Mon Univers
Ou suis-je
Je ne sait pas
Je me suis endormi qu’en sait-je
Mais j’aime bien ça
Je parcours un champ de mousse verte
Entouré de foret profonde
Ici tout mes sens sont en alertes
Pour capter tout les ondes
De cet endroit extra planétaire
Et enfin ne plus penser qu’a ça
Mon plaisir ici est extraordinaire
Et je n’aime que ça
Regarde ces oiseaux a quatre ailes
Et aux couleurs révolutionnaires
Ils sont si beaux presque immortels
Grâce aux odeurs printanières
Observe cette fées qui nage
On dirait qu’elle glisse dans l’eau
Sa peau nue brille sur le rivage
Et soudain elle s’envole très haut
Scrute l’horizon on dirait qu’un troupeau arrive
Mais oui ce sont des centaures
Si nobles, si forts admire leurs allures vives
Ce sont les grands gardiens d’une mine d’or
Contemple cette meute de loups blancs
Ils traversent ce pays en quête de nouveau plaisir
Autre chose que la propriété d’un territoire plus grand
Ils rêvent d’autre désir
Examine ce peuple d’elfe si magnifique
Le peuple de l’immortalité
Ils veilles sur toutes les forêts fantastiques
Pour que rien ne viennent les souillées
Vois comment toutes ces merveilles
Evolue sans aucune difficulté dans un univers
Epargné par la folie des hommes, un univers sans haine
Un superbe endroit presque imaginaire
Cette univers c’est le mien je l’imagine
Tout les jours pour ne pas sombré dans la tristesse
La tristesse infini de la terre que éclate et s’abîme
De jour en jour en lançant des appels de détresse
Mon imagination reste ma seule évasion
Sans elle je suis perdu
Il faut que je la garde sans hésitation
Sans elle je suis foutu
Je te raconte tout ça pour que tu saisisse bien mon esprit
Et pour pas que tu te trompe sur moi et mon existence
Je suis peut-être dans la lune mais tant pis
J’aime ça et de toute façon c’est ce que pense
Malheureusement cet univers n’existe pas
Il n’y a que dans ma tête qu’il y est
Heureusement qu’il n’existe pas sinon on serai
Tous attiré par lui est on le détruirai
Par notre infini bêtise
Et parce qu’on n’arrive pas a vivre libre
On est sous l’emprise
De la bêtise et on ne voit qu’elle, ivre
Au revoir ou plutôt adieu
FRAUD Florent