Dieu ! que le sujet est scabreux, j' implore le pardon
A ceux qui en Toi croient ,à bousculer l'iconographie ,ses canons
Une femme de basse extraction , endormie les traits apaisés
Morte avant d'avoir fauté, extase du trépas, la mort a triomphé
Marie ,Mère de Dieu, bénissez moi ,ma soeur, figée ,le corps gonllé
Vous reposez en Paix, Je salue la grâce, le fils accompagné
Présent, assiste sans "mot-dire" , deux perles coulées ,glissées
Sur un visage fermé, receuille l''âme de sa mère, Pierre en amitié
Apôtre, s'est muré ,Paul ouvre les mains, surpris, un corsage dégraffée
De l'air ,vous en manquiez, femme du peuple ,les traces de l'agonie
"D'entre toutes les femmes," le Seigneur vous aime, vous bénit
Madone,Madame, l'on vous chérit ,la main droite posée sur l' oreiller
La gauche pend inerte, Mère de Dieu, le froid vous envahit
Vous tremblez Messieurs, indigente Marie, la couverture jetée
Sur vos pieds sales, vous viviez dans la précarité
Qui a jeté un regard ,sur tant d'années, sur votre vie
Dans ce dernier sommeil , Jésus ,le fruit de vos entrailles, venez
Délivez là,un cercle lumineux ,Vierge Morte, le nimbe que vous portez
Au coeur du néant, Sainteté, la glorification serait elle annoncée
Priez pour moi, maintenant , pleureuse sur l'heure avancée d'une" trépas-pressée ".............
Apôtre de l'espérance ,dois je vous implorer
Vivre encore , un peu , allez vous me garder.....Je vous salue Marie ........
A ceux qui en Toi croient ,à bousculer l'iconographie ,ses canons
Une femme de basse extraction , endormie les traits apaisés
Morte avant d'avoir fauté, extase du trépas, la mort a triomphé
Marie ,Mère de Dieu, bénissez moi ,ma soeur, figée ,le corps gonllé
Vous reposez en Paix, Je salue la grâce, le fils accompagné
Présent, assiste sans "mot-dire" , deux perles coulées ,glissées
Sur un visage fermé, receuille l''âme de sa mère, Pierre en amitié
Apôtre, s'est muré ,Paul ouvre les mains, surpris, un corsage dégraffée
De l'air ,vous en manquiez, femme du peuple ,les traces de l'agonie
"D'entre toutes les femmes," le Seigneur vous aime, vous bénit
Madone,Madame, l'on vous chérit ,la main droite posée sur l' oreiller
La gauche pend inerte, Mère de Dieu, le froid vous envahit
Vous tremblez Messieurs, indigente Marie, la couverture jetée
Sur vos pieds sales, vous viviez dans la précarité
Qui a jeté un regard ,sur tant d'années, sur votre vie
Dans ce dernier sommeil , Jésus ,le fruit de vos entrailles, venez
Délivez là,un cercle lumineux ,Vierge Morte, le nimbe que vous portez
Au coeur du néant, Sainteté, la glorification serait elle annoncée
Priez pour moi, maintenant , pleureuse sur l'heure avancée d'une" trépas-pressée ".............
Apôtre de l'espérance ,dois je vous implorer
Vivre encore , un peu , allez vous me garder.....Je vous salue Marie ........