Chez le porc, ni cheval, ni oie, ni chien, ni veau
Mais une truie énorme
Allaitant dans la norme
Des cochonnets prêts à rejoindre le niveau
Chez le dévoyé, ni loi, ni foi, ni cerveau
Mais une persistance
A chercher sa substance
Dans la fange de sang coulant au caniveau
Chez le Carthaginois, ni roi, ni toi, ni moi
Ne parvient à comprendre
Pourquoi il compte prendre
Le taureau tué dans l’arène du Nîmois
Chez un Algérois, ni joie, ni octrois d’émois
A s’étendre en campagne
Sous un plan de Champagne
Faisant tant pétiller la fierté du Rémois
Dans le Sahara ne sont ni route, ni pont
Mais un amas de sable
Hélas insaisissable
Comme l’est la Geisha dans les bras d’un Nippon
Dans les bras très usés, ni poupée, ni poupon
Mais la chute insolente
D’une incroyable lente
Echappée des cheveux vieux-gris quand le pou pond
Il se trouve partout le parti du ni-ni
Qui choisit et repousse
La plus mauvaise pousse
Faisant de l’ombre à un tronc rond mini-mini.
Mais une truie énorme
Allaitant dans la norme
Des cochonnets prêts à rejoindre le niveau
Chez le dévoyé, ni loi, ni foi, ni cerveau
Mais une persistance
A chercher sa substance
Dans la fange de sang coulant au caniveau
Chez le Carthaginois, ni roi, ni toi, ni moi
Ne parvient à comprendre
Pourquoi il compte prendre
Le taureau tué dans l’arène du Nîmois
Chez un Algérois, ni joie, ni octrois d’émois
A s’étendre en campagne
Sous un plan de Champagne
Faisant tant pétiller la fierté du Rémois
Dans le Sahara ne sont ni route, ni pont
Mais un amas de sable
Hélas insaisissable
Comme l’est la Geisha dans les bras d’un Nippon
Dans les bras très usés, ni poupée, ni poupon
Mais la chute insolente
D’une incroyable lente
Echappée des cheveux vieux-gris quand le pou pond
Il se trouve partout le parti du ni-ni
Qui choisit et repousse
La plus mauvaise pousse
Faisant de l’ombre à un tronc rond mini-mini.