Mon petit bonhomme
Il a dans les yeux ces océans immenses si bleus
Cette pure transparence qui se lit en toute lettre
Des discours mêlés de flous et de fabuleux
Avec les petites mains levées au ciel du grand maître
Ses peintures aux couleurs brouillées sont des chefs d’œuvres ! hi
Il est tout excité quand, Mémé avec orgueil expose
Ses câlins, ses mots « « je t’aime » sont des hors d’œuvres
Son sourire efface mes douleurs en rires, il en dispose
Il chante « sa souris verte » en attaquant un virage dangereux
Il file, ce petit bonhomme glissant sur sa trottinette
Camille !! Tu vas où si vite le visage tout sourire, valeureux ?
Je veux arriver le premier à la boulangerie voir Marinette !
Ce Bambin est ma santé, le futur posé à mes pieds
Je traîne parfois la savate, il grimace et d’un air me rassure
Pose sa tête sur ma hanche, devient mon coéquipier
Alors mes soucis je les balance, il est la soudure
C’est un curieux ! Pourquoi il ne peut pas toucher ceci ?
Parce que les boutons du lave linge, marchent pour la lessive
Il me raconte que dans sa maison, dessus il fait de l’acrobatie
Et le distributeur d’eau sur le frigo ? Heu question inoffensive ?
L’ordinateur est interdit par sa maman, Même le miens
Il réclame les Minions ? Mais c’est quoi ce truc Christine ?
Un dessin animé, trouve Maman sur l’ordi ! Des Aliens ?
Mais non! moches et méchants au parlé avec gazoline !
Il s’assit tranquille, sans façon sur mon fauteuil patronal
Enfile tout seul le casque et bouge la souris à son aise
Qui me dit que mon petit fils n’utilise jamais l’écran fatal ?
Je suis une poire ! Mais lui n’est pas bouché des portugaises
Que puis-je faire sans lui, sans pouvoir le porter dans mes bras ?
Mémé a le siège auto pour aller le mercredi voir ‘’le petit théâtre ‘’
Le cirque est arrivé dans le quartier, il va louper les abracadabras !
Quelle Mémé mérite ce kidnapping ? Ô mon petit que j’idolâtre.
Vois-tu ma fille, le venin de ta tante s’est permis un coup de fil
Vantant mon petit fils qu’elle voit quand le cœur lui chante
Cette femme est le crocodile qui dort et joue la colombophile
Ses petits enfants ne lui suffisent pas ? Sans doute trop méchante ……
La roue tourne ??? Je ne vois rien venir
C’est mon existence depuis mes premiers cris dans ce monde
Telle une douce thérapie, l'écriture soulage, cicatrise et guéri (peut être)
LILASYS
CETTE CHANSON QUE JE DÉDIE A MA FILLE
Tu ne seras JAMAIS JAMAIS la mère que tu as eu .......
Il a dans les yeux ces océans immenses si bleus
Cette pure transparence qui se lit en toute lettre
Des discours mêlés de flous et de fabuleux
Avec les petites mains levées au ciel du grand maître
Ses peintures aux couleurs brouillées sont des chefs d’œuvres ! hi
Il est tout excité quand, Mémé avec orgueil expose
Ses câlins, ses mots « « je t’aime » sont des hors d’œuvres
Son sourire efface mes douleurs en rires, il en dispose
Il chante « sa souris verte » en attaquant un virage dangereux
Il file, ce petit bonhomme glissant sur sa trottinette
Camille !! Tu vas où si vite le visage tout sourire, valeureux ?
Je veux arriver le premier à la boulangerie voir Marinette !
Ce Bambin est ma santé, le futur posé à mes pieds
Je traîne parfois la savate, il grimace et d’un air me rassure
Pose sa tête sur ma hanche, devient mon coéquipier
Alors mes soucis je les balance, il est la soudure
C’est un curieux ! Pourquoi il ne peut pas toucher ceci ?
Parce que les boutons du lave linge, marchent pour la lessive
Il me raconte que dans sa maison, dessus il fait de l’acrobatie
Et le distributeur d’eau sur le frigo ? Heu question inoffensive ?
L’ordinateur est interdit par sa maman, Même le miens
Il réclame les Minions ? Mais c’est quoi ce truc Christine ?
Un dessin animé, trouve Maman sur l’ordi ! Des Aliens ?
Mais non! moches et méchants au parlé avec gazoline !
Il s’assit tranquille, sans façon sur mon fauteuil patronal
Enfile tout seul le casque et bouge la souris à son aise
Qui me dit que mon petit fils n’utilise jamais l’écran fatal ?
Je suis une poire ! Mais lui n’est pas bouché des portugaises
Que puis-je faire sans lui, sans pouvoir le porter dans mes bras ?
Mémé a le siège auto pour aller le mercredi voir ‘’le petit théâtre ‘’
Le cirque est arrivé dans le quartier, il va louper les abracadabras !
Quelle Mémé mérite ce kidnapping ? Ô mon petit que j’idolâtre.
Vois-tu ma fille, le venin de ta tante s’est permis un coup de fil
Vantant mon petit fils qu’elle voit quand le cœur lui chante
Cette femme est le crocodile qui dort et joue la colombophile
Ses petits enfants ne lui suffisent pas ? Sans doute trop méchante ……
La roue tourne ??? Je ne vois rien venir
C’est mon existence depuis mes premiers cris dans ce monde
Telle une douce thérapie, l'écriture soulage, cicatrise et guéri (peut être)
LILASYS
CETTE CHANSON QUE JE DÉDIE A MA FILLE
Tu ne seras JAMAIS JAMAIS la mère que tu as eu .......
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