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Résultat du concours " Mon animal fétiche " 04 au 16

Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.

lyseron

Je reviens de loin, mais je ne vous oublie pas....
Membre du personnel
#1


Suggestion de TIERAM

*


Concours du 04 au 16 Novembre 2015

( Envoi de vos poèmes sur ma messagerie privée )

Résultats 18 Novembre 2015


*

Thème :

« Mon animal fétiche »

*
Quel animal domestique ou sauvage vous représente le mieux ?
Pourquoi l'avez-vous choisi pour compagnon de route ?
Sous forme de belles métaphores, décrivez-le ...
Son nom ne doit pas figurer dans le titre de votre écrit,
Ne le nommez qu'à la fin de votre poème.


*

Contraintes


*

Rimes libres mais obligatoires
Attention à l'orthographe,
aux accords de temps,
ainsi qu'à la ponctuation.


Écrits non signés

*

Vos écrits seront notés avec impartialité et dans le respect des consignes ci-dessus.
Chef du jury : Lys


*
Si vous désirez être juge, n'hésitez pas à m'envoyer votre demande sur ma MP
Merci

*

A vos plumes animalières !


*

Participant(e)s

*

luron 1er .......8,33 / 10

Dans l'ensemble consignes respectées, amusant, très frais
Un petit animal qui fait beaucoup parler de lui en vers tendres et drôles.
« petit vers » devrait s'écrire « ver ».
Un peu facile caresse et s, mais bon !

1 ... Mon p’tit animal !

Pour avancer, il se tortille
Quand je lui enlève sa goupille.
Il ressemble à un gros fil de fer
Qui se faufile ventre à terre, faut le faire.


Et si ici, aujourd’hui, je trime,
Lui est toujours là pour la frime,
Il me dessine quelque fois un S,
Quand je lui fais des caresses.


Il se met en boule au bout de mon hameçon,
Car il a bien du mal à retenir la leçon.
Il se cache toujours pour activer mon terreau,
Pour m’aider à trouver les bons mots, sans râteau.


Il est souvent jaloux de ces petits cobras,
Du serpent à sonnette, le veut au débarras.
Mais pour un sonnet, il est toujours de sortie,
Sans le sonner, il se coule souvent dans les orties.


Il est avec moi, je le mets dans son pot,
Il aime. Pour lui, je n’écris jamais sur sa peau.
Je l’ai toujours avec moi, j’ai la pêche,
Pour que les poissons frétillent, je me dépêche.


Car pour lui, aujourd’hui, je compose,
Et jamais, je ne me décompose,
Même si quelques fois, je suis vert,
C’est mon meilleur ami, le petit vers.


*******

arlesse ….... 8,86 / 10
Médaille OR


Attention à la ponctuation!
L' excès de virgules et de points virgules
hachurent l'harmonie du poème, de très belles images.
J'ai aimé l'éloge faite à cet animal fétiche.
Un poème très bien écrit, les consignes respectées.
J'ai lu un très beau poème
i et ui ne riment pas ( 3 premiers vers )
j'ai beaucoup aimé ce double qui vous représente,
un poème magique comme ce loup...Bravo !

2 ... Il marche à mes côtés

Quand parfois le sommeil délaisse mon esprit,
Je sens que quelque part, au-delà de la nuit,
Un être de fourrure contemple sans bruit
Le même astre céleste fascinant mon âme ;
J’ose alors espérer qu’aucune de nos lames
Ne vienne dans ses yeux en éteindre les flammes.


Il est le compagnon de mes nuits éveillées,
Un prédateur sauvage au regard passionné :
A l’ombre des étoiles il parle à Séléné.
Il écoute en silence, il ne dit pas un mot ;
Ensemble ils ne font qu’un ; surnaturel duo,
Dont mon cœur apaisé conserve les échos.


Je suis un être doux, mais bien trop obstiné ;
Si ma fierté parfois m’oblige à refuser
De montrer mes faiblesses et de laisser tomber,
Il est bien mon reflet, lui qui montre la voie ;
Dans un monde cruel où puissance fait loi,
Il est force tranquille qui jamais ne ploie.


Mais lorsque le jour baisse à la tombée du soir,
Le masque se fissure, et laisse apercevoir
Une agonie profonde, un triste désespoir ;
Il marche en solitaire, au gré du temps qui passe,
Cherchant parmi les siens les regards qui s’effacent,
Ou peut-être est-ce moi, qui recherche ma place.


Si parfois dans les ombres il se laisse surprendre,
Hérissant sa fourrure, il est prompt à défendre ;
Il demeure en arrière, et sans se faire attendre,
Il s’élance et malheur à qui donne l’assaut ;
Farouche protecteur, il suffira d’un saut:
Mon ami a la force qui me fait défaut.


