Mon autre à l'inverse de moi,
A la force d'un lion
Et à l'histoire vagabonde.
Mon autre aux fins cheveux d'argent,
Caressant le vent,
Saupoudrant les gens
De sa méticuleuse poudre de safran.
Mon autre à la réflexion d'un lichen
Nouveau-né et à l'odeur sauvage,
A la présence impossible
Et aux lueurs de jade et d'argenteries.
Mon autre au regard d'un dur hiver
De neige semi-poudreuse et éternelle,
A l'esprit aqueux comme un tourbillon d'atomes
D'eau et de vie.
Mon autre aux sentiments destructeurs,
A la décision d'une étoile
Et a la détermination de Fer et de Lin.
Mon autre au regard chevaleresque,
A la façon d'un rosier
Et à l'idéal printanier.
Mon autre au culot de terre cuite
Et au courage d'un coureur.
Mon autre aux bras de cuir et de métal,
Aux mains de glace et de grès ,
Aux doigts de cire et de laurier.
Mon autre au cœur de flamme,
Au cœur des flammes
Et de la maturité progressive.
Mon autre à la bouche en puits,
Comme un trou dans le gouffre continu du néant.
Mon autre au corps de planche de bois,
Noir de nuit, brillant de pluie mais incassable.
Mon autre aux jambes de Mars
Aux muscles de cuirasse
D'un hippogriffe docile et inoffensif.
Mon autre aux pieds de millefeuilles
Et de trèfles bavards.
Mon autre à la simple imagination alentour,
Comme une porte entrouverte,
Aux mots et phrases insoucieux et innocents.
Mon autre au poème qui se finit,
Dans un monde à part de la pensée,
Songes ardoises, forcés et ambigües.
A la force d'un lion
Et à l'histoire vagabonde.
Mon autre aux fins cheveux d'argent,
Caressant le vent,
Saupoudrant les gens
De sa méticuleuse poudre de safran.
Mon autre à la réflexion d'un lichen
Nouveau-né et à l'odeur sauvage,
A la présence impossible
Et aux lueurs de jade et d'argenteries.
Mon autre au regard d'un dur hiver
De neige semi-poudreuse et éternelle,
A l'esprit aqueux comme un tourbillon d'atomes
D'eau et de vie.
Mon autre aux sentiments destructeurs,
A la décision d'une étoile
Et a la détermination de Fer et de Lin.
Mon autre au regard chevaleresque,
A la façon d'un rosier
Et à l'idéal printanier.
Mon autre au culot de terre cuite
Et au courage d'un coureur.
Mon autre aux bras de cuir et de métal,
Aux mains de glace et de grès ,
Aux doigts de cire et de laurier.
Mon autre au cœur de flamme,
Au cœur des flammes
Et de la maturité progressive.
Mon autre à la bouche en puits,
Comme un trou dans le gouffre continu du néant.
Mon autre au corps de planche de bois,
Noir de nuit, brillant de pluie mais incassable.
Mon autre aux jambes de Mars
Aux muscles de cuirasse
D'un hippogriffe docile et inoffensif.
Mon autre aux pieds de millefeuilles
Et de trèfles bavards.
Mon autre à la simple imagination alentour,
Comme une porte entrouverte,
Aux mots et phrases insoucieux et innocents.
Mon autre au poème qui se finit,
Dans un monde à part de la pensée,
Songes ardoises, forcés et ambigües.