Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Nuit forrestiere

#1
C'est par une claire nuit d'été,
Que je m'en vais te retrouver,
Sur le bord du bois, sous la lune illuminée,
Tu m'attend sur le péron d'un chalet isolé...
J'arrive tout près de toi, tu me sourie,
Je m'assois a tes coté, sans un bruit,
Et nous restons la, prisoniers de la nuit,
Seuls, bien, unis...
Enfin sur ta bouche, je pose un petit baisé,
Que gentiment tu fait longtemps durer,
Mes mains, impatiente de t'explorer,
Ont déja commencer a te déshabiller...
Sur ce péron de vois, je t'étend, enfin nue,
La lune t'éclaire, brille dans tes yeux éperdus,
Moi je te touche, je te caresse,
Tes cheveux adorés, ton corps de déesse...
Très doucement je prend tes seins,
Et les garde dans le creu de mes mains,
Et j'y dépose de longs et langoureux baisés,
Pour tendrement te réchauffer...
Puis je me dirige vers ton sexe brulant,
M'en approcher, c'est trop tentant,
J'écarte tes cuisses pour te découvrir,
Le reflet de la lune te fait déja luire...
J'approche mon visage de cet espace si doux,
Je le sens, je le touche, c'est bon, c'est fou,
Du bout de ma langue enfin je te goûte,
Nos désirs confondus ne font plus aucun doute...
Ma langue s'empresse de prendre possession,
De ton clitoris déja offert, tu goûte si bon,
Je te dévore de ma bouche, je te bois,
Sous mes levres, je sens ton corps au abois...
Puis je glisse ma langue plus profondément en toi,
Tu oublies tout le reste et ne pense qu'à moi,
Tes mains m'aggripent et me serrent très fort,
Et je continue ma caresse sans le moindre effort...
Ma langue vas et viens en toi de plus en plus fort,
Avec elle, je te prend, je te baise a mort,
Tu la sens aller si profond dans tes entrailles,
Qu'elle va frapper, tout au fond, ton âme...
Je continue a aller plus loin et plus vite,
Et bientôt ce n'est plus que plaisir et frissons qui t'habitent,
Tu gémie, tu sues, tu dis des mots sans aucun sens,
Pendant que je prend possession de tout tes sens...
Alors tu te cambre et tu appuis sur mon visage,
Ma langue en toi se fait encore moins sage,
Tu la sens s'agiter au fond de ta vulve meurtrie,
De tant de plaisir, de passion, puis tu cries...
Longtemps encore, la foret résonne de tes hurlements,
Jusqu'a ce qu'ils s'éteignent lentement,
Nue sous la lune, épuisée, tu tombes endormie,
Sous mon regard protecteur, pour le reste de la nuit...
FIN
(Pour Marie)