Nanou..
Quand bien même le temps va et passe,
Eclipsant saisons, et souvenirs.
Il n’est point d’heure sans qu’avec grâce,
Ton image ne vienne me sourire.
Force est de reconnaître au mot amour
Qui enflamme la vie, et nous porte,
Un talent rédempteur, qui, en retour,
Dans tes bras amoureux me transporte.
Quand bien même la distance nous espace.
Raréfiant nos joies, et nos rires.
Il n’est point d’heure sans qu’avec grâce,
Ton image ne vienne surgir.
Force est de reconnaître dans ton nom,
Un synonyme du mot amour.
J’écrierais Nanou sur tous les frontons.
Je crierais ton nom sans aucun détour.
Enfin, viennent les retrouvailles.
Et nous vivons un nouveau poème.
Dans une chambre d’hôtel, on s’aime.
Chambrette qui devient Versailles.
Nos mains saturées d’impatience
Se pétrissent, et se parlent d’amour
Pendant que nos cœurs sans silence
Rythment tous nos élans, tel des tambours
Demain, tu repartiras, loin, là bas.
Apres demain, ici tu reviendras.
Puis un jour près de moi tu resteras.
Quand bien même le temps va et passe,
Eclipsant saisons, et souvenirs.
Il n’est point d’heure sans qu’avec grâce,
Ton image ne vienne me sourire.
Force est de reconnaître au mot amour
Qui enflamme la vie, et nous porte,
Un talent rédempteur, qui, en retour,
Dans tes bras amoureux me transporte.
Quand bien même la distance nous espace.
Raréfiant nos joies, et nos rires.
Il n’est point d’heure sans qu’avec grâce,
Ton image ne vienne surgir.
Force est de reconnaître dans ton nom,
Un synonyme du mot amour.
J’écrierais Nanou sur tous les frontons.
Je crierais ton nom sans aucun détour.
Enfin, viennent les retrouvailles.
Et nous vivons un nouveau poème.
Dans une chambre d’hôtel, on s’aime.
Chambrette qui devient Versailles.
Nos mains saturées d’impatience
Se pétrissent, et se parlent d’amour
Pendant que nos cœurs sans silence
Rythment tous nos élans, tel des tambours
Demain, tu repartiras, loin, là bas.
Apres demain, ici tu reviendras.
Puis un jour près de moi tu resteras.