Peut-être que mes mots ne sont que des clichés,
Peut-être qu’il n’est pas comme je l’ai pensé,
Mais qu’importe pour moi ces naïves idées ;
Même si quelque part je me suis fourvoyée,
Le loup est bien celui qui marche à mes côtés.

*******

Iboujo...........8,26 / 10

Fort émouvant cet amour d'un animal pour un enfant
mais assez loin des consignes du thème.
Un très beau poème.
Belles images pour décrire cet animal compagnon
qui fait les délices de son maître.
Un écrit tout en délicatesse, enchanteur,
même s'il ne correspond pas totalement aux consignes
(manque une petite rime avec fesse )

3 ...Pétronille...

Pétronille, mon espiègle ingénue
Ma blanche colombe aux pieds nus
Quand le pli du jupon s'écarquille
Offrant la peau dénudée de ta cheville


J'ai l'envie du loup pour la diablesse
Tu entretiens le feu de mes délices
Je flambe au brasier des interstices
Ta candeur jouant de ma faiblesse


Avec cette cambrure qui fait la fesse
Bûcher divin Ô vive flamme
J'ai la babine salivante qui s'enflamme
Elle devine, elle flaire je te réclame


Accroupie à cueillir la fleur du champ
La nuque offerte à mon baiser pinçant
Et ce parfum poivré de menthe sauvage
Un piment de verger du souk de Carthage


Tu me propulses au Paradis des enfers
Ma chair bouillonne mais je me terre
Je suis le compagnon de ta prime jeunesse
"Flam" le chien, épris de sa petite Princesse...

*******
Iboujo........8,22 / 10

Frais son ai / polluer son é...
Belles images bucoliques mais les questions à développer
dans le thème restent en suspens...
( quel animal vous représente le mieux,
pourquoi l'avoir choisi comme compagnon de route)
Les mérites de cet animal « débroussailleur »
en font un poème « tendance écolo » très sympathique.
Une description attachante.
Comme j'ai apprécié cette complicité pleine de fraîcheur.

4 ...Le débroussailleur

Au bord des chemins , sur les herbages
En se nourrissant à peu de frais
Il débroussaille sans polluer
Évitant des déchets la corvée de ramassage


Les obstacles ne lui font pas peur
Il se rend avec grande facilité
Sur des terrains sans accessibilités
Besogneux , réfléchi , en douceur


Le mien a la robe souris et des souliers vernis
Un museau à baisers doux comme laine d'agneau
Ses longues oreilles comprennent tout ce que je dis
Il s'incline gentiment pour me prendre sur son dos


Nous trottinons dans les prés corps contre corps
Il est le guide de mes envies , nous folâtrons
Et s'il fatigue , au creux de son flanc je dors
Martin , petit âne gris est mon ange d'adoption


*******

Reiuqrapelcram.........8,27 / 10

Un chuchotement dans la nuit
mais assez loin des consignes du thème.
Un arbre habité et entouré de nombreux animaux
cherchant le calme de la nuit,
mais elle ne sera pas sereine pour tous....
Une ambiance inquiétante, pour une chute réaliste.
Parallèle avec vous, révélée avec délicatesse


5 ... Monde nocturne

Plus un bruit, plus un cri
Sinon celui du nyctalope
Sur sa branche, dans son nid,
Sous les plumes qui l'enveloppe,

Et surgit sans un cri, sans un bruit
Le pas léger du prédateur
Dans le noir, dans la nuit
Sous l'éclairage des vapeurs.

Alors s'enfuient toutes les âmes
Qui vivaient sous l'écorce
Et dans ses yeux, les flammes
Dévore son courage et sa force.

Mais le chat qui approche
Et la chouette qui surgit
Au bas d'un arbre, au creux de la roche
Indiffère mon amie.

Face à la mort inéluctable
Face au tumulte des cris
Elle fait face à l'affable
Destin des petites souris.

*******

Lilasys.......8,26 / 10

histoire de cafard bien menée.
Description détaillée d'un animal ami atypique.
On peut facilement en voir des métaphores
1 faute à lover ( Attention à : Pieds et fessée ,
communiquer et sais, lui et vie )
Parfait amalgame entre réalité et fiction,
j'ai aimé ce ton léger, ce qu'il nous dévoile tout en douceur.

6 ... Bernard ...

Il n'est pas bien grand mon petit Bernard,
Personne ne connaît même son existence,
Gardé, jalousement les jours de pas de chance,
On a tous besoin d'un ami, en cas de cafard.


Il est de noir vêtu de la tête aux pieds,
Avec des yeux dira-t-on assez intelligents,
Il court partout, ce vilain garnement,
Parfois, il mériterait une grosse fessée.


J'aime, quand, il se pose délicatement sur ma main,
On penserait, qu'il désire avec moi communiquer,
C'est qu'il a de la conversation ! Je le sais !
Tout est dans ses pattes, quand j'ai du chagrin.


