- Je n'ai eu que le temps de m'essuyer et de présenter mes hommages à ma copine Cookie, je suis parfaitement propre, c'est parti attention chatmareur, est de retour. À trop s'occuper de Pépère et de sa victime, un œil avait fini par oublier de surveiller l'arrivée de ses messages. Elchatponne, qui n'était pas idiot, voyait bien qu'il y avait quelque chose de bizarre, car son complice semblait se désintéresser de son évasion. En relisant les anciens SMS, il constata que ses réponses étaient assez évasives. Maintenant, il hésitait à mettre en place son projet de repartir vers l'Italie. Il se disait que ce sacré minet devait être sur un coup qui rapporte et qu'il ferait mieux d'y jeter ses yeux. Le chat bandit lui surveillait toujours la grille et vit que les chats s'étaient éloignés. Pas d'inquiétude, se disait-il se sont des promeneurs, c'est tout et ils ont passé leur chemin. Il reprit son travail de recherche sur l'internet concernant, Pépère et Lolo.
Eux pendant ce temps-là repartaient vers la route à travers le champ où les tentes des Américains étaient posées.Eux pendant ce temps-là repartaient vers la route à travers le champ où les tentes des Américains étaient posées. C'est sur une accélération fulgurante que Pépère prit la route et passa devant chez le poète où Momo qui était dehors le vit passer. Pépère n'avait pas pensé qu'il était visible pour les autres animaux ou bien, il l'avait oublié. Momo le regarda filer comme une flèche en s'exclamant ;
- Diantre, qu'est ce que c'est que ce bolide qu'ils lui ont mis entre les pattes. Cet animal est un chatssassin et assurément va nous produire quelques anicroches sur son passage. Morbleu, le scellera, mais où s'en va-t-il donc avec cette pâle copie qui le suit et qu'il subodore avoir mon apanage. Quelle est donc cette folle épopée et où courent ils ainsi. Je m'en vais de ce pas mettre en garde notre brave Mimine qu'un chauffard déambule en nos rues afin qu'il n'y arrive point de mésaventures. Bon Maurice, ce n'est pas tout ça, mais allons prestement dans le champ de la jument pour voir ce qu'il s'y passe. Il me semble que la déraison y demeure, s'y j'en juge au totem qu'ils ont érigé pour ce délinquant routier de Pépère.
Dans la brasserie, le calme était de rigueur en l'absence des ténors de la moulinette à paroles. Le ministre ronflait de plus en plus fort et semblait faire un concours avec Sa Sainteté qui dans la chambre imitait l'airbus au décollage. Coin-coin et Pècheur, qui voulaient dormir, n'y parvenait pas. C'est à ce moment que sœur Mathilde fit irruption dans la salle. Malgré la colère de Lolo qui était pressé de rejoindre sa commune, elle avait fait demi-tour pour rejoindre la brasserie. Elle s'était rendu compte qu'elle avait par mégarde échangé son ipomme avec celui du pape.
- Où est-il le gougnafier à la robe blanche ? Le salopard m'a volé mon ipomme où sont stocké des informations ultras confidentielles sur les agissements de Dieu lors de mon enlèvement.
Les deux pauvres animaux étaient complètement désemparés par son attitude. Elle se dirigea derrière le bar et but sous la bouteille de whisky qui était sur son présentoir, elle utilisait le doseur comme une tétine et s'essuyant, elle dit. Drôle de biberon pour adulte, mais franchement, ce n'est pas du petit-lait de morveux. Elle partit ensuite dans la chambre du pape sans même prendre soin de frapper. Elle prit l'ipomme sur le chevet et lui dit.
- Alors espèce de vieux rhinocéros, tu voulais berner la vieille et bien, c'est loupé mon gaillard ton compte, est bon et elle s'en alla en rouspétant. Les deux chats étaient toujours à l'extérieur et Coin-coin et Pêcheur étaient avec eux. Du fait que la brasserie, était fermée la sœur décida de les emmener sous les conseils de Lolo. C'est ainsi qu'un drôle d'équipage composé, d'une sœur, deux chats, un canard et un héron partirent rejoindre Pépère qui était non loin de la nationale. Il venait de recevoir le message de Lolo l'informant du changement et qu'ils partaient seulement de la brasserie. Turbo était impatient, car il avait peur pour sa cousine dont il lui arrive un malheur à cause du monstre que Pépère lui avait décrit.
- Nous repartons bientôt Pépère ? Pourquoi ont-ils fait demi-tour ? Le monstre, ne risque-t-il pas de s'échapper et nous rattraper ?
