Au fleuve des rimes, rêvasse l’insomnie
Où cœurs intimes baladent l’ignominie
D’être deux bravant la solitude et l’ennui,
Tandis qu’il peint de loin la beauté de la nuit
D’éblouissantes étoiles suspendues au ciel
Reflètent sur les flots lumière immatérielle
Pour qu’un bleu s’empare d’un noir circonstanciel
Et que d’un trait file son esprit démentiel
Barques amarrées attendent les voyageurs
Qui sommeillent de l’autre côté sans peur
Puisqu’il est le gardien inavoué des pleurs
Qu’il mêle à son pinceau ravivant les couleurs
Je me baigne songeuse dans l’eau de sa toile
M’imbibe de la douceur que ses doigts dévoilent,
Au bord de l’aquarelle ma plume s’emballe
De ce Rhône lointain insufflant mon régal.
Où cœurs intimes baladent l’ignominie
D’être deux bravant la solitude et l’ennui,
Tandis qu’il peint de loin la beauté de la nuit
D’éblouissantes étoiles suspendues au ciel
Reflètent sur les flots lumière immatérielle
Pour qu’un bleu s’empare d’un noir circonstanciel
Et que d’un trait file son esprit démentiel
Barques amarrées attendent les voyageurs
Qui sommeillent de l’autre côté sans peur
Puisqu’il est le gardien inavoué des pleurs
Qu’il mêle à son pinceau ravivant les couleurs
Je me baigne songeuse dans l’eau de sa toile
M’imbibe de la douceur que ses doigts dévoilent,
Au bord de l’aquarelle ma plume s’emballe
De ce Rhône lointain insufflant mon régal.