Il dort tendrement lover dans une boîte d'allumettes,
Il est petit mais il ronfle, je vous assure !
C'est un animal de compagnie contre nature,
Il vaut bien d'autres grands, ma crevette.


Depuis des années à la ronde, je cache mon Cafard,
Au fond de ma chambre, sous l'oreiller, sous le lit,
Il sort uniquement quand le cœur me le dit,
Quand, il me chatouille les nerfs, me fout en pétard.


Alors, les jours, les nuits, je suis seule avec lui,
Mon Cafard s'appelle Bernard, je lui porte de l'amour,
Depuis que j'ai compris, que lui et moi se serait pour toujours,
Il est devenu mon animal fétiche pour la vie .

*******

Zuc........8,12 / 10

Agréable lecture bien menée.
Faute à : « oiseau » qui devrait être singulier.
« faite » pour les rats.
Une liberté qui se paie cher au final pour cet animal.
Vers courts donnent rythme à cette poésie.
( seront avec un t )
Ah ! Ces routes meurtrières pour nos bêtes,
Un bel écrit.

7 ... Hélas passe une route,

De cette amitié qui est née,
Entre moi et toutes ces bêtes,
Respectant trop leur liberté,
En mon antre serons muettes,

Ne voir aucun oiseaux en cage,
Ni de poisson dans un bocal,
Encor moins de ces chiens qui ragent,
Ou de harnais sur un cheval,

De tous il en est un pourtant,
Je me voudrais pareil à lui,
Sauvage, rebelle et amant,
Solitaire et gris dans la nuit,

Mais hélas serpente une route,
Devant chez moi fait pour les rats,
Un danger pour son casse-croûte,
Me manque mon ami le chat.


*******

Iboujo.........7,76 / 10

Quelques rimes manquantes,
Ecrit comme une énigme, attention aux consignes.
Poème très doux, soyeux à l'image de l'animal fétiche.
Mystérieux animal et si attachant. Belle lecture

8 ... Les yeux de mage

Subtile tendresse
Féline caresse
Corps de velours
Patte d'Amour
Ou de rapine.

La nuit descend
Et dore le temps
La vieille armoire
Est ma mémoire
Si j'aime, je dors.

Mes gants de soie
Ont des épines
Comme les roses
Quand je les pose
Sur ta peau fine

Le jour s'oublie
La nuit fleurit
D'aise orientale
Mes yeux d'opale.
Tu veux , je fuis...

Svelte élégance
Légende image
Tout contre toi
Je suis le chat
Aux yeux de mage...

*******


La plumeDeMiramas........7,06 / 10

Certaines rimes font défaut, écriture enfantine.
Fidèle compagnon qui apporte joie et douceur au quotidien.
Il ne comporte pas beaucoup de surprise
car on devine très vite de quel animal il s'agit.
Beaucoup d'amour pour ce chien qui a souffert..

9 ... Mon animal

Mon animal n'est pas pour moi un simple animal,
Avec lui, rien ne va mal,
Rien que ses yeux pétillants,
Me font penser à un diamant brillant.

Voyant la balle arriver,
Vers moi, il ne peut que s'empresser.
Lorsqu'il me la ramène tout joyeux,
Son énergie me fait penser
Aux éclairs de Dieu,
Qui ravagent nos journées.

Son pelage est doux,
J'aimerais me blottir avec lui,
Mais je n'ai pas envie de repenser à son passé,
Qui n'a pas été simple dans sa vie.

En fait, c'est mon chien à moi,
Il compte beaucoup pour moi.


*******

Foltiern.......8,16 / 10

Posé comme une énigme et non
dans le respect des consignes du thème.
J'aime beaucoup ce poème, léger, coloré.
L'alternance des vers lui donne une belle cadence.
Tout au long du poème on ressent :
légèreté et besoin de liberté ...j'ai aimé.


10 ...Virevolte

Je suis la surprise de tes peines,
Ma liberté n’est qu’un grand péché.
Mes couleurs vives sont sereines,
Pour ça j’ai laissé mon cocon séché.

Mille et un battements d’ailes,
Le vent qui souffle me porte au loin.
Libre dans l’air comme l’infidèle,
D’assaillir ton cœur j’ai besoin.

Vire et virevolte, à ma douceur tu chuchotes,
Vire et virevolte, à ma lueur tu sanglotes.

On me surnomme lépidoptère,
Je ne fais que toujours m’amuser.
Et bien que mon espèce soit prospère,
Bien des gens aiment me capturer.

Mille et une couleurs chaudes au cœur,
Le vent qui souffle j’en prends soin.
Libre dans l’air pour ton bonheur,
De ma lueur épanouie tu es témoin.

Vire et virevolte, à ma douceur tu chuchotes,
Vire et virevolte, à ma lueur tu sanglotes.

Insoumis je le suis tout le temps,
Mes grandes antennes guident mon chemin.
J'aime sortir lorsque né le printemps,
Voler à tire d'ailes est mon destin.