Dit-il à Pépère.
- La sœur, avait oublié son ipomme dans la brasserie et elle est allé le chercher. Ils sont tous dans la voiture avec Coin-coin et Pécheur que je te présenterai sur place. Concernant le monstre, il n'y a pas de danger pour le moment. Il lui affûtait les dents donc c'est qu'elles sont toujours en métal, mais vont se transformer demain.
- Ha, bon, ses dents vont se transformer, comment tu le sais ?
- Hé bien, voilà le dernier monstre que mon marteau-piqueur israélien casseur d'œuf de fourmis japonaises à fabriquer est né comme ça. Sa comparse, qui avait préparé le ragoût de métaux, a voulu en manger à toute force, car elle en raffole et à cause des saloperies chimiques qu'ils avaient mis dedans, il lui est arrivé une mésaventure. Voilà l'histoire mon loulou. Donc, elle a mangé le ragoût de métaux, étonnement sans boire d'alcool, mais de l'acide de batterie, car elle disait que ça fait ressortir le goût de la préparation dans le palais. Donc mon soûlard en a profité pour vider le seize litres de vinasse qu'elle avait ramené pour eux deux. Elle est ensuite repartie et c'est le lendemain que les ennuis ont commencé. Je précise que le retour s'était fait la veille sans l'appel de sos harnais. Donc, le matin, elle se lève et déjeune. Elle se prépare et se brosse les dents sans même se rendre compte que la brosse en avait perdu tout ses poils. Elle s'en va en bus avec sa copine strasbourgeoise conductrice qui lui dit. C'est bizarre, tu as les yeux verts. Ce à quoi, elle lui a répondu, et toi, tu t'es bu quand t'as vu, ivrognesse, occupe toi de ton volant. Arrivée à la brigade ses collègues la regardaient d'un air bizarre et l'un d'eux lui dit. Excuse moi, c'est normal que tes yeux soient verts et que tu aies des dents en titane. Elle est allée se regarder dans le fond d'un verre à bourbon qui était sur son bureau. C'est ainsi qu'elle a dû se faire opérer à deux reprises par un chirurgien polonais, spécialiste des dents en titane. Oui à deux reprises, car avant la première opération, ils avaient bu ensemble le somnifère anesthésiant qui était de la vodka à quatre-vingts degrés et il lui avait greffé des dents de cheval. C'est en rentrant à la brigade qu'elle s'en est aperçue, du moins un de ses collègues, car elle ne faisait que de manger des carottes et des sachets d'avoine à l'apéritif. Le chirurgien l'a donc opérer le lendemain et lui a greffé de vraies dents humaines. Voilà mon loulou, tu es rassuré, le monstre a toujours ses dents de lait en métal pour le moment nous ne craignons rien.
Eux pendant ce temps-là repartaient vers la route à travers le champ où les tentes des Américains étaient posées.Eux pendant ce temps-là repartaient vers la route à travers le champ où les tentes des Américains étaient posées. C'est sur une accélération fulgurante que Pépère prit la route et passa devant chez le poète où Momo qui était dehors le vit passer. Pépère n'avait pas pensé qu'il était visible pour les autres animaux ou bien, il l'avait oublié. Momo le regarda filer comme une flèche en s'exclamant ;
- Diantre, qu'est ce que c'est que ce bolide qu'ils lui ont mis entre les pattes. Cet animal est un chatssassin et assurément va nous produire quelques anicroches sur son passage. Morbleu, le scellera, mais où s'en va-t-il donc avec cette pâle copie qui le suit et qu'il subodore avoir mon apanage. Quelle est donc cette folle épopée et où courent ils ainsi. Je m'en vais de ce pas mettre en garde notre brave Mimine qu'un chauffard déambule en nos rues afin qu'il n'y arrive point de mésaventures. Bon Maurice, ce n'est pas tout ça, mais allons prestement dans le champ de la jument pour voir ce qu'il s'y passe. Il me semble que la déraison y demeure, s'y j'en juge au totem qu'ils ont érigé pour ce délinquant routier de Pépère.
Dans la brasserie, le calme était de rigueur en l'absence des ténors de la moulinette à paroles. Le ministre ronflait de plus en plus fort et semblait faire un concours avec Sa Sainteté qui dans la chambre imitait l'airbus au décollage. Coin-coin et Pècheur, qui voulaient dormir, n'y parvenait pas. C'est à ce moment que sœur Mathilde fit irruption dans la salle. Malgré la colère de Lolo qui était pressé de rejoindre sa commune, elle avait fait demi-tour pour rejoindre la brasserie. Elle s'était rendu compte qu'elle avait par mégarde échangé son ipomme avec celui du pape.
