Les fous devenus des sages.
Les médiocres en naufrage.
Élevés aux rangs des rois,
Avec et par n'importe quoi.
Ridicules se mordent les doigts.
Par La honte et les faiblesses.
Devant les yeux, ils s'abaissent.
Les rescapés s'isolent plus loin.
Pour s'éclipser dans leurs coins.
Émus, ébahis, ils s'exilent, en pessimismes.
Frappés dans le moral en ostracisme.
Ces hommes de références, rudoyés.
Dans leur humilité, noyés.
Sages, et calmes,
Ils Réfléchissent.
Pour ne pas fléchir, ils se hissent.
Vers les hauteurs d'un futur.
Garant leurs idées si pures.
Aux générations plus compréhensibles.
Respectables et paisibles.
Leurs forces, est intelligence.
S'adosse à l'indulgence,
Pour compléter les meilleurs qualités,
Des hommes de grandes bontés.
Mansuétude, est leur lumière.
Qui régule leurs bonnes manières.
Les forces d’Energie de foi,
Élèvent progressivement leur poids,
Dans ce monde devenu village,
Par les liens, et des images.
Les échanges par les pensées.
Des idées nouvelles en avancées.
Bouleversent les humains,
D’un nouveau demain.
Amélioré au point de l'espérance.
Pour ces fous de l'inconscience,
Les erreurs s'accumulent plus fort,
Tuant les scorpions a tord,
Ils se purifient dans leurs peaux.
Pour éviter les coups de taureaux.
D’une justice trop injuste.
Si faible par ses juristes.
Une haine en abondance.
Émise par ces fous en arrogance.
Les risques s'amplifient en espace,
Pour contaminer les pures races.
Ces fous, agnostiques à l’ extrême.
Récoltent tous ce qu'ils sèment.
Leurs semences irriguées par les vents.