Mille et un frères sur la terre,
Le vent qui s’agite est mon tourbillon.
Libre dans l’air pour tes beaux yeux j’erre,
Voila je suis un petit papillon.


*******

Zuc...........8,26 / 10

Poésie bien engagée...
« un animal qui se défend » de ses détracteurs,
avec toutes griffes dehors !
Ton sarcastique qui va avec la couleur de son pelage !
L'approche en est originale.
( courez un seul r , quelques traits d'union oubliés,
j'aurais mis une majuscule à Braque, )
Une belle écriture ...
à la hauteur de cet énigmatique chat noir.

11 ... Lettre a mes détracteurs

À tous mes détracteurs,
Vous les bons acteurs,
Vous qui dites sans rires,
Autant de vous pourrais je dire,


Vous qui m'accusez de tous les mots
Oui je vis la nuit et dors le jour à mes heures,
Mais qui de nous est fainéant voleur?
Pourquoi alors juges et tribunaux?


Oui je suis charmeur,
Serte mes jeux sont cruels,
C'est mon instinct de prédateur,
Mais qui taquine la tourterelle?


Vous qui chassez par plaisir?
Je ne renie pas mes origines,
Vos jeux sont une industrie de loisirs,
Il est vrai que j'aime qu'on me câline,


Vous qui me dites infidèle,
Vous qui courrez les bordels,
Quand vous mentez à vos belles,
Vous qui chantez les ritournelles,


Il me serait trop facile alors,
Que je vous fasse patte de velours,
Pour mendier ma pâtée mon bol d'or,
Je vagabonde mais ne tapine pas aux faubourgs,


Sachez que quand je donne, je donne,
Mon égoïsme est à votre grandeur,
Quand je ronronne c'est l'amour que je fredonne,
Est-ce ma liberté qui vous fait peur?


Voyez toute l'incohérence de vos propos,
Je suis Tantôt chasseur tantôt charmeur,
Voyez que je peux me passer de vos ragots,
Vous qui préférez les chiens esclaves de vos malheurs,


Quand même un enfant ils attaquent,
Meilleur ami de l'homme honorifique restera glorifié,
Je ne reproche rien à ce cabot, ce braque,
Pourquoi moi dois je sans cesse me justifier?


Surement vous me vouez quelques pouvoirs maléfiques,
Qu'à travers votre âme je lis et vois dans le noir,
De belles promesses je m'en méfie comme de la politique,
Anarchique et libertaire pour vous je resterai ce chat noir.

*******

Solleïllä.......7,16 / 10

Mais quel est donc cet animal
décrit en termes pompeux???
( consignes à revoir.)
Poème sous forme de sonnet,
abstrait et pas simple à comprendre,
mais le poète maîtrise visiblement bien son sujet.
Une âme tourmentée dépeinte avec force et mots savants,
se cacherait-elle derrière cette hydre mythologique ?

12 ...L'enfant de typhon, compagnon des vents

Sur la lame du vouge écumant de bave,
Aux pourpres reflets des ersatz mendiants, cinglants,
Le tulle de la pâleur des souffres relents,
D'agave bu au calice que Minos lave ;


Il couche ses lèvres battues par les griffes,
Des harpies qui le haïssent sur l'or des chiffes,
Où pose le tranchant acerbe de l'esprit,
Qu'il devine délétère sans l'avoir pris ;

Le délictuel précipice au digital,
Attrait, est pour lui connivence du fractal,
Chaos des hurlements et de la dilection,


Au penchant viscéral d'hydre en affliction,
Il plie, alors sur le fer acéré du létal,
Enfer de l'initial, au parfum de santal

*******

Cristou..........8,10 / 10

Lavés son é respirais son ai
Attention aux accords, à la conjugaison.
Très émouvant mais dès le 1er ver
l'on reconnaît de suite de quel animal il s'agit
Faute à : «à» 1er vers, dernier quatrain.
Une certaine nostalgie se dégage des vers qui suivent la question
Un poème touchant, tant par le fond que par la forme,
parce qu'il parle aussi de ceux qui touchent le fond.
On comprend combien;
l'un a été important dans la vie de l'autre...
c'est une belle leçon.
Un bout de chemin fort bien décrit,
j'en ai eu le cœur tout retourné...
J'ai aimé profondément.​

13 ...Vagabonds

Te souviens-tu?
Lors de notre première rencontre
Tu t’es approché de moi, fébrile
Détresse et tristesse, démontres
Tes yeux prédisant n’être que fragiles


Te rappelles-tu?
Je n’avais rien à t’offrir qu’un peu de chaleur
Sous un pont, cette nuit là dans le froid, dans le noir
Partageant fond de conserve et sans valeur
Depuis nos cœurs se sont accrochés dans cet espoir