- Où est-il le gougnafier à la robe blanche ? Le salopard m'a volé mon ipomme où sont stocké des informations ultras confidentielles sur les agissements de Dieu lors de mon enlèvement.
Les deux pauvres animaux étaient complètement désemparés par son attitude. Elle se dirigea derrière le bar et but sous la bouteille de whisky qui était sur son présentoir, elle utilisait le doseur comme une tétine et s'essuyant, elle dit. Drôle de biberon pour adulte, mais franchement, ce n'est pas du petit-lait de morveux. Elle partit ensuite dans la chambre du pape sans même prendre soin de frapper. Elle prit l'ipomme sur le chevet et lui dit.
- Alors espèce de vieux rhinocéros, tu voulais berner la vieille et bien, c'est loupé mon gaillard ton compte, est bon et elle s'en alla en rouspétant. Les deux chats étaient toujours à l'extérieur et Coin-coin et Pêcheur étaient avec eux. Du fait que la brasserie, était fermée la sœur décida de les emmener sous les conseils de Lolo. C'est ainsi qu'un drôle d'équipage composé, d'une sœur, deux chats, un canard et un héron partirent rejoindre Pépère qui était non loin de la nationale. Il venait de recevoir le message de Lolo l'informant du changement et qu'ils partaient seulement de la brasserie. Turbo était impatient, car il avait peur pour sa cousine dont il lui arrive un malheur à cause du monstre que Pépère lui avait décrit.
- Nous repartons bientôt Pépère ? Pourquoi ont-ils fait demi-tour ? Le monstre, ne risque-t-il pas de s'échapper et nous rattraper ?
Dit-il à Pépère.
- La sœur, avait oublié son ipomme dans la brasserie et elle est allé le chercher. Ils sont tous dans la voiture avec Coin-coin et Pécheur que je te présenterai sur place. Concernant le monstre, il n'y a pas de danger pour le moment. Il lui affûtait les dents donc c'est qu'elles sont toujours en métal, mais vont se transformer demain.
- Ha, bon, ses dents vont se transformer, comment tu le sais ?
- Hé bien, voilà le dernier monstre que mon marteau-piqueur israélien casseur d'œuf de fourmis japonaises à fabriquer est né comme ça. Sa comparse, qui avait préparé le ragoût de métaux, a voulu en manger à toute force, car elle en raffole et à cause des saloperies chimiques qu'ils avaient mis dedans, il lui est arrivé une mésaventure. Voilà l'histoire mon loulou. Donc, elle a mangé le ragoût de métaux, étonnement sans boire d'alcool, mais de l'acide de batterie, car elle disait que ça fait ressortir le goût de la préparation dans le palais. Donc mon soûlard en a profité pour vider le seize litres de vinasse qu'elle avait ramené pour eux deux. Elle est ensuite repartie et c'est le lendemain que les ennuis ont commencé. Je précise que le retour s'était fait la veille sans l'appel de sos harnais. Donc, le matin, elle se lève et déjeune. Elle se prépare et se brosse les dents sans même se rendre compte que la brosse en avait perdu tout ses poils. Elle s'en va en bus avec sa copine strasbourgeoise conductrice qui lui dit. C'est bizarre, tu as les yeux verts. Ce à quoi, elle lui a répondu, et toi, tu t'es bu quand t'as vu, ivrognesse, occupe toi de ton volant. Arrivée à la brigade ses collègues la regardaient d'un air bizarre et l'un d'eux lui dit. Excuse moi, c'est normal que tes yeux soient verts et que tu aies des dents en titane. Elle est allée se regarder dans le fond d'un verre à bourbon qui était sur son bureau. C'est ainsi qu'elle a dû se faire opérer à deux reprises par un chirurgien polonais, spécialiste des dents en titane. Oui à deux reprises, car avant la première opération, ils avaient bu ensemble le somnifère anesthésiant qui était de la vodka à quatre-vingts degrés et il lui avait greffé des dents de cheval. C'est en rentrant à la brigade qu'elle s'en est aperçue, du moins un de ses collègues, car elle ne faisait que de manger des carottes et des sachets d'avoine à l'apéritif. Le chirurgien l'a donc opérer le lendemain et lui a greffé de vraies dents humaines. Voilà mon loulou, tu es rassuré, le monstre a toujours ses dents de lait en métal pour le moment nous ne craignons rien.
