Fraîcheurs ondoyantes de la nature
Faites que les bienfaits de l’Homme perdurent
Cependant il n’est dan la nature de l’Homme de garder
Il ne peut concevoir seulement anihiler
Terre empruntée aux futurs vivants
Bien que la terre ne vive plus gaiement
Abandonnée à son sort l’homme se dénature
Abandonnée à son sort l’homme se mure
Fini le temps du courage et de l’honneur
La vie d’aujourd’hui n’a aucune valeur
Si d’or était remplies nos veines
L’Homme ne verrit jamais la fin de sa peine
De nos jours l’Homme ne vaut guère mieux que la Faucheuse
Sur nos destins futurs pesent les ténèbres ombrageuses