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Mon vieux ....

lilasys

Maître Poète
#1
MON VIEUX


Tant d'années nous séparent dites-moi mon vieux !
Avez-vous existé dans ma vie où si peu
Ces vagues souvenirs ont laissé tant de vertiges
Tous ces maux sur mes lèvres aujourd'hui sont vestiges


Vous berciez mes jours mes nuits de cartes d'estampes
Que le monde était beau au clair de votre lampe
Vous éclairiez de vos contes de vos douces paroles
Toutes ces promesses qui filent aujourd'hui dans les rigoles


Nous contemplions la ville du haut de la montagne
Toutes ces étoiles sont devenues mon seul pagne
Mon vieux ou êtes-vous nom d'un chien ? juste ciel!!!
Si loin de moi,je n'aperçois plus mon arc-en-ciel!


Ô vieillesse que je garde au fond de mes yeux !
Pourquoi vous enfuir sans un baiser sans un adieu
Oui mon vieux en moi brillent les feux de détresse
Car depuis ce jour je suis ma foi une vraie diablesse .

LILASYS
 
F

Fleur de Jasmain

Guest
#4
Un cri du cœur qui m'a touché et ému, un très bel hommage pour votre père. On y sent une grande complicité et beaucoup d'amour lorsque l'on se fond dans les vers. Bisou. Fleur.
 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#5
MON VIEUX


Tant d'années nous séparent dites-moi mon vieux !
Avez-vous existé dans ma vie où si peu
Ces vagues souvenirs ont laissé tant de vertiges
Tous ces maux sur mes lèvres aujourd'hui sont vestiges


Vous berciez mes jours mes nuits de cartes d'estampes
Que le monde était beau au clair de votre lampe
Vous éclairiez de vos contes de vos douces paroles
Toutes ces promesses qui filent aujourd'hui dans les rigoles


Nous contemplions la ville du haut de la montagne
Toutes ces étoiles sont devenues mon seul pagne
Mon vieux ou êtes-vous nom d'un chien ? juste ciel!!!
Si loin de moi,je n'aperçois plus mon arc-en-ciel!


Ô vieillesse que je garde au fond de mes yeux !
Pourquoi vous enfuir sans un baiser sans un adieu
Oui mon vieux en moi brillent les feux de détresse
Car depuis ce jour je suis ma foi une vraie diablesse .

LILASYS
Ma veille.

Etant donné, je me prépare aux rite de ma veille,
Savez-vous respirer dans mes envies un p’tit peu,
Mes blagues vont venir pour biaiser tes vers en tige,
Tous mes mots sur l’élève, aujourd'hui, sont prestiges.

Vous gerciez de mes tours de l’ennui, Descartes décampe !
Que ma ronde soit peu claire sur votre rampe,
Vous clarifiez mes comptes d’un pouce, l’obole,
Toutes ces caresses se profilent, aujourd'hui, j’en flageole.

Nous contemplions les filles sous nos hauts passe-montagne,
Toutes ces toiles sont revenues de ma tendre Espagne,
Ma veille que faites-vous du surnom du bien ? Rustre fiel!
Si loin de toi, je perçois de plus en plus ton arc au ciel.

Ho ! Jeunesse que regarde le fin fond des p’tits vieux !
Pourquoi revenir sans biaiser, mais comme un dieu,
Oui, ma veille à moi débride les jeux des déesses,
Car toujours à ce jour, je suis la foi de la délicatesse.
 

janu

Maître Poète
#6
Cette prime enfance que rien ne peut effacer dans le temps
et l'amour de ses grands parents en fait tellement partie !
Amicalement
 

lilasys

Maître Poète
#8
Un cri du cœur qui m'a touché et ému, un très bel hommage pour votre père. On y sent une grande complicité et beaucoup d'amour lorsque l'on se fond dans les vers. Bisou. Fleur.
merci fleur ,oui mon papa c'est de lui que je parle ,c'est mon vieux papa ;car ,mes parents m'ont eu très très tard ;
il était plutôt grand père;
je l'aime à mourir ,il me manque depuis 17 ans déjà
gros bisous Fleur
 

lilasys

Maître Poète
#9
Ma veille.

Etant donné, je me prépare aux rite de ma veille,
Savez-vous respirer dans mes envies un p’tit peu,
Mes blagues vont venir pour biaiser tes vers en tige,
Tous mes mots sur l’élève, aujourd'hui, sont prestiges.

Vous gerciez de mes tours de l’ennui, Descartes décampe !
Que ma ronde soit peu claire sur votre rampe,
Vous clarifiez mes comptes d’un pouce, l’obole,
Toutes ces caresses se profilent, aujourd'hui, j’en flageole.

Nous contemplions les filles sous nos hauts passe-montagne,
Toutes ces toiles sont revenues de ma tendre Espagne,
Ma veille que faites-vous du surnom du bien ? Rustre fiel!
Si loin de toi, je perçois de plus en plus ton arc au ciel.

Ho ! Jeunesse que regarde le fin fond des p’tits vieux !
Pourquoi revenir sans biaiser, mais comme un dieu,
Oui, ma veille à moi débride les jeux des déesses,
Car toujours à ce jour, je suis la foi de la délicatesse.
celui ci va bien pour ma vieille à moi qui m'a quitté il y a 5 ans déjà
merci luroni
gros bisous à vous deux
 

lilasys

Maître Poète
#10
Cette prime enfance que rien ne peut effacer dans le temps
et l'amour de ses grands parents en fait tellement partie !
Amicalement
j'ai pas connu mes grands parents hélas ; c'est triste
mes parents on joué les deux rôles ,
merci Jan pour cette gentille visite ,et cette fidélité sur mes pages ,je suis ravie
gros bisous
 

Voile bleu

Maître Poète
#11
Chère Lola, ces vers tracés à l'Amour, éternel, de votre Cœur pour le Sien, sous ce "Que le monde était beau au clair de votre lampe",
quelque part sa lumière touche encore votre regard, pas seulement depuis votre intérieur Lola, la poussière d'Étoiles demeure et ne meurt jamais.
Sait-il le talent des mots de sa Fille ? Là où l'ancre profondément jetée sillonne le grain sablé, à l'encre bleue Ciel d'un Océan de sentiments.
Gros Bisous Lola.