Te souviens-tu?
Des journées, à errer en vain sur de longs chemins
Des soirs, à chercher dans les stations de métro un coin
Squatter les centres commerciaux pour un bout de pain
Parfois chassé, veillons l’un sur l’autre, dans le besoin


Te rappelles-tu?
Mon ami allongé dans mes bras
Caressant tes longs poils mal lavés
De tout ton long, tu ne te débats
Ne rêvant de liberté, tu ne respirais


Aujourd’hui
Je suis resté figé là, t’observant les yeux a pleurer
La chaleur quittait ton corps lentement
Ce soir pour la première fois tu m’as abandonné
Vagabond, Tu t’en es allé vers un autre présent…


*******

Lyseria........7,55 / 10

Les rimes laissent à désirer, je préfère la 1ère version .
Un très beau flash-back .
Je regrette que certaines rimes soient « pauvres »,
mais cela est contrebalancé par un récit très touchant.
Ah, si les animaux pouvaient parler !
Je craque ! Seuls les animaux peuvent exprimer
ce que vous avez si bien saisi, Bravo !


14 ... Vagabonds (Reverse)

Je me souviens!

Traînant ma carcasse miteuse maladroite et endolorie,
Yeux vitreux, odeur nauséabonde suppliant un refuge
Livré à mon sort hésitant je me suis approché sans un cri
Bras tendus indécis tu m'as accueilli tel un mage…

Je me rappelle!

Je n'avais rien à t'offrir que ma chair affaiblie en souffrance.
Sous ce pont froid et humide me traînant souffreteux exténué,
Cœur solitaire, regard fuyant tu as accepté ma présence.
M'offrant ce fond de conserve ce jour là, un lien s'est créé…

Je me souviens!

Tu as été ma plus belle rencontre, appauvri sans force,
Me protégeant du froid glacial, t'oubliant! M’offrant ta couverture.
Cherchant un coin de chaleur, un peu d'humanité de bienveillance,
Deux voyous crasseux aux yeux du monde cachant nos blessures.

Je me rappelle!

Mon Ami, tu m'as redonné un nouveau souffle, une lumière.
Là où le mépris et l'indifférence tue! Existe le bonheur,
Avec toi malgré nos galères, je me suis senti revivre.
Je m'en suis allé veule, dans un autre monde sans rancœur…

Aujourd'hui,

Moi ce simple clébard vagabond traînant la patte , tu m'as redonné la vie...
Un jour sous un pont, ou notre histoire a commencé, sans un bruit ...
Toi seul dans ta solitude ressassant le passé, dans tes yeux larmoyant .
Ces moments de galères, dans le froid de l'hiver bruyant!

De tes larmes coulant le long de ton désarroi,
De tes mains caressant, ma dépouille ternie,
Dans tes bras je me suis endormi avec foi.

Tu resteras ma plus belle rencontre, à jamais unis…
Nous étions tous deux, des exclus de cette société !
De nos deux âmes torturées, nous avons su nous trouver !
Fraternité, Égalité, Liberté...


*******

Regaline...........7,81 / 10

Gentil, mignon .
1 faute d'accord sur le dernier vers du 2ème quatrain
Poème très aérien, et une ponctuation
qui donne du rythme et modulation à la poésie.
C'est un animal chouchouté, auquel on ne peut résister !
Ce poème est d'une musicalité ! Si touchant...
( attention à tourbillon et chanson )

15 ... Coquin d’amour

C’est un coquin d’amour qui va !
Un petit nez qui fait dégât !
Il me rend folle et plus encore
Quand son regard plissé m’adore.


Il traîne en boule sur mon drap
Et trottine en sa queue qui va ;
Il m’émerveille en son pelage
Longs et soyeux qui me ravage…


Savez-vous qui me l’a offert ?
Mon amoureux, folie d’enfer !
C’était un temps en plein automne
Où l’amour rit, en tout chantonne…


Je me souviens de mon grand rire
Quand je l’ai vu si fier me dire :
Ma chérie, vois le compagnon
Que j’ai trouvé pour toi, passion !


Ô si mignon, si adorable !
Quel petit être formidable !
J’ai vu alors dans le panier
Un amour né, oui, tout entier !


De son aboi est ma faiblesse !
De ses adresses il me presse !
Son nom, son nom, en vraie chanson !
Petite boule en tourbillon !


Et depuis lors quand je veux vivre
D’amour immense et chaleur ivre
Un grand bonheur qui fut d’éclat…
Mon fétiche ? Mon « Chiwawa " !

