Tout va trop vite, tout devient anonyme
Dans ce monde où tournent les machines
La froideur du métal et les matériaux composites
S’imposent partout et nous parasite.
Dans nos oreilles bruissent les voix artificielles
A la station service, essence ou diesel
Au téléphone juste des touches à effleurer
L’opératrice a du déjà se recycler.
Devant nos yeux, Internet et ses emails
Juste des e commerce en pages virtuelles
Pourtant il faisait si bon flâner dans les quartiers
Sous l’odeur du pain pétri chez le boulanger.
Tout s’en va, la chaleur humaine et ses sourires
Caisses automatiques, un portefeuille à ouvrir
Une carte à glisser et un code à entrer
Au chômage, la caissière peut aller pointer.
Dans notre boite aux lettres, plus de courrier
A part les factures, les recommandés
Les lettres d’amour parfumées aux tons pastel
Se cliquent sur sms , impersonnelles.
Même la médecine va opérer en simultané
A des kilomètres par écrans interposés
La génétique complètement modifiée
Ne restera plus que la perfection imposée.
Il serait temps de préserver notre nature
Et la richesse des différentes cultures
continuer à vivre ensemble en harmonie
Trop de matérialisme entraîne un énorme gâchis.
Ne pas avoir à pleurer sur les ruines calcinées
D’un monde que nous aurions fini par embraser
Appât du gain, posséder plus que son voisin
L’avenir nous appartient, il est entre nos mains.
Soupirs, oui des soupirs de dépit,
Je sais, je suis comme vous mais je souris
La vie est sûrement ailleurs aussi
D’une autre manière, dans notre esprit
Certains d’entre nous, déjà, l’ont compris
Laissons les loups s’entraîner dans leur folie
Nous nous retrouverons mes amis
Dans ce monde qui nous offre l’infini.
Isabelle
Dans ce monde où tournent les machines
La froideur du métal et les matériaux composites
S’imposent partout et nous parasite.
Dans nos oreilles bruissent les voix artificielles
A la station service, essence ou diesel
Au téléphone juste des touches à effleurer
L’opératrice a du déjà se recycler.
Devant nos yeux, Internet et ses emails
Juste des e commerce en pages virtuelles
Pourtant il faisait si bon flâner dans les quartiers
Sous l’odeur du pain pétri chez le boulanger.
Tout s’en va, la chaleur humaine et ses sourires
Caisses automatiques, un portefeuille à ouvrir
Une carte à glisser et un code à entrer
Au chômage, la caissière peut aller pointer.
Dans notre boite aux lettres, plus de courrier
A part les factures, les recommandés
Les lettres d’amour parfumées aux tons pastel
Se cliquent sur sms , impersonnelles.
Même la médecine va opérer en simultané
A des kilomètres par écrans interposés
La génétique complètement modifiée
Ne restera plus que la perfection imposée.
Il serait temps de préserver notre nature
Et la richesse des différentes cultures
continuer à vivre ensemble en harmonie
Trop de matérialisme entraîne un énorme gâchis.
Ne pas avoir à pleurer sur les ruines calcinées
D’un monde que nous aurions fini par embraser
Appât du gain, posséder plus que son voisin
L’avenir nous appartient, il est entre nos mains.
Soupirs, oui des soupirs de dépit,
Je sais, je suis comme vous mais je souris
La vie est sûrement ailleurs aussi
D’une autre manière, dans notre esprit
Certains d’entre nous, déjà, l’ont compris
Laissons les loups s’entraîner dans leur folie
Nous nous retrouverons mes amis
Dans ce monde qui nous offre l’infini.
Isabelle