Si un jour la tristesse s'accapare de ton coeur,
Ne te laisse pas abattre,
Car un jour viendra
Où la jeunesse t'emmènera.
Si un jour la tristesse s'accapare de ton coeur,
Que ton âme meurt,
Que la douleur te demeure,
Ne te laisse pas abattre
Car un jour viendra
Où la paix sera en toi,
Ta jeunesse le deviendra,
Qu'arrête et pense,
Pense et arrête-toi .
Ne te laisse pas abattre si par malheur,
Ta jeunesse est ton enfance,
Que l'hiver est ta douleur,
Que ta jeunesse est ton malheur,
Ou que le soleil sombre à toute heure,
Ne te laisse pas abattre,
Ne te laisse jamais abattre
Et quand le jour, un jour viendra,
Où apparemment ta jeunesse en suivra,
Et que tu sera abattu,
Que le contrôle te sera impossible,
Et que soudain mon visage t'apparaîtra,
Et que soudain le reflet de mon cour te guidera,
Que ta tristesse est ta jeunesse,
Ne t'acharne point sur ta jeunesse,
Car elle ne s'acharnera point sur toi.
Un jour viendra
Où il partira,
Ne te laisse pas abattre,
Ne te laisse pas abattre,
Ne te laisse jamais abattre.
Ne te laisse pas abattre,
Car un jour viendra
Où la jeunesse t'emmènera.
Si un jour la tristesse s'accapare de ton coeur,
Que ton âme meurt,
Que la douleur te demeure,
Ne te laisse pas abattre
Car un jour viendra
Où la paix sera en toi,
Ta jeunesse le deviendra,
Qu'arrête et pense,
Pense et arrête-toi .
Ne te laisse pas abattre si par malheur,
Ta jeunesse est ton enfance,
Que l'hiver est ta douleur,
Que ta jeunesse est ton malheur,
Ou que le soleil sombre à toute heure,
Ne te laisse pas abattre,
Ne te laisse jamais abattre
Et quand le jour, un jour viendra,
Où apparemment ta jeunesse en suivra,
Et que tu sera abattu,
Que le contrôle te sera impossible,
Et que soudain mon visage t'apparaîtra,
Et que soudain le reflet de mon cour te guidera,
Que ta tristesse est ta jeunesse,
Ne t'acharne point sur ta jeunesse,
Car elle ne s'acharnera point sur toi.
Un jour viendra
Où il partira,
Ne te laisse pas abattre,
Ne te laisse pas abattre,
Ne te laisse jamais abattre.