Pendant que mon coeur danse, assis dans l'herbe je pense,
A cette étoile qui scintille et illumine mes pupilles,
Je pense à ce point brillant, lointain et proche en même temps,
A cette flamme qui m'a procuré, une joie ne pouvant être comparée.
Soudain, un murmure j'ai entendu, ma réflexion se voit suspendue,
Je me redresse, le temps presse, qu'est-ce? je stresse,
Ce chuchotement, c'est un oiseau, son chant coule dans ma peau,
Cette douce et harmonieuse chanson, elle me donne des frissons.
Alors je décide de me lever, de me rapprocher pour l'admirer,
Au même moment une légère brise, vient et me fait la bise,
La fille du vent m'a surpris, je suis si étonné que j'en rougis,
Mais le bonheur est éphémère et me voici près de la mer.
Cette vaste étendue bleue, elle seule peut réaliser tous mes voeux,
Elle seule peut me rendre heureux alors je la regarde dans les yeux,
Elle fait des aller-retour, comme si elle voulait me porter secours,
Et lorsque qu'elle s'apprête à le faire, je me retrouve assis par terre.
Je tombe, la chute est rude, le sol qui me réceptionne est très dur,
Je me lève difficilement car mon corps ne souffre pas silencieusement,
La terre est d'une telle générosité que par elle je me laisse bercer,
Jusqu'à ce que mon rêve, à mon plus grand désespoir ne s'achève.
Je me lève en sursaut, une intense lumière me parvient d'en haut,
C'est le soleil, étrangement dominateur, qui ne cesse de réchauffer mon coeur,
Cette boule de feu qui scintille et ses rayons qui, illuminent mes pupilles,
M'aveuglent et pourtant, je garde les yeux ouverts et pour longtemps.
La Nature est si belle, si sensuelle et ses éléments eux sont éternels,
Une puissance émane d'elle, jamais égalée par le commun des Mortels,
L'eau, la terre, le feu et l'air, éléments mères et éléments pères,
Transcendent ma vie, mon existence jusqu'à ma mort et depuis mon enfance..
A cette étoile qui scintille et illumine mes pupilles,
Je pense à ce point brillant, lointain et proche en même temps,
A cette flamme qui m'a procuré, une joie ne pouvant être comparée.
Soudain, un murmure j'ai entendu, ma réflexion se voit suspendue,
Je me redresse, le temps presse, qu'est-ce? je stresse,
Ce chuchotement, c'est un oiseau, son chant coule dans ma peau,
Cette douce et harmonieuse chanson, elle me donne des frissons.
Alors je décide de me lever, de me rapprocher pour l'admirer,
Au même moment une légère brise, vient et me fait la bise,
La fille du vent m'a surpris, je suis si étonné que j'en rougis,
Mais le bonheur est éphémère et me voici près de la mer.
Cette vaste étendue bleue, elle seule peut réaliser tous mes voeux,
Elle seule peut me rendre heureux alors je la regarde dans les yeux,
Elle fait des aller-retour, comme si elle voulait me porter secours,
Et lorsque qu'elle s'apprête à le faire, je me retrouve assis par terre.
Je tombe, la chute est rude, le sol qui me réceptionne est très dur,
Je me lève difficilement car mon corps ne souffre pas silencieusement,
La terre est d'une telle générosité que par elle je me laisse bercer,
Jusqu'à ce que mon rêve, à mon plus grand désespoir ne s'achève.
Je me lève en sursaut, une intense lumière me parvient d'en haut,
C'est le soleil, étrangement dominateur, qui ne cesse de réchauffer mon coeur,
Cette boule de feu qui scintille et ses rayons qui, illuminent mes pupilles,
M'aveuglent et pourtant, je garde les yeux ouverts et pour longtemps.
La Nature est si belle, si sensuelle et ses éléments eux sont éternels,
Une puissance émane d'elle, jamais égalée par le commun des Mortels,
L'eau, la terre, le feu et l'air, éléments mères et éléments pères,
Transcendent ma vie, mon existence jusqu'à ma mort et depuis mon enfance..