[FONT=arial, helvetica]Le chemin que j'ai emprunté
Me semblait bien ensoleillé
Il était si accueillant
Si tentant
Que je n'ai pu résister
Et je l'ai donc cheminé.
L'herbe y était bien verte
Les portes de la liberté y étaient ouvertes
Les oiseaux chantaient le bonheur
Les nuages démontraient leur blancheur
Dans un ciel bleu azur
Une belle vie y rêgnait, ça c'est sûr.
Son ciel s'est vite assombri
Tout y est devenu mélancolie
Mon herbe disparue dans la terre
Le ciel devint noir de colère
Le chant des oiseaux devint une musique diabolique
Dans des éclairs de sang métallique.
Des tâches de sang sur mes pieds
Le sang des rêves tués
Par une réalité
Qui était si dure à accepter
Mais on voulut l'oublier
Donc on l'a refoulée.
Des mèches torturées
Des amours violacés
Des nuits entières à espérer
Qu'un jour il puisse m'aimer.
Des soupirs gaspillés
Pour des toiles inachevées.
Des amis disparus
Des liens mis à nu
Des secrets dévoilés
Des heures entières à les pleurer
A ne plus croire en la sincérité
Tant elle a été menacée.
Des années de solitude
Une telle platitude
Vivre dans sa tête
Ne jamais faire la fête
Tomber dans une démence
Depuis sa tendre enfance.
Mais venue de nulle part
Une main vient de me libérer
J'ai eu peur qu'elle parte
Mais non, elle est restée
Et maintenant elle m'aide à cheminer
Sur ce chemin endiablé.
Depuis quelques pousses ont grandi
Mes champs ont fleuri
Mon ciel ombragé s'est éclairci
Fini les jours de pluie
Et mes oiseaux ont rechanté
La ballade de la beauté.
J'ai réussi a oublié mon passé
Celui qui toutes mes nuits m'a hantée
Il a laisséquelques marques dans mon paysage remodelé
Mais elles semblent s'effacer
Tout simplement grâce à cet être aimé
Qui ne m'a donné qu'un seul baiser.
Me semblait bien ensoleillé
Il était si accueillant
Si tentant
Que je n'ai pu résister
Et je l'ai donc cheminé.
L'herbe y était bien verte
Les portes de la liberté y étaient ouvertes
Les oiseaux chantaient le bonheur
Les nuages démontraient leur blancheur
Dans un ciel bleu azur
Une belle vie y rêgnait, ça c'est sûr.
Son ciel s'est vite assombri
Tout y est devenu mélancolie
Mon herbe disparue dans la terre
Le ciel devint noir de colère
Le chant des oiseaux devint une musique diabolique
Dans des éclairs de sang métallique.
Des tâches de sang sur mes pieds
Le sang des rêves tués
Par une réalité
Qui était si dure à accepter
Mais on voulut l'oublier
Donc on l'a refoulée.
Des mèches torturées
Des amours violacés
Des nuits entières à espérer
Qu'un jour il puisse m'aimer.
Des soupirs gaspillés
Pour des toiles inachevées.
Des amis disparus
Des liens mis à nu
Des secrets dévoilés
Des heures entières à les pleurer
A ne plus croire en la sincérité
Tant elle a été menacée.
Des années de solitude
Une telle platitude
Vivre dans sa tête
Ne jamais faire la fête
Tomber dans une démence
Depuis sa tendre enfance.
Mais venue de nulle part
Une main vient de me libérer
J'ai eu peur qu'elle parte
Mais non, elle est restée
Et maintenant elle m'aide à cheminer
Sur ce chemin endiablé.
Depuis quelques pousses ont grandi
Mes champs ont fleuri
Mon ciel ombragé s'est éclairci
Fini les jours de pluie
Et mes oiseaux ont rechanté
La ballade de la beauté.
J'ai réussi a oublié mon passé
Celui qui toutes mes nuits m'a hantée
Il a laisséquelques marques dans mon paysage remodelé
Mais elles semblent s'effacer
Tout simplement grâce à cet être aimé
Qui ne m'a donné qu'un seul baiser.
