...Dans l’espace publicitaire du journal, là ou tous les mondes courts derrières les affaires et l’argent, je trouve mon champ spécial, une superficie infinie qu’elle me permet de m’exprimer, à cette heure de ce joyeux jour que je n’ai pas vu depuis longtemps, ce jour je t’ai connu, le 14 avril 2008 …
que dois-je dire, que dois-je avouer Permette moi de m’exprimer par le silence de la nuit …
Quand la phrase me trahit …
Quand les propos deviennent des flammes qui brûlent la beauté …
Te raconter ce qui se passait entre nous, entre mes yeux et tes yeux, entre mon âme, et ton âme…
Permette moi te parler en symboles, si tu fais pas confiance à la lumière de mes yeux qui brillent …
Comment je t’ai connu … même le bateau ne sache pas comment s’est entouré de l’eau …
Comment je t’ai connu … même la balle ne sache pas comment s’est entouré de la cher …
Comment je t’ai connu, personne n’a le choix ….
Dans ta photo, hanane, j’ai trouvé deux horizons, un que tout le monde le cite, un autre qu’il se voit qu’à moi …
tes yeux, plus larges que la méditerrané, plus beaux que la méditerrané …
tes lèvres sont un murmure de joie, une invitation éternelle de bonheur, de tes yeux sort les oiseaux de ce beau matin, des îles vertes magiques…
Ta voie est un tapis perse, beauté, inspiration, tendresse et chaleur …
J’ai peur d’engager en toi hanane, J’ai peur de te chercher en moi, hanane ;
J’ai peur que ta tendresse me bouleverse, que tes yeux me rendre aveugle sans toi …
Je ne débats pas ta beauté, et je traite pas comment ton âme a pu me communiquer, or, je débats pas le soleil de jour, ou la brillance de jour, c’est eux qui décident, dans quel jours tu viendras, dans quel jour tu partiras, le temps, et la forme de dialogue,
Hanane, dois-je suivre le destin que tu l’as déjà ressentis … . ?
Devrais-tu savoir comment tu m’impressionnes, comment je pense à toi, au premier jour même et à cette heure de matin, Peut être que je suis un poète, mais avant tous, je suis un homme seul, qui s’exprime …
je pense à toi
Alger, Lundi 14 avril 2008 … 2h de matin … Sid@li
que dois-je dire, que dois-je avouer Permette moi de m’exprimer par le silence de la nuit …
Quand la phrase me trahit …
Quand les propos deviennent des flammes qui brûlent la beauté …
Te raconter ce qui se passait entre nous, entre mes yeux et tes yeux, entre mon âme, et ton âme…
Permette moi te parler en symboles, si tu fais pas confiance à la lumière de mes yeux qui brillent …
Comment je t’ai connu … même le bateau ne sache pas comment s’est entouré de l’eau …
Comment je t’ai connu … même la balle ne sache pas comment s’est entouré de la cher …
Comment je t’ai connu, personne n’a le choix ….
Dans ta photo, hanane, j’ai trouvé deux horizons, un que tout le monde le cite, un autre qu’il se voit qu’à moi …
tes yeux, plus larges que la méditerrané, plus beaux que la méditerrané …
tes lèvres sont un murmure de joie, une invitation éternelle de bonheur, de tes yeux sort les oiseaux de ce beau matin, des îles vertes magiques…
Ta voie est un tapis perse, beauté, inspiration, tendresse et chaleur …
J’ai peur d’engager en toi hanane, J’ai peur de te chercher en moi, hanane ;
J’ai peur que ta tendresse me bouleverse, que tes yeux me rendre aveugle sans toi …
Je ne débats pas ta beauté, et je traite pas comment ton âme a pu me communiquer, or, je débats pas le soleil de jour, ou la brillance de jour, c’est eux qui décident, dans quel jours tu viendras, dans quel jour tu partiras, le temps, et la forme de dialogue,
Hanane, dois-je suivre le destin que tu l’as déjà ressentis … . ?
Devrais-tu savoir comment tu m’impressionnes, comment je pense à toi, au premier jour même et à cette heure de matin, Peut être que je suis un poète, mais avant tous, je suis un homme seul, qui s’exprime …
je pense à toi
Alger, Lundi 14 avril 2008 … 2h de matin … Sid@li