Sur les cimes du mont Olympe, pays des seigneurs,
Les Nymphes des frênes fleuretaient à leurs heures
Avec les déesses de l’amour et de l’éternité
Tous vivaient en harmonie, dieux et divinités
Mais sous les nuages sombres de la constante pérennité,
Priant chaque jour de pouvoir subsister.
Vivait, funeste monde d’humains mortels,
Offrant leurs âmes en sacrifice sur l’autel.
Les dieux étaient satisfaits de leurs disciples dressés,
Mais un jour Hadès, dieu de la mort était enlacé,
Dans les bras tendres d’Aphrodite, fille de Zeus, dieu de l’infini.
L’équilibre de l’univers reposait sur cette harmonie.
Sa colère fut si grande qu’il tua Hadès, succombant à la foudre.
Ce qui ressemblait à un paradis se mit à se dissoudre.
De là commença le dérèglement universel de la mort et de la vie.
L’enfer s’empara de l’Olympe et du dieu infini.
Sous cette nappe divine de colère,
Les humains fermaient leurs mains en de douces prières.
Agenouillés devant cette montagne sacrée,
Demandant aux dieux de les épargner.
La guerre grondait dans les profondeurs de Lucifer,
Le bien contre le mal, un combat millénaire.
Le feu et la glace brutalisaient les atomes du cosmos,
Emprisonnant les esprits déchus dans de sombres fosses.
Mais ceux qui subissaient la guerre des dieux,
Voyant dans le ciel des éclairs de feu,
Ce sont les hommes, de minuscules créatures.
Des dieux, une dictature.
Aujourd’hui comme à l’époque des mythologies,
Je vous demande qui régit vos vies ?
C’est biensur les grands de ce monde,
Vous mentant à la moindre seconde.
Les Nymphes des frênes fleuretaient à leurs heures
Avec les déesses de l’amour et de l’éternité
Tous vivaient en harmonie, dieux et divinités
Mais sous les nuages sombres de la constante pérennité,
Priant chaque jour de pouvoir subsister.
Vivait, funeste monde d’humains mortels,
Offrant leurs âmes en sacrifice sur l’autel.
Les dieux étaient satisfaits de leurs disciples dressés,
Mais un jour Hadès, dieu de la mort était enlacé,
Dans les bras tendres d’Aphrodite, fille de Zeus, dieu de l’infini.
L’équilibre de l’univers reposait sur cette harmonie.
Sa colère fut si grande qu’il tua Hadès, succombant à la foudre.
Ce qui ressemblait à un paradis se mit à se dissoudre.
De là commença le dérèglement universel de la mort et de la vie.
L’enfer s’empara de l’Olympe et du dieu infini.
Sous cette nappe divine de colère,
Les humains fermaient leurs mains en de douces prières.
Agenouillés devant cette montagne sacrée,
Demandant aux dieux de les épargner.
La guerre grondait dans les profondeurs de Lucifer,
Le bien contre le mal, un combat millénaire.
Le feu et la glace brutalisaient les atomes du cosmos,
Emprisonnant les esprits déchus dans de sombres fosses.
Mais ceux qui subissaient la guerre des dieux,
Voyant dans le ciel des éclairs de feu,
Ce sont les hommes, de minuscules créatures.
Des dieux, une dictature.
Aujourd’hui comme à l’époque des mythologies,
Je vous demande qui régit vos vies ?
C’est biensur les grands de ce monde,
Vous mentant à la moindre seconde.