*******
Reiuqrapelcram.........7,87 / 10

( Attention à : parlais et agripper...
oubliés et attraper... paix et arrêter.)
pas vraiment dans le thème mais d'actualité.
Proche de l'homme mais ne se laisse pas adopter !!!
Un poème qui, comme cet oiseau blanc, inspire la paix.
Un ressenti très fort : la paix...
désir que nous avons tous, une nécessité pour vivre.
Une écriture fluide et très agréable​

16 ... J'attends ta plume

Et comme elle vole
Dans les parfums oubliés
Tandis que l’œil frivole
Nous tentons de l'attraper


Je laisse en ses sillons d'air
sourciller mes espoirs morts
De la voir se poser sur la mer
Où gît l'aquarelle des corps


Comme elle vole
Ainsi que j'en parlais
D'une main molle
Je tente encore de l'agripper.


Pour un peu d'amour,
Une once de paix
Sa plume en velours
Pourrait tout arrêter...


Mais comme elle vole
Elle prend sa route ;
La colombe rendue folle
A vu Paris, a fuit Beyrouth.

*******

Phaedra............7,92 / 10

Malheureusement loin du thème
1 faute d'accord à « rochers » 2 fautes d'accent
Une description longue mais oh combien agréable à lire
Un poème qui nous fait plonger dans les fonds marins
où le royaume « animal aquatique »
est immensément coloré,
de l'infiniment grand au minuscule.
Cette lecture m'a enchantée.
(Attention à: altière et mer ) onde cuivrée.
Je me suis laissée bercer par ce flot de vers...une splendeur !
Dommage de ne pas vous retrouver en ce beau décor...

17 ...Migration

C’est l’heure vaine où meurt le Soleil à l’Occident,
Et l’azur est comme un vaste désert sanglant
Sans fin et silencieux où roule l’onde cuivré
D’immenses dunes écumeuses que le vent
Sans connaître fatigue déplace à son gré.

Et l’océan au loin s’abîme dans les cieux,
Partout son corps scintille du reflet glorieux
Des longues écharpes flambantes de nuages.
Sous l’eau calme, l’ultime rayon mystérieux
Enfante l’aurore triomphale et sauvage.

Aucun murmure ne s’échappe des abysses,
Le madrépore croît et le poisson-clown glisse
Son écaille le long de la rouge anémone,
Et passant là-bas, les méduses spectatrices
Jettent leurs silhouettes sur les fonds atones.

Arrivent, dans l’horizon lointain de la mer
Multiples, les ombres splendides et altières
Qui ondulent, placides dans les flots paisibles
Elles fouettent des nageoires l’écume légère,
Et vont, semblable à des voyageurs impassibles.

Par centaines, en une colonne incroyable
Pleins des rêves anciens des ondes formidables
Qui jadis avaient vu leur race s’éveiller,
Elles retournent, accomplir le geste vénérable
Que le souvenir en elles a réveillé.

Celle qui gouverne, est une très vieille femelle
Couverte de cicatrices exceptionnelles
Dont l’œil séculaire à déjà vu tant d’espace
Se courber devant la lourde frappe cruelle
De sa gigantesque et monumentale masse.

Plus en arrière, certaines admirent passer
Sous les corps énormes le requin isolé,
Quand d’autres remontent, respirer au grand air
Et roulant, heureuses, leurs larges dos voutés
Saluent d’une nageoire la Lune solitaire.

Qu’importent les cieux sans étoiles et l’Homme mourant,
Elles reverront les jardins de corail luisant
Où la murène dort en sa morne tanière,
Où naitront, dans l’océan serein leurs enfants
Et y résonneront leurs mélodies premières.

C’est l’heure vaine où surgit le Soleil à L’Orient,
Et l’azur est comme un long désert luxuriant
Sans fin et silencieux où roule l’onde cuivré
D’immenses rocher écumeux se déployant
Au vent, qui sans fatigue les bouge à son gré.

Au loin, elles filent dans la mer illimitée
En un ruban qui court parmi le flot léger,
Et d’un coup, les queues tachetées et colossales
Font frémir l’eau calme d’un long frisson nacré
Qui se propage sur la forêt abyssale.

Et sous l’orbe qui chauffe les tièdes bassins,
Les cieux clairs et les prairies de nobles oursins,
Et les cétacés poursuivent la migration.
Aussi, trahissant leur passage souverain
Dizaines de remous restent dans leurs sillons.


********

symphonie infernale.........8,55 / 10
Médaille Bronze

Une belle description mais les consignes
du thème restent quelque peu absentes
Pour le « roi du ciel » le poème se voulait royal !!!
pour décrire cette merveille de la « création ».
Et quelle envergure !
Superbe aquarelle sur fond de ciel bleu !
( Attention à :serres et lumières )
J'ai adoré ma lecture qui plus est, en alexandrins,
j'ai suivi le périple ancestral de cette perfection de la nature,
j'aurais cependant aimé vous trouver plus présent
à travers cet animal royal...mais l'ai senti.

18 ...Volatilité.

