne tu écoute toujours la messe.
L'homme le caressait et le Pépère malgré ses paroles douteuses était extrêmement heureux et il ronronnait. Il pensait que cela serait bien si tout ça s'arrêtait en fait. Il avait le spleen de Bibou Bouillette et même Momo.
L'homme s'en alla vers la ville et le chat retourna vers le bar. Il alla dans la réserve sous prétexte de contrôle des stocks de bière du cul roux. Arrivé dans la réserve il se mit à pleurer et regardant en l'air il disait.
- Poète je t'aime pardon, maman fée je t'aime Leïlanne je t'aime je t'aime je vous aime et il envoyait des bisou dans le vide avec sa patte.
- Non !!! Vite mon mega love Lolo!!
Turbo partit voir ce qui ce passait, malgré ce qu'il prétendait de la puissance de ses pattes il lui fallu un bon moment pour arrivé de l'autre côté de la haie. Momo qui était derrière le noyer regardait la scène et dit ;
- Chat chat chat chat, le chat le plus puissant du monde. Non mais nous croyons rêver, c'est une aberration génétique à laquelle ils ont greffé des muscle de limaces. Hé bien nous voilà bien monté avec ce genre débridé de la race féline, entre Pépère Lolo et maintenant ce turbo que l'on ne sait d'où il vient.
Turbo arriva vers Lolo qui était en train de s'essuyer avec de l'herbe.
- C'est bon mon copain je n'ai rien et je me suis parfaitement nettoyé ; dit-il.
- Tu nous as fait peur Lolo dit donc.
Lui dit turbo.
Dans sa cabane Cookie qui voyait toute la scène n'en pouvait plus.
-Hiii ça t'apprendra chat drogué hiii ça n'a pas du arrangé ta fracture du cerveau.
Lolo lui partit vers la voiture et dit à Turbo.
- Bon, ce n'est pas tout ça mais je dois reprendre la route.
Il démarra la voiture qui par chance était restée dans l'herbe. Arrivé au bout de la rue il vit une superbe chatte sacré de Birmanie qu'il n'avait jamais vu. Il s'approcha et lui dit.
- Salut ma toute belle tu es perdue dans la région. Je m'appelle Lolo et je suis un agent secret.
La chatte lui répondit en s'approchant ;
- Moi c'est Sybage et je ne suis pas ta toute belle et tu pus le caca.
Lolo était un peu vexé et répartit en direction de la nationale.
Non loin de la couverture nuageuse de la terre la soucoupe s'apprêtait à se poser sur terre. Du fait que Chouânne pouvait la rendre invisible l'endroit pour la poser n'était pas un problème. C'est non loin du canal qu'elle le fit. Le poète était heureux de retrouvé l'odeur fraîche des peupliers le son du clapotis du canal. Dans le champ il vit un héron et un canard qui marchait l'un à côté de l'autre. La fée Chouânne ne pouvait pas restée longtemps et Liettuje se dépêcha de descendre. Chacun fit ses adieux à la fée sachant qu'il se reverrait. La soucoupe disparut et dedans Chouânne avait le cœur lourd de ne pouvoir aller embrasser son tigrou.
- Bon monsieur le poète tout court je vais vous laisser un moment. Cependant je ne serai jamais bien loin à l'avenir si vous avez besoin de moi.
L'homme la laissa en respectant son choix, elle avait envie de solitude à cet instant précis. Il partit dans Sancoins après avoir pris renseignement au près du canal quant à savoir où était le chat Pépère. Il partit tranquillement vers la brasserie du cul roux qu'il ne connaissait de mémoire avant les événements ne pas exister.
Le Pépère était en train de réfléchir. Il sirotait un verre de lait et se goinfrait de Catisfaction. D'un seul coup il vit à travers la vitre une tête qui lui était familière. Il se mit à réfléchir puis s'écria au fond de lui.
- Mon alcoolique, que fait-il là. Où était-il durant tout ce temps. Probablement occupé à son trafique d'arme.
Il sortit dehors, profitant que le ministre et le pape était occupé à faire un duel en réseau sur call of duty sur leurs ipomme.
L'homme vit son chat et s'approcha. Le Pépère le regarda d'un air méchant et consulta la date et l'heure sur son chatmsung et se dit.
- C'est maintenant que tu arrives espèce de poivrot déshydraté d'URSS. Alors qu'est ce que tu trafique encore tu n'en as pas marre de me surveiller figure de peau fesse.
Le poète lui le caressait gentiment et savait qu'il devait le laisser faire sa vie le temps que les événements reprennent leur cours.
- Ça va mon Pépère? Alors tu racontes des histoires à dormir debout.
- Ça va mon soûlard alors tu picoles toujours autant avec ta poivrote. Tu trafique toujours avec tes curés de lourdes. Et dans ma chatlauréanne tu écoute toujours la messe.
L'homme le caressait et le Pépère malgré ses paroles douteuses était extrêmement heureux et il ronronnait. Il pensait que cela serait bien si tout ça s'arrêtait en fait. Il avait le spleen de Bibou Bouillette et même Momo.
L'homme s'en alla vers la ville et le chat retourna vers le bar. Il alla dans la réserve sous prétexte de contrôle des stocks de bière du cul roux. Arrivé dans la réserve il se mit à pleurer et regardant en l'air il disait.
- Poète je t'aime pardon, maman fée je t'aime Leïlanne je t'aime je t'aime je vous aime et il envoyait des bisou dans le vide avec sa patte.
