Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Nature de mon observation

#1
J aimerais parler avec toi de tes blessures,
Me dire que ta sauvegarde reste sûre,
Mais je ne peux me leurrer éternellement.
C est pour ca qu' en ces jours je pleurs tellement.

Plus qu' une pantopie idyllique et fugace,
Tu es mère de nombreux enfant qui t agace,
Par leurs démente obsession de laisser leur trace.
A ta surface, il n est plus que question de race

Nature, sache que certain te chante encore,
et que certains surent apprendre de leurs erreurs.
Mais bientôt les trompettes répondront aux cors

Nature, sache que certain ton en horreur.
Mais que bien d autre te pleure jusqu'à l aurore.
J'écris ces vers couché sous un saule pleureur
 

kandinsky

Maître Poète
#2
J aimerais parler avec toi de tes blessures,
Me dire que ta sauvegarde reste sûre,
Mais je ne peux me leurrer éternellement.
C est pour ca qu' en ces jours je pleurs tellement.

Plus qu' une pantopie idyllique et fugace,
Tu es mère de nombreux enfant qui t agace,
Par leurs démente obsession de laisser leur trace.
A ta surface, il n est plus que question de race

Nature, sache que certain te chante encore,
et que certains surent apprendre de leurs erreurs.
Mais bientôt les trompettes répondront aux cors

Nature, sache que certain ton en horreur.
Mais que bien d autre te pleure jusqu'à l aurore.
J'écris ces vers couché sous un saule pleureur


Les songeries dans la nature qui plus est sous un arbre, ça ne peut donner que de bonnes choses, comme cet écrit, bravo