Lorsque le Créateur voulu peupler les airs
Et les degrés sans fin qui forment les éthers
Du sol meuble et fertile … Enfin, de la Nature
Dont il avait extrait l'humaine créature
Il pris d'abord un tas pour former son dessein :
Du peuple des oiseaux c'est le premier dessin !
Il conçu tout d'abord ton corps, ton bec, tes serres
Tranchants rayons de lune, éclats gris de lumières
Dans l'azur scintillant qui forme le séjour
Où l'astre de la nuit croise l'astre du jour.
Puis, pour te libérer de nos terrestres routes,
Que tu puisses tracer ton chemin dans les voûtes
Et loin des lourds barreaux qui forment nos prisons
De ton vol élégant franchir les horizons,
D'un soupçon de vapeur il créa tes deux ailes :
De ses créations ce sont les deux plus belles.

Alors, l'aimante main du divin modeleur
Fit varier son dessin de forme et de couleur :
Des très grands, des petits, des gris et des turquoises,
Ceux dont le bec déjà s'emplissait de framboises,
Ceux qui, près du rivage et du sable orangé
Où le jour à la nuit se trouve mélangé
Dans un soudain élan trouvent leur domicile,
Ceux qui, loin du climat des côtes de Sicile
Trouvèrent leurs séjours dans l'hiver éternel ;
Il les emplit alors du souffle originel.
Tous alors, d'un cri sourd de désir et d'envie
En à peine un instant s'en vinrent à la vie ;
Essayant de voler pour la première fois
Les plus lourds d'entre vous échouèrent, parfois.
Les autres, s'élançant vers la voûte céleste
Dans cet envol parfait qu'était leur premier geste
Semblèrent obscurcir l'arc laiteux du matin
Comme une tâche noire un dais blanc de satin.
Mais soudain, l'unité qui régissait leur course
Se troubla comme on trouble une eau pure de source.
Alors, pour régenter et ton peuple naissant
Et son vol infini dans l'azur lactescent,
Pour la dernière fois reprenant de l'argile
Il te fit, vaillant chef au corps long mais agile.


Toujours, quand descendant des grands monts de Norvège
Ou de rocs aiguisés que recouvre la neige,
De ton aile, jouant au dessus des vapeurs
Des nuages chargés et des courants trompeurs,
Tu quittes lentement les abris de l'orage
Où les éclairs, souvent, ignescents traits de rage
Vont briser leurs ardeurs d'un éclat lumineux ;
Par delà l'horizon d'un col vertigineux
De son œil occupé, la nature bruyante
Aperçoit le reflet de ton ombre fuyante
Et taisant ses éclat d'un geste incontesté
Salue affablement ta calme majesté,
Obéissant toujours à l'immuable règle
Qui lui donna pour roi ce que l'on nomma « L'aigle »


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Mycky02..........7,64 / 10

Il s’agit de "mon vampire à moi,"
oir ne rime pas avec raides. Amusant.
Une faute à « dépourvue » et « ses cris »
Oiseau de nuit dont le poète vante les multiples facettes.
( Attention à : biais et chevet
et aux rimes en i et iu : dernier quatrain )
Un poème qui tient en haleine jusqu'au bout,
j'ai pu voir ce petit vampire, Bravo !


19 ... Mon Vampire à Moi…

Nuit douce et froide
Vent doux d’un soir
Flottant mes battants noirs
Au gré de quelques gestes raides.


Une douce mélodie
Dans la ténébreuse nuit
Me dit sans aucun souci
« Douce nuit dépourvu de tout bruit »


Pendant mon paisible sommeil
Son doux poil me caresse les oreilles
Les ténèbres me gardent par son biais
C’est elle qui garde mon chevet.


J’aime sa compagnie nocturne
Surtout lorsque je prends ma plume
Si la fatigue me plonge dans la brume
Mes écrits se teignent à l’image de ses runes.


La nuit perdue,
Le jour venu
Comme un déchu
J’attends sa venue ;


Mais je suis comme elle
Car je dors le jour ;
C’est mon amie fidèle
La nuit tombée, je dis bonjour.

Nous rêvons des ombres
L’envers est notre endroit
Nous peignons en grand nombre
Les esprits obscurs d’un geste adroit.


Je suis inspiré par son charisme
Je côtoie sans mesure son vampirisme
Si je vis avec elle sous le même toit,
C’est parce qu’elle s’appelle Dracula.


Mon esprit s’apaise avec ses cries
Il parait qu’elle adore la nuit
Normal c’est ma plus grande amie
Dracula la délicate chauve-souris.


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Pat38000.............8,10 / 10

D'actualité mais assez loin du sujet.
Un poème dans le thème d'actualité
qui ne laisse pas indifférent : animal symbole de paix
qu'on voudrait voir partout dans le monde.
Doux et optimiste poème.
Un très beau poème,
un baume au cœur en ces temps perturbés...

20 ... Liberté

Le jour commence à peine à blanchir les collines
La plaine alors, est grise encore .
Au long des prés bordés de sureaux et d'épines
Le soleil aux traits rayonne son or...

