mon ange, naufrager volontaire sur l ile oublié,*
mon regard s' est ouvert sur des vallées macrées,*
j ai touché tes mains, terre de douceur,*
je me suis ennivré des parfuns les plus haut,*
dans son coeur de verdure, jai decouvert l édem,*
des torrents de douceur , n és la sources du bonheur,*
tout la haut du volcan , un coeur ne battait plus,*
je les pris contre moi, pour le gonfler d amour,*
je l' ai pris si fort qu' il est renté en moi,*
et il a rejoint mon coeur , et revit au grand jour,*
je vivrai pour toujour dans se pays,*
ou je finirai mon voyage, et je ne partirai plus,*
mon regard s' est ouvert sur des vallées macrées,*
j ai touché tes mains, terre de douceur,*
je me suis ennivré des parfuns les plus haut,*
dans son coeur de verdure, jai decouvert l édem,*
des torrents de douceur , n és la sources du bonheur,*
tout la haut du volcan , un coeur ne battait plus,*
je les pris contre moi, pour le gonfler d amour,*
je l' ai pris si fort qu' il est renté en moi,*
et il a rejoint mon coeur , et revit au grand jour,*
je vivrai pour toujour dans se pays,*
ou je finirai mon voyage, et je ne partirai plus,*