Des partitions d’Amour se jouent dans l’Univers
Et le Maestro, ne peut être que Divin
Il orchestre le vide, l’énergie, la Lumière
D’un tempo Sacré dont l’Âme se souvient
Ferveur et recueil, au point d’orgue des silences
Des murmures flûtés, des courses des comètes
En toccata et fugue, leur éternelle errance
Jouant en bémol, une percussion de planètes
Émotion au solo, de Venus, la Diva
Puis, en duo brillant, avec Vega de la Lyre
Reprenant allegro, l’hymne des sans éclat
Beau concert d’étoiles que le Ciel sait offrir
Final sidérant en timbales d’astroblèmes
Ondes de gamme sonique dans les galaxies
Toutes accordées, au Diapason Suprême
Qu’elle douce à mon Cœur cette symphonie