Et déjà secouant dans les sillons de blé
Mes ailes engourdies,
Conquise je pars le gosier tout gonflé
De jeunes mélodies.

Dans l'air me balançant, je monte et je chante
Mon chant ajoute des clartés plus puissantes aux alentours.
Les eaux frissonnent rafraîchissantes
Légère baignant de paix et d'amour .

A vos yeux la non-violence pure
Au dessus de vos drapeaux avec fierté ,
Ma voix toujours vibrera des hymnes dans l'azur.
Trois mots symboliques liberté, égalité, fraternité...


Je parcours les frontières du monde
Auréolant de blancheur Immaculée .
Moi pacifiste oiseau dans cette ronde
Je suis la colombe allègre et ivre de liberté.


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Pat38000.............8,06 / 10

Une faute au dernier quatrain « ou » : accent
Un poème très imagé qui allie les 4 saisons,
couleurs, senteurs.
Une remarque peut-être :
l'animal n'a pas une place importante
dans cette description, toutefois, belle poésie.
(Attention à tapis et fruit )
Que de belles métaphores !
Vous n'êtes que la spectatrice, dommage !

21 ...La messagère

Dans le creux d'une coupe
Le citron se radoucit au miel
Comme une orange juteuse au ciel
D'un printemps qui chaloupe


S'ajoute une chaleur aux fraiches soupes
La plénitude aux sables fins, d'une eau
A la tiédeur veloutée en sera son manteau
D'un été qui à le vent en poupe


Quand le vert jaunit dans un tapis
De feuilles rouges sur un pas craquant,
Les châtaigniers laissent aux passants
Un automne aux mousses jus de fruits


Le vent déshabille la nature
De froid d'un glaçon givre au blanc,
Fond sur les joues rouges de l'enfant
L'hiver lâche ses cotons purs.


Damoiselle à tire-d'aile
Une rose enrubanne le bleu ,
Dans l'élégance d'un rêve heureux
Ou l'hirondelle avise la saison nouvelle.


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luron1er..........8,63 / 10

Médaille Argent

D'actualité
Une belle description assez loin du thème, Superbe !
Une colombe :
symbole de paix, pour éviter l'anarchie » !
Un ange gardien aux portes de l'arche pour que la paix,
la sécurité soit préservée. qu'il en soit ainsi !
Une compagne de choix pour une route
aux aléas cruels, notre époque ! un très bel écrit...L'orage

22 ... Hé ! L’arche !

Dans mon arche, ils sont venus,
Mais jamais n’y sont parvenus,
Semer la zizanie dans notre monde de vertu,
Elle était là, surveillant tous ses perdus.

Captivant pour éviter l’effroi,
Des cons criminels qui ont jeté un froid,
Mettant à l’affiche des mécréants sans foi,
Qui au monde donne le mal de foie.

Il n’est d’aucune religion,
De tuer ses frères sans notion,
Répandant au monde maintes émotions,
Recherchant en vain une révolution.

De l’univers, elle demande l’unisson,
Pour que liberté résonne d’un seul son,
Pour qu’enfin raisonnent tous ses cons,
Ma colombe de paix s’en vient sans façon.

Elle va, elle vole pour rechercher la paix,
Elle est souvent là inspirant le respect,
Tel un ange, ses ailes en ont l’aspect,
Pour qu’ensemble la vie soit ce que je rêvais


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Bravo ! à tous


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Dernière édition:
#6
"Son nom ne doit pas figurer dans le titre de votre écrit,
Ne le nommez qu'à la fin de votre poème." Quand vous parlez du nom c'est le nom de l'animal du style "loup" "chat" "crapaud" ? Ou le nom qu'on lui a donné? Et, est il obligatoire de lui donner un nom si on part de notre imagination?
PS: Si un de nos poèmes déjà posté sur le site est en rapport avec le thème, peut on l'utiliser?
J'espere que je suis clair dans ma demande... ^^
 

lyseron

Je reviens de loin, mais je ne vous oublie pas....
Membre du personnel
#7
Merci de vous intéresser à ce concours et pour vos questions pertinentes.
Oui je comprends parfaitement votre demande, il est des animaux mythiques, mythologiques, qui peuvent entrer dans le cadre du concours, mais pour " jouer le jeu " il faut que vos lecteurs puissent reconnaître l'animal choisi sans nommer son espèce ; chien, chat etc... ( mais où serait le petit plus du concours si vous étiez le créateur de cet animal ? )
Si vôtre poème correspond à la demande du concours et à ses consignes ,vous pouvez envoyer un poème que vous avez déjà écrit


Amicalement...Lys
 
Dernière édition:

zuc

Le chat noir
Membre du personnel
#17
mes goûts en matière d'image ne regardent que moi et je reste discret, mais la je voulais dire que je trouve chouette l'illustration du concours
 
Statut
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