Ô monde impitoyable ! d'avoir pataugé dans un puits de souffrance !
Mon jardin de l'innocence a brûlé par tous les feux du bûcher !
Mon cœur fêlé a subi triple châtiments, relents d'ombres du passé !
Le drame pour message, continent de pétale, mon ignorance !
Le silence, mon temple, sublimé d'une spirale douce mi sauvage !
Ma nouvelle jeunesse tel rêve l'amour, ce bijou restera gravé !
Je brûle d'un désir, de paix, d'amour, un millier de baisers !
Caressant l'espoir, la réussite que le bonheur abreuve mon image !
Au parfum du soleil, de chanter la plantureuse vie !
Qu'elle verdisse au devant des obstacles de la précieuse poésie !
D'humeur changeante, je navigue entre bon et mauvais !
La révolte gronde dans des cieux plus purs, plus durs !
La douleur m'habite, me transcande, une amie pour sûr !
J'ai dans la tête, une montagne de prouesse en vrai !
Je me lasse et me perds en restant très gentil !
Dans la turbulence et la froideur, je vibre et renait !
À fleur de peau, je me régénère, faisant du conte, un contre courant !
Ainsi, brillent ardemment tous mes soleils de mon vivant !
Mon jardin de l'innocence a brûlé par tous les feux du bûcher !
Mon cœur fêlé a subi triple châtiments, relents d'ombres du passé !
Le drame pour message, continent de pétale, mon ignorance !
Le silence, mon temple, sublimé d'une spirale douce mi sauvage !
Ma nouvelle jeunesse tel rêve l'amour, ce bijou restera gravé !
Je brûle d'un désir, de paix, d'amour, un millier de baisers !
Caressant l'espoir, la réussite que le bonheur abreuve mon image !
Au parfum du soleil, de chanter la plantureuse vie !
Qu'elle verdisse au devant des obstacles de la précieuse poésie !
D'humeur changeante, je navigue entre bon et mauvais !
La révolte gronde dans des cieux plus purs, plus durs !
La douleur m'habite, me transcande, une amie pour sûr !
J'ai dans la tête, une montagne de prouesse en vrai !
Je me lasse et me perds en restant très gentil !
Dans la turbulence et la froideur, je vibre et renait !
À fleur de peau, je me régénère, faisant du conte, un contre courant !
Ainsi, brillent ardemment tous mes soleils de mon vivant !