Nénuphars
Je crains ces lendemains, ces journées d'espérance,
J'en ai peur de chagrin, malheur ou pas de chance,
Le soleil et la pluie, font toujours l'arc en ciel,
Pour ceux qui distribuent, le sel ou bien le miel.
Il y a cinquante mille ans, nous étions tous les mêmes,
Au moins pour un instant, nous n'avions que des gênes,
Un jour de grands chasseurs, eurent l'ingéniosité,
Ou comment décimer, des troupeaux tout entier .
Quelque chose d'inconnu, traversa leur esprit,
Lorsque de la famine, disparurent leurs familles,
Une grande découverte, les avaient tous repus,
Jusqu'à ce que le gibier, à jamais disparu.
Je crains ces lendemains, ces journées d'espérance,
J'en ai peur de chagrin, malheur ou pas de chance,
Le soleil et la pluie, font toujours l'arc en ciel,
Pour ceux qui distribuent, le sel ou bien le miel.
Puis il y a six mille ans, les peuples les plus grands,
Les plus riches en leur temps, fonctionnaient simplement,
De régles, du bon sens, une jolie balance,
Des voisins les plus pauvres, annulant les créances.
Arrivant d'autres terres, équipée et puissante,
Une armée débarqua, dans l'envie frémissante,
D'oublier ces idées, de tout prendre pour elle,
Et une fois de plus, un désert pour séquelle.
Je crains ces lendemains, ces journées d'espérance,
J'en ai peur de chagrin, malheur ou pas de chance,
Le soleil et la pluie, font toujours l'arc en ciel,
Pour ceux qui distribuent, le sel ou bien le miel.
Plus rien pendant longtemps, à part des intêrets,
Des paysans spoliés, des chefs bien mal-aimés,
Les pauvres furent écartés, les puissants protégés,
La richesse est un art, légalement nous voler.
Il y a deux cents ans, la science vint nous aider,
Et pendant tout ce temps, personne n'a pleuré,
Mais c'est trop bien finir, que de croire terminé,
Cette histoire d'errements, de trop grands portes-monnaies.
Je crains ces lendemains, ces journées d'espérance,
J'en ai peur de chagrin, malheur ou pas de chance,
Le soleil et la pluie, font toujours l'arc en ciel,
Pour ceux qui distribuent, le sel ou bien le miel.
Et voyons maintenant, faisons donc le bilan,
L'argent a tout gagné, le droit de diriger,
Ceux qui ne peuvent payer, lui vendent au détriment,
De tous les droits de l'homme, son bois et ses denrées.
Mais nous le sommes tous, égoïstes et violents,
Ce qui reste enfouit, depuis des millénaires,
Nous ne le sommes pas tous, des riches et des puissants,
Nous consommons bien trop, et d'autres le paient cher.
Craignons ces lendemains, nos réflexes stériles,
Il y a trop de pourquoi, comment construire nos villes?
Car ils sont incertains, ceux qui ont tout le miel,
Nous sommes tous concernés, plus de pluie, que du sel...
Je crains ces lendemains, ces journées d'espérance,
J'en ai peur de chagrin, malheur ou pas de chance,
Le soleil et la pluie, font toujours l'arc en ciel,
Pour ceux qui distribuent, le sel ou bien le miel.
Il y a cinquante mille ans, nous étions tous les mêmes,
Au moins pour un instant, nous n'avions que des gênes,
Un jour de grands chasseurs, eurent l'ingéniosité,
Ou comment décimer, des troupeaux tout entier .
Quelque chose d'inconnu, traversa leur esprit,
Lorsque de la famine, disparurent leurs familles,
Une grande découverte, les avaient tous repus,
Jusqu'à ce que le gibier, à jamais disparu.
Je crains ces lendemains, ces journées d'espérance,
J'en ai peur de chagrin, malheur ou pas de chance,
Le soleil et la pluie, font toujours l'arc en ciel,
Pour ceux qui distribuent, le sel ou bien le miel.
Puis il y a six mille ans, les peuples les plus grands,
Les plus riches en leur temps, fonctionnaient simplement,
De régles, du bon sens, une jolie balance,
Des voisins les plus pauvres, annulant les créances.
Arrivant d'autres terres, équipée et puissante,
Une armée débarqua, dans l'envie frémissante,
D'oublier ces idées, de tout prendre pour elle,
Et une fois de plus, un désert pour séquelle.
Je crains ces lendemains, ces journées d'espérance,
J'en ai peur de chagrin, malheur ou pas de chance,
Le soleil et la pluie, font toujours l'arc en ciel,
Pour ceux qui distribuent, le sel ou bien le miel.
Plus rien pendant longtemps, à part des intêrets,
Des paysans spoliés, des chefs bien mal-aimés,
Les pauvres furent écartés, les puissants protégés,
La richesse est un art, légalement nous voler.
Il y a deux cents ans, la science vint nous aider,
Et pendant tout ce temps, personne n'a pleuré,
Mais c'est trop bien finir, que de croire terminé,
Cette histoire d'errements, de trop grands portes-monnaies.
Je crains ces lendemains, ces journées d'espérance,
J'en ai peur de chagrin, malheur ou pas de chance,
Le soleil et la pluie, font toujours l'arc en ciel,
Pour ceux qui distribuent, le sel ou bien le miel.
Et voyons maintenant, faisons donc le bilan,
L'argent a tout gagné, le droit de diriger,
Ceux qui ne peuvent payer, lui vendent au détriment,
De tous les droits de l'homme, son bois et ses denrées.
Mais nous le sommes tous, égoïstes et violents,
Ce qui reste enfouit, depuis des millénaires,
Nous ne le sommes pas tous, des riches et des puissants,
Nous consommons bien trop, et d'autres le paient cher.
Craignons ces lendemains, nos réflexes stériles,
Il y a trop de pourquoi, comment construire nos villes?
Car ils sont incertains, ceux qui ont tout le miel,
Nous sommes tous concernés, plus de pluie, que du sel...
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