Féerie d'ors, rouges flamboyants, ton ocres et verts
Qui m' invitent à une promenade vivifiante
Dans la froideur de l'automne qui s'installe
Rentrer apaisée, les pensées en berne
Et me réchauffer d'un thé vert
Que je lape doucement, mutine et aimante,
Les yeux rieurs et innocents d'une vestale
Dans l'oubli d'un mois morose et terne.
Qui m' invitent à une promenade vivifiante
Dans la froideur de l'automne qui s'installe
Rentrer apaisée, les pensées en berne
Et me réchauffer d'un thé vert
Que je lape doucement, mutine et aimante,
Les yeux rieurs et innocents d'une vestale
Dans l'oubli d'un mois morose et terne.