Nos mains s’enlaçaient
La lune éclairait des nénuphars,
nos mains s’entrelaçaient
aux
rires des houx.
Les joncs tressautaient
quand
bruissaient
les confessions des freux.
Comment oublier, ma douce,
le sel de tes lèvres,
la bannière de ta chevelure,
et l’ouragan de nos amours ?
Aujourd’hui, je suis sur ta tombe,
avec au cœur,
le
rappel de nos étreintes,
mais
écoute mon chant
qui salue l’eau de tes rires :
ta grâce palpite au tréfonds de mon âme.
Sophie 839
La lune éclairait des nénuphars,
nos mains s’entrelaçaient
aux
rires des houx.
Les joncs tressautaient
quand
bruissaient
les confessions des freux.
Comment oublier, ma douce,
le sel de tes lèvres,
la bannière de ta chevelure,
et l’ouragan de nos amours ?
Aujourd’hui, je suis sur ta tombe,
avec au cœur,
le
rappel de nos étreintes,
mais
écoute mon chant
qui salue l’eau de tes rires :
ta grâce palpite au tréfonds de mon âme.
Sophie 839