Auguste main de lumière bleue à bas de ciel
Se posant brumeuse sur mes lendemains Remuant l'air, ce cœur, d'une rose de satin Soupirant d'aise, idem, au vent qui t'appelle.
Pur et fin, s'emmielle la courbe mon destin
Ton sourire de jouvencelle j'en ai la fièvre
Aimer plus que l'errance, ta parure de lèvres
Sublime joyau, la caresse s'écoule en refrain.
Lune rose mariée à la nuit mauve, nous deux
En toute chose, paix d'or, attisant le feu
D'un absolu festin, semer nos blancs désirs
Aux éloges ouatées, la jeunesse à loisir.
Course rieuse du soleil, billet de souvenirs
Source de vie, notre divine grâce s'expriment
Embrassant le sol en sensation nuit d'atoll
Pour réécrire l'essor en nuit les plus folles.
À minuit chantée fleurit l'éden cerisier
Sainte idylle incessante au clair de la nuditée
Habitée par ce même regard criant de vérité
Ta lumière me noyant, perpétuel songe d'été.
Se posant brumeuse sur mes lendemains Remuant l'air, ce cœur, d'une rose de satin Soupirant d'aise, idem, au vent qui t'appelle.
Pur et fin, s'emmielle la courbe mon destin
Ton sourire de jouvencelle j'en ai la fièvre
Aimer plus que l'errance, ta parure de lèvres
Sublime joyau, la caresse s'écoule en refrain.
Lune rose mariée à la nuit mauve, nous deux
En toute chose, paix d'or, attisant le feu
D'un absolu festin, semer nos blancs désirs
Aux éloges ouatées, la jeunesse à loisir.
Course rieuse du soleil, billet de souvenirs
Source de vie, notre divine grâce s'expriment
Embrassant le sol en sensation nuit d'atoll
Pour réécrire l'essor en nuit les plus folles.
À minuit chantée fleurit l'éden cerisier
Sainte idylle incessante au clair de la nuditée
Habitée par ce même regard criant de vérité
Ta lumière me noyant, perpétuel songe d'été.
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